Catégorie : Bastir Occitanie
– 09 – Confédération Paysanne de l’Ariège devant la permanence du député
Ce matin, à l’appel de la Confédération Paysanne de l’Ariège, rassemblement devant la permanence du député #Ariège#Liot Laurent #Panifous, contre la loi #duplomb qui sera étudiée demain en commission paritaire.
Rappel :
– réintroduction des néonicotinoïdes tueurs d’abeilles
– pour les méga bassines qui sont des captations privées de la ressource en eau et qui impacteront donc la nappe phréatique.
– Corse – Ouverture de 70 classes immersives à la rentrée
« Généralisation du bilinguisme, ouverture de 70 classes immersives à la rentrée, le corse parmi les savoirs fondamentaux avec le français et les mathématiques. Le recteur explique une politique très ambitieuse en faveur de la langue corse, unique dans l’histoire de l’académie, « pà un pillastru maiò di l’avvene di a nostra ghjuventù ». Il a accepté tout de suite le principe d’une interview »
– Provence – L’identité et la culture provençales sont très à la mode
Vous avez remarqué comme l’identité et la culture provençales sont très à la mode chez les élus de tous bords ? Surtout depuis quelques années, disons approximativement depuis que le parti autonomiste provençal Prouvènço Nacioun a acquis une petite notoriété.
Je n’ai pas la prétention de m’arroger le droit de distribuer des diplômes de provençalité ni de faire autorité dans ce domaine, mais j’ai des raisons de croire que ce soudain élan patriotique n’est pas des plus spontanés…
Alors si vous avez le moindre doute sur la sincérité d’un homme ou d’une femme politique, je vous livre une petite astuce qui pourrait bien vous ouvrir les yeux voire même vous réserver quelques surprises.
Sur le mur de n’importe quel utilisateur de Facebook, nous avons la possibilité de filtrer les publications par année en cliquant sur le bouton « Filtres » dans la partie « Publications ».
Ceci fait, il est possible d’accéder aux publications de l’année de notre choix. Remontez dans le temps autant que nécessaire.
C’est une arme redoutable pour débusquer les imposteurs et autres opportunistes.
Félicitations à la ville de la Ciotat pour son engagement
Le forum d’oc réunit sur une série de fondamentaux, occitanistes et felibres de Provence, dans une démarche œcuménique visant au développement de notre langue, l’occitan-langue d’oc et de notre culture provençale
J’invite la Ville de Toulon à adhérer, à son tour, au Forum d’oc et agir enfin.
Il serait en effet temps que la ville de Toulon s’engage dans la préservation et le développement de l’occitan-langue d’oc et la culture provençale à l’instar de ce que la
ville de La Seyne-Sur-Mer avait fait avec Marc Sentinelle Vuillemot.
Pour une vraie place des littératures en langues régionales dans les programmes scolaires !
18.288 signatures
Encore 1 712 signatures pour que cette pétition attire l’attention des journalistes et soit plus susceptible de passer dans la presse.
Monsieur le Ministre,
Le patrimoine littéraire français ne se limite pas aux productions écrites en langue française. Depuis des siècles, la création poétique, narrative, théâtrale, argumentative en langues dites « régionales » est abondante et éminemment digne d’intérêt.
Or, comme ce fut longtemps le cas de la littérature féminine, tout cet archipel de créations écrites est aujourd’hui largement ignoré par les programmes scolaires de notre pays. Et donc par la majeure partie des Français.
Afin de mettre un terme à cette injustice, nous demandons que ces programmes soient reconsidérés et intègrent officiellement l’enseignement d’œuvres créées par des autrices et auteurs qui, pour être ancrés dans leur culture « régionale », n’en ont pas moins une portée universelle.
La France ne s’émeut guère d’une contradiction profonde entre ses déclarations d’intention et son action réelle. Elle s’enorgueillit de posséder une littérature mondialement reconnue, récompensée cette année encore par un prix Nobel, attribué à une femme. Elle se bat sans relâche, sur la scène internationale, pour que la langue française et sa littérature soient respectées et diffusées. Elle prodigue à tous ses enfants un enseignement qui accorde une place ambitieuse et méritée à nos œuvres littéraires.
Et pourtant, dans ce pays tellement attaché à la culture et aux droits de l’Homme, on peut constater avec effarement que la plupart de nos concitoyens ignorent qu’il existe des milliers d’œuvres littéraires écrites chez nous dans d’autres langues que le français.
S’ils ne le savent point, c’est bien, hélas ! Parce que notre système éducatif ne leur a jamais enseigné cette réalité. Héritier d’une tradition de mépris remontant à l’Ancien Régime puis théorisée sous la Révolution par l’abbé Grégoire, ce système passe volontairement sous silence ces milliers d’œuvres ainsi que ceux qui les ont écrites et les écrivent aujourd’hui encore, malgré les difficultés qu’ils rencontrent.
