Catégorie : Bastir Occitanie

LA GRANDE TRAHISON : QUAND LES ÉTATS-UNIS LÂCHENT L’EUROPE

Je le pressens depuis un certain temps. Maintenant, ça saute aux yeux. Il plane aujourd’hui, sur la scène internationale, une étrange sensation d’inversion. Comme si les lignes de force qui structuraient l’ordre mondial depuis plus de trois générations s’étaient mises à glisser lentement, jusqu’à composer un paysage où les certitudes de l’après-guerre semblent frappées d’obsolescence.

Les States, jadis colonne vertébrale du « monde libre », s’écartent de leurs alliés naturels, cherchent querelle à ceux qui partageaient leur destin, et empruntent désormais la grammaire politique de leurs adversaires. Pendant ce temps, la Russie, patiente et méthodique, avance ses pièces avec une confiance presque insolente. Au cœur de cette recomposition, ce qui domine en Europe n’est plus seulement l’inquiétude : c’est la sensation, froide et nue, d’une trahison accomplie.

La publication récente de la stratégie de sécurité nationale américaine a agi comme révélateur. Jamais un document de la Maison Blanche n’avait affiché une telle sévérité envers l’Europe, ni une telle indulgence envers Moscou. Le texte décrit le continent européen comme voué à un « effacement civilisationnel », frappé d’une « perte des identités nationales » et d’une « asphyxie réglementaire », au point d’affirmer, avec une désinvolture stupéfiante, que certains pays de l’OTAN pourraient devenir, dans quelques décennies, « majoritairement non européens ».

Ce vocabulaire n’est pas celui de la diplomatie. C’est celui de l’extrême droite américaine – et européenne – transposé mot pour mot dans un document officiel. La sémantique du « remplacement », des « frontières menacées », de la « décadence civilisationnelle », glisse du discours de campagne au langage d’État. J. D. Vance, vice-président de Trump, avait déjà donné le ton en février, à Munich, lorsqu’il évoqua une Europe « affaiblie par ses choix idéologiques » et promise au déclin si elle persistait dans « la trajectoire actuelle ».

Pete Hegseth, secrétaire à la Défense, enfonça le clou au Reagan Forum en célébrant la fin de « l’idéalisme utopique » et le retour au « réalisme dur » qui ne reconnaît d’obligations qu’à l’endroit de la puissance nationale.

En réalité, ces mots forment un ensemble cohérent : il s’agit d’un glissement doctrinal majeur, où l’Amérique étasunienne renonce à l’idée d’un monde fondé sur le droit, et adopte une vision où seules comptent la force, la peur, la pureté identitaire.

Cette séquence me rappelle irrésistiblement le moment où, après la Révolution française, les monarchies d’Europe se liguèrent pour étouffer le souffle des libertés naissantes, convaincues qu’il fallait éteindre la flamme plutôt que d’en affronter la lumière.

Une révolution à rebours, honteuse, qui tourne le dos à la liberté qu’elle prétend incarner.

C’est dans ce contexte que les dirigeants européens, habituellement circonspects, ont parlé avec une franchise inédite. Lors de leur échange, devenu public, Emmanuel Macron a averti Zelensky qu’il existait « une possibilité que les États-Unis trahissent l’Ukraine sur la question du territoire sans définir clairement les garanties de sécurité ». Friedrich Merz en Allemagne a ajouté : « Ils jouent avec vous et avec nous ». Et le Finlandais Alexander Stubb, rompant avec toute retenue, a conseillé à Kiev de ne jamais se retrouver « seul avec ces types ». Ces phrases, lourdes et sobres, témoignent d’une rupture historique : pour la première fois depuis 1945, l’Europe ne prescrit plus la confiance envers Washington ; elle prescrit la prudence, voire la méfiance.

Il faut dire que les plans esquissés par les négociateurs trumpiens en Russie ont achevé de dissiper l’illusion. Steve Witkoff et Jared Kushner ont présenté un projet qui reprend « presque mot pour mot les positions russes » selon des sénateurs américains eux-mêmes : concessions territoriales, neutralisation durable de l’Ukraine, garanties illusoires, et même un partage de la reconstruction prévoyant que des proches de Trump puissent tirer avantage de fonds issus des actifs russes gelés. Je ne pensais pas voir un jour une diplomatie américaine calquée sur les desiderata du Kremlin ; pourtant, voici que ce qui paraissait impensable devient pratique courante.

Lénine doit en rire bien haut dans son mausolée.

