Catégorie : Bastir Occitanie

Mattia Pepino se sent triste

Grand òme, grand occitanista… avètz portat endavant vòstre (noste) sòmi fins al darrièr jorn de vòstra vida! encara qu’es ton aniversari te remembre! Bon viatge Gèli Grande !

Grande uomo, grande occitanista… Hai portato avanti il tuo (nostro) sogno fino agli ultimi giorni della tua esistenza terrena! Oggi, giorno del tuo compleanno ti ricordo! Buon lungo viaggio Gèli Grande!

Grand homme, grand occitaniste… en faisant avancer votre rêve jusqu’au dernier jour de votre vie ! Même si c’est ton anniversaire je me souviens de toi ! Bon voyage Gèli Grande !

Grand homme grand occitaniste… Tu as poursuivi ton (notre) rêve jusqu’à tes derniers jours de ton existence terrestre ! Aujourd’hui, pour ton anniversaire, je me souviens de toi ! Bon long voyage Gèli Grande !

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1Jean-Luc Davezac

Un laboratorio di occitano all’università di Torino

Oltre agli studenti magistrali del primo e secondo anno di scienze linguistiche, potranno assistere anche gli esterni

di Sandro Marotta – Martedì 1 novembre 2022

Cuneo – Prenderà il via nel mese di novembre un corso universitario di lingua e cultura occitana presso l’università di Torino. Il laboratorio, inserito nel corso di laurea magistrale in scienze linguistiche, prevederà 36 ore di lezione e sarà diviso in due sezioni: la prima di inquadramento linguistico e sociale delle comunità occitanofone alpine, la seconda più pratica, volta alla comprensione e alla collocazione spaziale di testi orali e scritti in occitano cisalpino. La docente sarà Aline Pons, occitanofona della val Germanasca e ricercatrice presso l’ateneo torinese in materia di lingue del Piemonte. Potranno iscriversi tutti gli studenti magistrali del primo e del secondo anno, ma la frequenza è concessa anche agli uditori esterni (che però non potranno sostenere l’esame finale); l’iniziativa è stata sostenuta dall’associazione culturale cuneese Chambra d’Òc.

Gers : la Fédération des Pays Unis regarde déjà vers les européennes

Par Lucie LESPINASSE de la Dépêche du Midi GERS

Après avoir présenté près de 200 candidats aux législatives, le groupe politique, qui réunit les partis régionalistes, va à la rencontre des autres mouvements pour se faire connaître et se préparer aux prochaines échéances électorales.

« Les résultats aux élections législatives nous ont encouragés », affirme Jean-Luc Davezac, président de la Fédération des Pays unis, le groupe politique qui réunit plusieurs partis régionalistes, dont Bastir Occitanie. Avec près de 200 candidats sur l’ensemble du territoire, dont environ 140 qui ont obtenu plus de 1 % des voix, le nouveau parti pourra donc bénéficier d’aides de l’État et ainsi s’organiser différemment à l’avenir.

A lire aussi : Bastir Occitanie du Gersois Jean-Luc Davezac rejoint la Fédération des pays unis

Depuis les élections, Jean-Luc Davezac et ses partenaires continuent cette association et se rapprochent d’autres groupes. « J’ai commencé par aller voir les candidats un peu partout, notamment les plus proches en Ariège et dans le Tarn », indique le président de Bastir Occitanie. En août, la FPU s’est rendue à Roanne, dans la Loire, afin de « créer un partenariat avec des groupes de plusieurs idées, toujours avec la volonté de créer un groupe cohérent ».

Puis c’est à Nîmes qu’une réunion a eu lieu, notamment avec l’Ecologie autrement, avant une visite dans le Pays basque, où Jean-Luc Davezac et Alexis Boudaud ont pu échanger avec un représentant du parti basque, Andoni Ortuzar, ainsi qu’avec la députée européenne Izaskun Bilbao. « Nous avons ainsi pu échanger sur l’identité des régions au sein d’une Europe unie et sur l’idée d’un manifeste pour les régions et une Europe fédérale », indique le président de la FPU.