Les langues « régionales » elles-mêmes, dont l’enseignement demeure soumis au régime de l’incertitude et de la précarité, malgré les rappels à l’ordre répétés des instances culturelles internationales, se voient dédaignées par les autorités de ce pays.
Car le fait qu’au fil des ans, et non sans mal, quelques améliorations aient pu être apportées à leur statut grâce à quelques textes législatifs ou règlementaires n’empêche pas que trop souvent, faute de moyens et de bonne volonté de la part des décideurs de terrain, l’application concrète de ces textes soit fortement entravée. A fortiori, les littératures de ces autrices et auteurs – alsaciens, basques, bretons, catalans, corses, créoles, flamands, occitans, et de toute autre langue de France, y compris bien sûr des outre-mer – sont victimes d’une idéologie étriquée, exclusive et excluante.
Quand on trouve dans les manuels une référence, par exemple à tel ou tel troubadour, cela reste marginal et parfois scientifiquement erroné. Il est grand temps que cette situation évolue.
Au fond, rien n’empêche – si ce n’est certaines volontés politiques influentes et figées – qu’un enseignement portant sur ces œuvres et ces autrices et auteurs soit dispensé aux élèves, au fil des divers cycles, du primaire jusqu’au baccalauréat. Il est parfaitement envisageable de les faire étudier, en traduction française ou, mieux encore, en version bilingue. Contes, poèmes, romans, pièces de théâtre… Peuvent être abordés sous forme d’extraits ou d’œuvres intégrales. Par exemple dans le cadre des progressions pédagogiques de la matière français ou, en lycée, dans celui de l’enseignement de spécialité « humanités, littérature et philosophie », on aborde déjà fréquemment des textes d’auteurs traduits de langues étrangères ou de l’Antiquité : il est parfaitement possible d’y intégrer les textes dont nous parlons, des œuvres de qualité qui pourraient dialoguer avec la littérature européenne écrite dans d’autres langues, dont le français.
On pourrait aussi considérer que les enseignants de chaque région mettent prioritairement l’accent sur des œuvres issues de celle-ci mais, au-delà de ce principe, il serait bon que chaque élève soit sensibilisé à l’existence de cette foisonnante diversité littéraire de notre pays.
Si Annie Ernaux est « notre » nouveau prix Nobel de littérature, Frédéric Mistral, en son temps, le fut aussi. Il écrivait en provençal, et de cela la quasi-totalité des Français n’a strictement aucune connaissance. Œuvrons pour mettre un terme à cette aberration. Agissons au bénéfice de tous, à commencer par notre jeunesse : l’ouverture des programmes sur notre diversité interne est un premier pas vers un nouvel humanisme ouvert à l’Autre.
(Si vous signez cette pétition en tant que « personnalité reconnue », n’hésitez pas à vous signaler dans votre commentaire).
– 31 – Échanges autour des dispositifs européens pour la jeunesse
Par Florence Ginisty
Toulouse Retour en images sur la rencontre à Ostal d’Occitania – Maison de l’Occitanie autour de l’exposition de photos les #EuroPeers .
Échanges autour des dispositifs européens pour la jeunesse .
Merci à Lilou Laborde , Anna-Ines Acuèlh Convergéncia Ostal d’Occitania et Alix Louisa présidente des Jeunes Européens Toulouse pour leurs témoignages !
Merci à Samuel Touron pour son aide !
Et aux étudiants de l’association Meridio Toulouse pour leur présence


LE TELEPHONE SAVOISIEN
MONTESSUIT Michel
LE TELEPHONE SAVOISIEN du 1er juin,, celui qui met en ligne et
qui aide les « gens de chez nous
Bonjour à toutes et à tous, et des annonces intéressantes dans
ce nouveau TELEPHONE SAVOISIEN .
Merci à vous de votre participation et de votre aide : cette
réussite est un peu la vôtre …
Les annonces du moment :
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Vélo de course (route) à donner. Ce vélo a eu appartenu à un coureur cycliste professionnel savoisien dans les années 80.
Contact tel : 0607464534
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Jeune savoisien très sérieux cherche place en alternance dans une entreprise d’électricité.
Contact Boris Carlier tel 0620353448 ou mail boriscarlier06@gmail.com
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Une petite équipe d’amateurs a décidé de refaire en 2026 la pièce de théâtre « Marguerite Frichelet » qui était jouée dans la vallée de Thônes dans les années 50. Pour ce, il faudrait quelques amateurs ou figurants pour les accompagner dans cette belle aventure qui est de faire revivre cette pièce et notre histoire de Savoie.