C’est ainsi que la trahison s’est matérialisée : dans un document où l’Amérique semble prête à troquer la liberté d’un peuple contre les bénéfices d’une transaction.

Poutine, lui, a lu ces signes avec l’acuité de ceux qui n’espèrent plus rien et saisissent tout. Son voyage en Inde l’a illustré : Narendra Modi l’a accueilli comme un souverain, déroulant un accueil dont la somptuosité disait tout du rééquilibrage en cours. Des contrats militaires, énergétiques, technologiques ont été signés comme si l’invasion de l’Ukraine n’existait plus. Une Inde puissante, un Occident fracturé, et une Russie qui reprend sa place dans le jeu.

Par ailleurs vint la scène, presque théâtrale, sur un plateau de télévision indienne. Poutine, interviewé, faussement désinvolte, lâche : « Cinq heures de discussions ? C’est beaucoup trop pour moi ». Tout le monde sait qu’il avait fait patienter Kushner et Witkoff trois longues heures avant de les recevoir. La cruauté du geste n’échappe à personne : elle signifiait que l’Amérique n’est plus un interlocuteur digne de respect, qu’elle vient quémander une paix dont le Kremlin définit désormais les conditions.

Pendant que Moscou s’affirme, Pékin perfectionne son art du retrait actif. Macron, venu chercher une parole exigeant la fin de la guerre, n’a obtenu de Xi Jinping que l’illusion d’une neutralité dont chacun sait qu’elle est creuse. Les échanges militaires entre la Chine et la Russie se poursuivent pourtant, comme l’ont rappelé plusieurs rapports récents, sans que Pékin ne se départisse du masque du médiateur raisonnable. L’Amérique se retire du champ moral ; la Chine occupe le vide avec une discrétion calculée.

Dans cet enchevêtrement de renoncements américains et d’audaces russes se dévoile LA vérité du moment : Trump et ceux qui l’entourent ne trahissent pas seulement l’Ukraine. Ils trahissent l’Europe. Ils trahissent la libre-démocratie qu’ils prétendent hypocritement défendre. Ils trahissent la mémoire de leurs propres engagements, en validant, par calcul ou par conviction, la vision du monde que Poutine appelle depuis longtemps de ses vœux : un monde d’empires, de zones d’influence, de nations soumises ou isolées.

Détruire l’Union européenne n’est plus, pour Moscou, un rêve lointain. C’est un chantier partagé avec Washington. Le plan stratégique américain parle ouvertement de « cultiver la résistance à la trajectoire actuelle de l’Europe » et se réjouit de la montée des « partis patriotiques » sur le continent. La convergence entre le discours MAGA et celui du Kremlin n’est plus un hasard : c’est une coalition de vocabulaire, d’intérêts et d’objectifs.

Là où l’Amérique US se disperse, Moscou concentre. Là où Washington rompt avec ses valeurs, Pékin consolide son influence. Là où l’Occident se morcelle, un axe Moscou–Pékin–New Delhi prend forme. Les États-Unis se sont longtemps crus intouchables ; ils découvrent désormais qu’on peut perdre le monde non par la défaite militaire, mais par la défaillance morale.

Le monde ne bascule pas dans le fracas. Il s’incline lentement, comme une digue rompue par la pression des eaux. Nous sommes à ce point de bascule. Il exige de nous une lucidité qui ne se réfugie plus dans les illusions anciennes, mais qui affronte le réel, même lorsqu’il se présente sous le visage glaçant d’un allié devenu imprévisible.

Car il faut désormais le dire sans trembler : le trumpisme n’est pas une fantaisie politique américaine, c’est une entreprise de démolition internationale, un mécanisme de sape qui affaiblit ses alliés, banalise les modèles autoritaires et offre à Moscou, comme aux autres régimes autoritaires, un champ libre que ces puissances n’espéraient plus. Cette dérive n’est pas accidentelle ; elle est voulue. Elle vise l’Union européenne, ses valeurs, son unité, et cherche à substituer au projet démocratique un monde brutal où le contrat social se dissout dans la force brute et la vassalisation politique.

Alors je me pose la question, face à cette réalité : combien de temps encore accepterons-nous que le sort de nos démocraties soit suspendu aux caprices d’un mouvement étasunien fascisant ( et ses chevaux de Troie d’extrême-droite en UE) qui travaillent ouvertement contre nous et notre modèle de société ?