Sortir du jacobinisme à la française

Car la Fédération regarde déjà vers les élections européennes, prévues en 2024. C’est pourquoi, les représentants du groupe politique se rapprochent d’autres partis et discutent des projets qu’ils souhaitent développer. « Nous regardons comment nous pouvons travailler ensemble, précise Jean-Luc Davezac. Et malgré la multitude des groupes qui nous composent, cela ne pose, à mon sens, aucune difficulté. »

Selon le leader de la FPU, l’entente porte d’abord sur le fait de voir la politique différemment, avec la fin du jacobinisme et donc une décentralisation au profit des territoires. « L’exemplarité dans la politique, les droits humains, la démocratie participative… Ce sont des valeurs qui nous rassemblent, énumère le Gersois. Et si chacun a ses préférences, en nous mettant tous ensemble, notre programme ressemble à un cocktail crédible ».

En voulant garder son esprit d’ouverture, la FPU développe, au gré de ces rencontres, de nombreuses relations lui permettant d’acquérir de la puissance et une meilleure communication. « A chaque fois que l’on est invité à une réunion, cela nous permet de nous faire connaître et de partager nos propositions », souligne le président, qui espère également développer les adhésions dans les partis de la FPU, notamment Bastir Occitanie. « On a fait du chemin, estime le président de la Fédération, officiellement créée en janvier dernier. Maintenant, nous devons continuer et développer des stratégies avec les différents groupes, dont les Bretons et les Basques, pour essayer d’aller encore plus loin ».

Lucie Lespinasse

Reconnaissance officielle de sélections basques

EAJ-PNB obtient une décision historique : la reconnaissance officielle de sélections basques pour les compétitions internationales

Au moment où les Mondiaux de pelote basque se déroulent, à Biarritz, le groupe parlementaire d‘EAJ-PNB au Congrès des députés, à Madrid vient de lancer une démarche décisive dans l‘officialisation de sélections basques, en particulier, dans la pelote et le surf.

     Ezagutzera eman

Ce groupe parlementaire d’EAJ-PNB a déposé un amendement à la loi sur le sport, accepté en commission, pour la reconnaissance internationale de fédérations autonomiques. Le sport doit avoir « un fort lien historique et social » dans le territoire concerné. Second cas : la fédération autonomique aurait fait partie « d’une fédération internationale avant la constitution de la fédération espagnole correspondante ». La pelote est évidemment le sport historique et national du Pays Basque. La fédération basque de surf remplit pour sa part, la deuxième condition.

Ce premier pas important est le fruit d’un accord arraché aux socialistes espagnols, dans le cadre du partenariat entre les deux partis, à Madrid. A la suite de multiples initiatives en faveur des sélections basques, EAJ-PNB confirme la voie institutionnelle de la négociation. Elle exige persévérance, ambition et poids politique pour convaincre des partenaires au départ réticents.

EAJ-PNB espère que les sélections basques, concerneront également dans un futur proche, les sportives et sportifs du Pays Basque nord.

EAJ-PNB continuera à défendre des sélections basques pour l’ensemble des disciplines sportives.

EAJ-PNB a réalisé un premier pas important dans l’officialisation des sélections basques. Le premier pas et certainement pas le dernier.

Profitons du moment présent, pour penser à ces pilotaris qui lors des prochains Mondiaux, arboreront le maillot tricolore, vert-blanc-rouge de la sélection basque !

Photo : Andoni Ortuzar, président national d’EAJ-PNB avec des représentant/es des fédérations basques de surf et de pelote. A droite, Ana Esther Furundarena, responsable Education, sport, euskara et culture au sein de la direction nationale d’EAJ-PNB.

Polémique du moment : faut-il fermer le lycée de Pulversheim ?