Informations tel 0646301181.
A94 :
Monsieur de 80 ans avec toute petite retraite (500 €),cherche véhicule, même très ancien, à
lui donner et qui passerait au contrôle technique. Il roule très très peu et a simplement besoin d’une voiture pour faire ses courses. Informations auprès de moi tel 0607464534.
A95 :
Un jeune sportif savoisien vient de m’informer que la communauté religieuse Eucharistein (catholique)
De St Jeoire en Faucigny, a été braquée courant du mois de mai ; ils leur ont volé une débroussailleuse, une moto faucheuse et une tondeuse.
Ce jeune savoisien est membre de cette communauté et également de SOS Calvaires (association qui retape, préserve et restaure des calvaires) demande si certains d’entre vous
pourraient leur obtenir une partie de ce matériel volé ou les aider sous une forme ou une autre. Infos tel : 0778353730
Merci à vous tous de cette entraide et que cette semaine vous soit belle . Le TELEPHONE SAVOISIEN, c’est l’humain au cœur de la SAVOIE
Michel
Alexis Boudaud à Auch
Votre présence illustre t-elle votre retour dans la vie politique gersoise ?
Je suis un enfant du pays. La politique a toujours été une part essentielle de mon activité au service des auscitains, des gersois et des occitans.
Chef de file AUCH ÉCO CITOYENNE dès 2008, j’ai été élu 6 ans plus tard, en 2014, siégeant Salle des Illustres et au Grand Auch Agglomération. J’ai poursuivi aux départementales avec les Libres et Indépendants puis aux régionales pour Le Bien Commun. Cette expérience m’a amené à travailler au plan national durant les Présidentielles et les Législatives en 2017. Un an après, Montpellier m’a accueilli et j’ai eu l’honneur de travailler à l’élection de Michaël DELAFOSSE comme maire de la cité méditerranéenne. L’Ecologie Autrement! est née de cette histoire.
De retour dans le Gers, je poursuis ce travail en lien avec les partenaires historiques comme Bastir Occitanie et les Écologistes, Mouvement Écologistes Indépendants.
Que représente pour vous cette réunion et la mobilisation qu’elle a entrainé ?
La rencontre organisée autour de Carole DELGA en faveur du ferroviaire dans notre territoire a été l’occasion de réaffirmer les ambitions écologiques et l’équité territoriale indispensables aujourd’hui.
Notre présence à cette rencontre, c’est pour insister, au nom des habitants du Gers et des usagers de la ligne Auch – Toulouse, sur l’importance vitale de cette infrastructure.
La ligne ferroviaire entre Auch et Toulouse n’est pas une simple voie de transport : c’est un lien économique, social et écologique entre un territoire rural et une métropole en pleine croissance.
Chaque jour, des centaines de Gersois l’empruntent pour aller travailler, étudier, accéder à des services médicaux ou administratifs. Cette ligne, c’est la promesse de pouvoir vivre dans le Gers sans renoncer à l’avenir. C’est aussi un levier essentiel pour attirer de nouveaux habitants, désenclaver notre territoire et répondre à l’urgence climatique en réduisant notre dépendance à la voiture.
Nous saluons les investissements déjà réalisés ou programmés, notamment pour la modernisation de certaines portions de voie et l’amélioration de la desserte. Mais nous savons aussi que l’échéance de 2027 approche, et que des arbitrages doivent être rendus dès maintenant car, l’enjeu politique entre le national notamment les dotations ministérielles et le budget local (avec un équilibre difficile ) reste crucial.
Quels sont vos objectifs ?
Revenir dans le Gers est un vrai cadeau. Après avoir réussi les Législatives de 2022 et 2024 (plus de 130 circonscriptions investies) avec le parti politique que j’ai créé, je désire que nous soyons une alternative aux partis traditionnels notamment ceux qui se soumettent depuis des décennies. L’Écologie Autrement ! est là pour unir AUTREMENT les forces vives des territoires.
Nous avons le projet de nous engager dans les municipales en 2026 avec LA RUCHE CITOYENNE (qui a réussi son pari aux dernières européennes) et nos partenaires régionalistes RÉGIONS UNIES D’EUROPE derrière son Président Jean-Luc DAVEZAC, ainsi que les Écologistes, Mouvement Écologiste Indépendant.
Dans le Gers, nous travaillons à Auch avec AUCH ÉCO CITOYENNE menée par Flavio DALMAU mais aussi sur tout le département en lien avec BASTIR OCCITANIE.
Les municipales restent à nos yeux les plus belles élections totalement encrées localement avec les électeurs. Nous nous engageons avec force dans cette nouvelle pour l’aménagement du territoire et pour une transition écologique crédible et équitable.