Rudy

LA GRANDE TRAHISON : QUAND LES ÉTATS-UNIS LÂCHENT L’EUROPE

Je le pressens depuis un certain temps. Maintenant, ça saute aux yeux. Il plane aujourd’hui, sur la scène internationale, une étrange sensation d’inversion. Comme si les lignes de force qui structuraient l’ordre mondial depuis plus de trois générations s’étaient mises à glisser lentement, jusqu’à composer un paysage où les certitudes de l’après-guerre semblent frappées d’obsolescence.

Les States, jadis colonne vertébrale du « monde libre », s’écartent de leurs alliés naturels, cherchent querelle à ceux qui partageaient leur destin, et empruntent désormais la grammaire politique de leurs adversaires. Pendant ce temps, la Russie, patiente et méthodique, avance ses pièces avec une confiance presque insolente. Au cœur de cette recomposition, ce qui domine en Europe n’est plus seulement l’inquiétude : c’est la sensation, froide et nue, d’une trahison accomplie.

La publication récente de la stratégie de sécurité nationale américaine a agi comme révélateur. Jamais un document de la Maison Blanche n’avait affiché une telle sévérité envers l’Europe, ni une telle indulgence envers Moscou. Le texte décrit le continent européen comme voué à un « effacement civilisationnel », frappé d’une « perte des identités nationales » et d’une « asphyxie réglementaire », au point d’affirmer, avec une désinvolture stupéfiante, que certains pays de l’OTAN pourraient devenir, dans quelques décennies, « majoritairement non européens ».

Ce vocabulaire n’est pas celui de la diplomatie. C’est celui de l’extrême droite américaine – et européenne – transposé mot pour mot dans un document officiel. La sémantique du « remplacement », des « frontières menacées », de la « décadence civilisationnelle », glisse du discours de campagne au langage d’État. J. D. Vance, vice-président de Trump, avait déjà donné le ton en février, à Munich, lorsqu’il évoqua une Europe « affaiblie par ses choix idéologiques » et promise au déclin si elle persistait dans « la trajectoire actuelle ».

Pete Hegseth, secrétaire à la Défense, enfonça le clou au Reagan Forum en célébrant la fin de « l’idéalisme utopique » et le retour au « réalisme dur » qui ne reconnaît d’obligations qu’à l’endroit de la puissance nationale.

En réalité, ces mots forment un ensemble cohérent : il s’agit d’un glissement doctrinal majeur, où l’Amérique étasunienne renonce à l’idée d’un monde fondé sur le droit, et adopte une vision où seules comptent la force, la peur, la pureté identitaire.

Cette séquence me rappelle irrésistiblement le moment où, après la Révolution française, les monarchies d’Europe se liguèrent pour étouffer le souffle des libertés naissantes, convaincues qu’il fallait éteindre la flamme plutôt que d’en affronter la lumière.

Une révolution à rebours, honteuse, qui tourne le dos à la liberté qu’elle prétend incarner.

C’est dans ce contexte que les dirigeants européens, habituellement circonspects, ont parlé avec une franchise inédite. Lors de leur échange, devenu public, Emmanuel Macron a averti Zelensky qu’il existait « une possibilité que les États-Unis trahissent l’Ukraine sur la question du territoire sans définir clairement les garanties de sécurité ». Friedrich Merz en Allemagne a ajouté : « Ils jouent avec vous et avec nous ». Et le Finlandais Alexander Stubb, rompant avec toute retenue, a conseillé à Kiev de ne jamais se retrouver « seul avec ces types ». Ces phrases, lourdes et sobres, témoignent d’une rupture historique : pour la première fois depuis 1945, l’Europe ne prescrit plus la confiance envers Washington ; elle prescrit la prudence, voire la méfiance.

Il faut dire que les plans esquissés par les négociateurs trumpiens en Russie ont achevé de dissiper l’illusion. Steve Witkoff et Jared Kushner ont présenté un projet qui reprend « presque mot pour mot les positions russes » selon des sénateurs américains eux-mêmes : concessions territoriales, neutralisation durable de l’Ukraine, garanties illusoires, et même un partage de la reconstruction prévoyant que des proches de Trump puissent tirer avantage de fonds issus des actifs russes gelés. Je ne pensais pas voir un jour une diplomatie américaine calquée sur les desiderata du Kremlin ; pourtant, voici que ce qui paraissait impensable devient pratique courante.

Lénine doit en rire bien haut dans son mausolée.

C’est ainsi que la trahison s’est matérialisée : dans un document où l’Amérique semble prête à troquer la liberté d’un peuple contre les bénéfices d’une transaction.