Par Jean-Philippe Atzenhoffer / Rédaction et illustration

L’annonce par la Région Grand Est de fermer ce lycée professionnel a suscité de très nombreuses réactions cette semaine, essentiellement d’hostilité. Ne connaissant pas assez bien ce dossier, je ne peux pas me prononcer en faveur du maintien ou non. Mais cette affaire suscite un certain nombre de questions :

1) La méthode : les acteurs concernés par la fermeture sont sidérés par une annonce qu’ils apprennent par voie de presse. Pourtant, avant de prendre une telle décision, ne serait-il pas nécessaire de les associer à la réflexion, où à tout le moins les consulter afin qu’ils puissent avancer leurs arguments contre la fermeture. La décision ne devrait elle pas être prise après avoir pris connaissance des différents arguments ? Car en imposant une décision sans concertation, la Région déclenche inévitablement une situation de crise.

2) Selon certaines analyses, la décision de fermer s’inscrirait dans une logique de fermer une dizaine d’établissements dans toute la grand région (soit un par département environ). Si cela s’avérait vrai, est-il vraiment logique d’appliquer une telle uniformisation alors que la dynamique démographique est si différente d’une région à l’autre ? La décision de fermer ou non doit se faire en fonction de la situation locale. Elle ne doit pas être biaisé pour des raisons politiques par rapport à ce qu’on fait ailleurs. Le fait d’intégrer des régions aussi différentes que l’Alsace, la Lorraine et la Champagne dans un ensemble unique génère des politiques inadaptés à la réalité de chacune d’entre elle (un problème rencontré dans de nombreux domaines).

Cette affaire semble donc être une illustration de plus de ce que j’appelle le « jacobinisme régional ». En éloignant la décision du terrain, l’élargissement des périmètres régionaux constitue une puissante force recentralisatrice. Un comble dans un pays qui souffrait déjà pourtant d’une centralisation excessive.

Dernière remarque, j’entends parfois – de moins en moins cependant – des gens dire que la fusion est une réforme administrative qui ne change rien à la vie quotidienne. Or, selon Bernard Stoessel qui a bien connu ce dossier du temps de la Région Alsace, cette dernière avait décidé de poursuivre le développement de ce lycée. Une telle fermeture aurait donc été inconcevable si l’Alsace était restée une région. Il s’agit donc bien d’une conséquence très concrète de la réforme de Hollande-Valls de 2015.

Si l’ancien président de la République a massacré la carte des régions de France avec son crayon et sa gomme, Yannick Lefrançois sait en rire avec merveille avec son coup de crayon autrement plus talentueux (dessin publié dans les DNA ce jour). C’est l’avantage des choses absurdes, elles donnent de la matière pour régaler les caricaturistes.

AGO du mouvement pour l’Alsace

Éric Straumann, le maire de Colmar, lance l’AG du MPA en rappelant son opposition à la réforme Hollande. Il regrette l’absence de réponse des candidats LR à la presidence du mouvement à ses questions sur la sortie de l’ Alsace du GrotEsque;

Après le maire, d’autres élus se montrent auprès du sénateur Reichardt: Brigitte Klinkert, le sénateur Klinger, le député Ott, le conseiller departemental Hemedinger…

La ministre Brigitte Klinkert essaie de se convaincre que le président Macron se préoccupe de l’Alsace…

Le concept de différenciation (cf Borne)est repris et constitue le pivot des éléments de langage du gouvernement sur la.question.

Football et tennis devraient servir de tremplin à une remise en cause du périmètre des fédérations et, partant, contribuer concrètement au détricotage le région.

Une annonce: les ministres de l’éducation français et allemand travaillent sur un projet commun d’enseignement bilingue.

Jean-Philippe Atzenhoffer évoque les jeunes d’Unser Land qui soutiennent la démarche du MPA. Il est 16h32, au bout d’une heure et demi le nom d’Unser Land est prononcé, enfin.

Par sa voix l’existence du groupe Liberté et Territoire est aussi évoquée. Il comptera lorsqu’il faudra des voix à une loi nous intéressant.

Informations, photo / Jean-philippe Platt

SLAVA UKRAINI!