Poutine, lui, a lu ces signes avec l’acuité de ceux qui n’espèrent plus rien et saisissent tout. Son voyage en Inde l’a illustré : Narendra Modi l’a accueilli comme un souverain, déroulant un accueil dont la somptuosité disait tout du rééquilibrage en cours. Des contrats militaires, énergétiques, technologiques ont été signés comme si l’invasion de l’Ukraine n’existait plus. Une Inde puissante, un Occident fracturé, et une Russie qui reprend sa place dans le jeu.

Par ailleurs vint la scène, presque théâtrale, sur un plateau de télévision indienne. Poutine, interviewé, faussement désinvolte, lâche : « Cinq heures de discussions ? C’est beaucoup trop pour moi ». Tout le monde sait qu’il avait fait patienter Kushner et Witkoff trois longues heures avant de les recevoir. La cruauté du geste n’échappe à personne : elle signifiait que l’Amérique n’est plus un interlocuteur digne de respect, qu’elle vient quémander une paix dont le Kremlin définit désormais les conditions.

Pendant que Moscou s’affirme, Pékin perfectionne son art du retrait actif. Macron, venu chercher une parole exigeant la fin de la guerre, n’a obtenu de Xi Jinping que l’illusion d’une neutralité dont chacun sait qu’elle est creuse. Les échanges militaires entre la Chine et la Russie se poursuivent pourtant, comme l’ont rappelé plusieurs rapports récents, sans que Pékin ne se départisse du masque du médiateur raisonnable. L’Amérique se retire du champ moral ; la Chine occupe le vide avec une discrétion calculée.

Dans cet enchevêtrement de renoncements américains et d’audaces russes se dévoile LA vérité du moment : Trump et ceux qui l’entourent ne trahissent pas seulement l’Ukraine. Ils trahissent l’Europe. Ils trahissent la libre-démocratie qu’ils prétendent hypocritement défendre. Ils trahissent la mémoire de leurs propres engagements, en validant, par calcul ou par conviction, la vision du monde que Poutine appelle depuis longtemps de ses vœux : un monde d’empires, de zones d’influence, de nations soumises ou isolées.

Détruire l’Union européenne n’est plus, pour Moscou, un rêve lointain. C’est un chantier partagé avec Washington. Le plan stratégique américain parle ouvertement de « cultiver la résistance à la trajectoire actuelle de l’Europe » et se réjouit de la montée des « partis patriotiques » sur le continent. La convergence entre le discours MAGA et celui du Kremlin n’est plus un hasard : c’est une coalition de vocabulaire, d’intérêts et d’objectifs.

Là où l’Amérique US se disperse, Moscou concentre. Là où Washington rompt avec ses valeurs, Pékin consolide son influence. Là où l’Occident se morcelle, un axe Moscou–Pékin–New Delhi prend forme. Les États-Unis se sont longtemps crus intouchables ; ils découvrent désormais qu’on peut perdre le monde non par la défaite militaire, mais par la défaillance morale.

Le monde ne bascule pas dans le fracas. Il s’incline lentement, comme une digue rompue par la pression des eaux. Nous sommes à ce point de bascule. Il exige de nous une lucidité qui ne se réfugie plus dans les illusions anciennes, mais qui affronte le réel, même lorsqu’il se présente sous le visage glaçant d’un allié devenu imprévisible.

Car il faut désormais le dire sans trembler : le trumpisme n’est pas une fantaisie politique américaine, c’est une entreprise de démolition internationale, un mécanisme de sape qui affaiblit ses alliés, banalise les modèles autoritaires et offre à Moscou, comme aux autres régimes autoritaires, un champ libre que ces puissances n’espéraient plus. Cette dérive n’est pas accidentelle ; elle est voulue. Elle vise l’Union européenne, ses valeurs, son unité, et cherche à substituer au projet démocratique un monde brutal où le contrat social se dissout dans la force brute et la vassalisation politique.

Alors je me pose la question, face à cette réalité : combien de temps encore accepterons-nous que le sort de nos démocraties soit suspendu aux caprices d’un mouvement étasunien fascisant ( et ses chevaux de Troie d’extrême-droite en UE) qui travaillent ouvertement contre nous et notre modèle de société ?

Rudy

– Alsace – Bravo à la commune d’Obergailbach / Owwergäälbàch

Bravo à la commune d’Obergailbach / Owwergäälbàch pour cette belle initiative, que l’on aimerait voir fleurir partout en Moselle, dans les localités où l’on parle (ou parlait) le Platt. Et notamment au Pays des Trois frontières ! Comme Sierck, Evrange, Roussy-le-Village, etc… qui ont déjà fait de même.

Eng wonnerbar Initiativ am Bitcherland, zu Owwergäälbach / Obergailbach. Dat sollt iwwerall gemaacht ginn, an zemools bei eis am Dräilännereck !

Merci au RL pour ce bel article !

La région peut elle prendre le nom de PAYS DE PROVENCE ?

La région peut elle prendre le nom de PAYS DE PROVENCE ? Historiquement c’est possible. IL n’est pas une parcelle du territoire de la région qui n’ait été concernée par la provence historique. Le pays nicois a été provencal jusqu’au 14 ème siècle. Les hautes alpes par le comte de Forcalquier l’ont été jusqu’au 12eme siècles et de tout temps par les évêchés d »Embrun et de Gap qui couvraient principalement la provence.

Le sentiment d’identité provencale est presente. Dans le sud des hautes alpes le parc naturel régional s »intitule barronie Provencales. Plusieurs localités des hautes alpes (laragne serre ou Rosans )se placent volontiers en PROVENCE. Gap et Embrun veut se situer entre PROVENCE et Dauphiné .

Pour ce qui est de la côte d’azur à l’ouest du fleuve var elle affirme son appartenance Provencale. Reste le cas délicat de Nice, très attachée à son identité spécifique. De plus l’histoire rappelle que Nice a une part d’identité provencale. Les duc de Savoie denommaient ainsi le pays nicois « terra nova de prouvenca « .

Au demeurant que le nom de PROVENCE englobe également le pays nicois et les hautes alpes n’empêcherait aucunement la dynamique des spécificités locales comme l’a toujours permis cette région de tradition fédérative.

Aujourd’hui la généralisation de l’acronyme PACA ou du terme sud est un désavantage pour tous les pays de provence Alpes Côte d’Azur. Dans paca ou sud on ne retrouve ni les Alpes du sud ni la côte d’azur ni la provence. Avec paca ou sud, tout le monde y perd !

Pour tous ces pays provençaux se retrouver avec ses spécificités et son identité propre sous le vocable PROVENCE est au contraire un atout. Qu ‘il s’agisse de notoriété d »images ou de culture, la région a intérêt à retrouver son nom historiquement fondé de PROVENCE qui est un véritable atout économique et touristique à l’international.

Ne soyons plus la seule région à être connu par son horrible acronyme ou par sud qui est insituabble alors qu’elle est la région de France la plus célèbre au monde.

Rendons son nom historiquement fondé à notre pays PROVENCE

Muselier ne sera qu’une parenthèse minable pour le peuple PROVENCAL.

OSCO PROUVÈNÇO.

Excuses officielles de l’état finlandais au peuple Sámi

Le premier ministre finlandais, Petteri Orpo, déclare que son pays devrait effectuer des excuses officielles de l’état au peuple Sámi, après que le rapport d’une commission vérité et réconciliation ait décrit des décennies d’assimilation forcée, d’éradication de la langue et de discrimination. Quand entendra -t-on des excuses et un changement de politique dans l’Hexagone ?

Union du Peuple Comtois

Nous apportons tout notre soutien a nos amis de l’ Union du Peuple Comtois, de la Confédération paysanne et de la Coordination Rurale ainsi qu’aux agriculteurs du reste de l’hexagone subissant des mesures sanitaires et vétérinaires dévastatrices pour leurs exploitations. Preuve une nouvelle fois que les abattages massifs n’ont rien endigué y compris en Savoie #DNC

À Écleux, Chamblay et Pouilley-Français, l’abattage des troupeaux touchés par la DNC est un drame qui, comme en Savoie, interroge l’avenir.

Notre agriculture mérite mieux qu’une politique sanitaire contestable, des forces de l’ordre en surnombre, et une ministre bien distante…

Inadmissible !!! Le drapeau Breton a été refusé

Inadmissible !!!

L’émoji Bzh (Le drapeau Breton) a été refusé par @unicode !

Faites le savoir au plus grand nombre, que notre drapeau breton a été refusé par l’organisation mondiale de référencement Unicode, lui pourtant, qui avait eu des résultats exceptionnels aux différents tests organisés par cet organisme de référencement !

Les raisons de ce non référencement sont obscurs !