Par Françoise Berthou· 

Souhaitons la bienvenue aux nouveaux membres :
Monique Vincent,
JC Mengui,
Nicole Guillot,
Michel Marlin,
Lionel Le Nancéien,
Brahim Charafi,
Lordro Jimar,
Sébastien Berniot,
Alain Le Parc,
Jeanne Salfati

** Les administrateurs Floriane Guedon Anne Marie Charvet Guy Verdier et moi-même vous exprimons nos chaleureux mots de bienvenue**

La crise entre la Russie et l’Ukraine a pris un tournant important le jeudi 24 février 2022 avec la déclaration du président russe Vladimir Poutine, de premiers bombardements et l’entrée sur le sol ukrainien de forces armées russes à l’est, au sud par la Crimée et au nord via la Biélorussie, allié de Moscou.

Cette entrée en guerre résulte de longs mois de tensions entre les deux pays, la Russie n’acceptant pas le rapprochement de l’Ukraine avec les démocraties occidentales et encore moins son désir d’adhérer à l’OTAN, un point inacceptable pour Vladimir Poutine qui y voit une menace pour ses frontières.

L’armée russe se heurte à une résistance que Moscou n’avait probablement pas escomptée.

Les sanctions et les mesures se multiplient ! Plus que jamais l’Europe et ses alliés doivent être unis et faire bloc!

.Voilà plus de 7 mois, que nous sommes en présence , à nos frontières, de pratiques d’atrocités et sans doute de cruauté, c’est-à-dire de violences qui dépassent l’objectif militaire de neutralisation de l’ennemi. La population civile est toujours touchée par des attaques extrêmement meurtrières, soit accidentellement soit intentionnellement. Plus cette guerre dure, plus le sort qui leur est réservé est extrême.

Un hiver particulièrement froid et prolongé ferait à coup sûr les affaires de Poutine. La raréfaction du gaz russe, qui représente une part non négligeable de l’approvisionnement énergétique de certains pays européens, pourrait causer d’importantes difficultés avec pour possible conséquence d’émousser la détermination de l’UE à soutenir l’Ukraine. Les populistes, même chez nous, ne sont pas prêts à baisser le chauffage et à économiser l’énergie, alors que l’Ukraine paie de son sang chaque jour!

**Défaites successives des Russes, mais la guerre n’est pas finie. Pis, le risque d’escalade est croissant, l’angoisse nucléaire en prime. Les bombardements de civils sont autant de crimes de guerre dont on espère que Poutine devra répondre un jour devant une juridiction. **

Aujourd’hui, les deux adversaires n’ont donc d’autre perspective, hélas, que la poursuite d’une confrontation sanglante. Quant à un compromis négocié, comme en toute guerre, plus les dévastations s’étendent, plus les pertes humaines s’alourdissent, plus il devient difficile.

SLAVA UKRAINI!

FORCE À L’UKRAINE

Statut d’autonomie pour la Bretagne

Par Joannic Martiñ porte-parole du Parti breton

A la lecture du manifeste pour le gallo, je suis très alerté de ce qui semble être, à la 2e lecture, une offensive hostile envers le breton. La logique défendue rendrait le gallo obligatoire et le breton optionnel sur la moitié de la Bretagne.

Je suis également étonné de la liste des personnes et des organisations signataires. Tous les signataires ont-ils bien lu le texte ? Se rendent-ils compte de ce que cela implique pour le breton ? Cela signifierait que le breton n’est pas légitime à être présent ou appris sur toute la haute Bretagne.

Dans ce cas quid des panneaux routiers existants ou des financements dédiés à l’apprentissage du breton dans des villes comme Rennes ou Nantes.
Opposer le breton et le gallo est contre-productif.
Oui à la co-officialité du breton et oui à un statut particulier pour le gallo !

Il est urgent de se mobiliser sérieusement en faveur d’un statut d’autonomie pour la Bretagne nous permettant, entre autres, de gérer la compétence de l’enseignement et de favoriser l’apprentissage du breton et du gallo partout en Bretagne. Ne nous battons pas pour des miettes.