Nous avons la même punition que le drapeau Catalan, demandé avant celui de la Bretagne, on dirait…..

Lehendakariak Bordeletik ….

Imanol Pradales Lehendakariak Bordeletik eskatu die Frantziako eta Espainiako estatuei abiadura handiko trenbide-konexioan egiteke dauden konpromisoetan aurrera egiteko.

« Europa no puede esperar, el eje atlántico tampoco, y la competitividad de Euskadi depende de una conexión ferroviaria de alta velocidad que es estratégica para la Unión Europea ».

🚅Imanol Pradales El Lehendakari appelle les États français et l’Espagne à progresser sur les engagements restants sur la liaison ferroviaire à grande vitesse.…

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Is veulent re-nommer les CHÀTEAUX CATHARES par forteresses royales!!

Bon alors maintenant ils veulent re-nommer les CHÀTEAUX CATHARES par forteresses royales!! Non mais ça vous fait rêver, ça vous élève l’âme, forteresse royale??

Pétition à signer pour que les bureaucrates intellos bien-pensants se mêlent de ce qui les regardent et arrêtent de falsifier l’Histoire OC

Et petite mise aux point pour ceux qui critiquent sans savoir. Là il s’agit de respecter la mémoire de la mort de femmes, hommes. Un Génocide nommé génériquement  » croisade contre les Albigeois ». Ceux qui ont eu le malheur à leur époque de penser et de vivre differemment des autres et qui semblait une menace pour la toute puissante église et LE ROI ✖️QUI DONNA SA BENEDICTION POUR QUE S’ ALLUMENT LES BUCHERS AVEC EN COMBUSTIBLE DES ETRES HUMAINS! HONTE A VOUS! Et oui sauver l’Esprit Occitan et la langue c’est important car cette culture portait déja à cette époque le concept du PARATGE ( le respect, l’aide au plus faible ) qui en conséquence rayonna l’art de vivre ensemble la CONVIVENCIA. Puisque l’ OCCITANIA était une terre d’accueil où se cotoyaient toutes les religions et traditions. Penchez vous un peu sur l’histoire avant de juger. De plus toutes les traditions et langues sont à protéger et à respecter car ce sont des Etres Humains qui les vivent!

✖️ ce roi était LOUIS 9 le dit ST LOUIS …

Le Midi à l’ouest de la Camargue, la Côte d’Azur à l’est …..

« Ce Côte d’Azur permet de bien baliser, de définir, pour nous Provençaux, un côté qui n’est pas notre Sud à nous. Il y aurait donc le Midi à l’ouest de la Camargue, la Côte d’Azur à l’est, et entre les deux, nous, le Sud. »

Comment une personne aussi intelligente que Médéric Gasquet-Cyrus a-t-il pu affirmer une telle ineptie !!!? Lui qui considère, comme d’autres, qu’il existe une unité culturelle de Bordeaux aux vallées provençales du Piémont érige des barrières au sein même de la Provence !!!

Si le Midi se situe à l’ouest de la Camargue (la Lengo dóu Miejour de Mistral n’est donc parlée qu’à l’ouest du Rhône ?), et qu’entre l’ouest de la Camargue et la Côte d’Azur il y a « le Sud » (Médéric Gasquet-Cyrus s’est-il museliérisé ?), où s’arrête « le Sud » à l’est et au Nord ?

De quoi en perdre la boussole alors qu’il eût fallu simplement prononcer le seul nom qui nous réunit tous face à un Paris qui nous résume à ses vacances « dans le Sud ».

Chaque 30 novembre, l’Écosse célèbre sa fête nationale.

Avec un jour d’avance …

Chaque 30 novembre, l’Écosse célèbre #StAndrewsDay sa fête nationale.

Musique traditionnelle, drapeaux Saltire flottant au vent 🏴󠁧󠁢󠁳󠁣󠁴󠁿🏴󠁧󠁢󠁳󠁣󠁴󠁿, haggis, ceilidhs et fierté d’un peuple uni…

C’est bien plus qu’une fête : c’est une affirmation d’identité, de culture et de mémoire. Viens découvrir l’histoire de Saint André, les traditions vivantes, et les liens forts qui unissent les nations celtiques (#Écosse, #Irlande, #PaysDeGalles / #Cymru, #Cornouailles, #Man … et #Bretagne.)

Tu y trouveras aussi des parallèles inspirants pour notre pays.

Scottish National Party (SNP)The ScotsmanYesCymruThe National NewspaperScotland Now