Catégorie : Informations Politiques

Le « patois » savoyard était officiellement reconnu

Le 16 décembre 2021, le patois savoyard était officiellement reconnu par le ministère de l’Education nationale sous le nom de « franco-provençal ». Quatre ans après et alors que la Haute-Savoie recevra du 18 au 20 octobre prochains, le congrès de la Fédération pour les Langues régionales dans l’Enseignement public (FLAREP), la langue que l’on croyait moribonde connaît un nouvel engouement.

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« déjacobiniser » la France, aujourd’hui par J.L Borloo

La vision de Jean-Louis Borloo sur la véritable décentralisation rejoint pleinement la nôtre. À travers ses récentes prises de parole, dans la presse comme à la télévision, il exprime avec force ce que nous défendons depuis des années : une France des territoires libres et responsables. Notre manifeste, élaboré et actualisé régulièrement, traduit cette conviction. Il est aujourd’hui soutenu par plusieurs personnalités politiques, qui partagent notre analyse — même si, pour l’heure, ce soutien reste encore discret.

Les propos de M. Borloo viennent renforcer notre position : le modèle institutionnel actuel paralyse nos régions. Il faut en sortir. La France ne pourra pas se réinventer sans une réforme profonde qui redonne aux territoires la liberté d’agir, d’innover et de décider.

Car nous le savons tous : le centralisme étouffe l’initiative. En rendant aux régions la maîtrise de leurs choix, nous rendrons aussi aux citoyens l’énergie et la confiance pour avancer, loin des affrontements politiciens déconnectés du réel.

Nous vous invitons à découvrir et à partager l’interview de Jean-Louis Borloo, qui éclaire avec lucidité cette urgence démocratique et territoriale.

J.Luc DAVEZAC – Bastir Occitanie / Régions Unies d’Europe

Interview de J.L BORLOO à Paris-Match : « Je propose que l’État se concentre enfin sur ses responsabilités premières : sécurités intérieure et extérieure, justice, contrôle migratoire, recherche, espace, mers et océans – et que tout le reste soit géré par les Provinces, qui connaissent le terrain, avec les règles de la Province et un Parlement de province : logement, services sociaux, hôpitaux locaux, écologie, familles, mères isolées, soutien à la jeunesse, orientation, sport, culture.

Cela permettrait d’avoir une vraie clarté, de redonner du sens et de l’efficacité à l’action publique. Le parlement de Bretagne, de Lorraine, de Provence de Savoie ayant pleine compétence pour tous les sujets concrets qui touchent la vie de nos concitoyens.

En 1958, de Gaulle avait légiféré par ordonnances pour sortir de la crise dans laquelle se trouvait le pays. Il faudrait procéder de la même manière pour « déjacobiniser » la France, aujourd’hui ?

Il avait surtout anticipé, dans son formidable discours de 1969, la nouvelle architecture nécessaire entre les Provinces et l’État. Et il avait raison. Aujourd’hui. La situation est différente, mais la leçon est la même : Une règle d’or : les systèmes incohérents sont des systèmes ruineux. Nous y sommes. Laissons les Bretons s’occuper du logement en Bretagne et les médecins diriger l’hôpital !

Ce qui est utopique c’est de penser qu’en ne changeant rien, sauf des rustines ou des visages, le résultat sera différent.  » Jean-Louis Borloo / Interview dans Paris Match / Octobre 2025 .

– Provence – La liste de Marie Pierre Callet

Par Stéphane Bougeon Prialet

J’ai le plaisir de vous annoncer que je ferai partie de la liste de Marie Pierre Callet pour les élections municipales de 2026. Issue d’une famille d’agriculteur du village et ayant passé mon enfance à Maussane. De retour depuis quelques années dans la commune en étant propriétaire de gites et actif dans la mouvence Provençaliste(responsable du parti autonomiste Provençal/Prouvènço nacioun sur la Provence rhodanienne),j’ai envie de rendre ses lettres de noblesse au village qui m’a tant donné et d’en faire le phare des Alpilles et du pays d’Arles.

Soutien de Bastir Occitanie A leur ami Stéphane pour sa détermination pour ce combat, fort de sa conviction et la force qu’il donne comme nous tous régionalistes, au changement qui doit s’opérer au plus vite, une victoire aux municipales sera une arme supplémentaire. Osca !!!

La France dans une dérive grave

Par Mathieu Guihard

8 octobre 2025

Unique en Europe, la crise politique et institutionnelle majeure que connait aujourd’hui la France est le résultat d’une dérive grave commencée avec l’échec de la Régionalisation voulue par le président De Gaulle en 1969. Le jacobinisme centralisateur, cette maladie des élites françaises, a entrainé, au fil des ans, un émiettement des pouvoirs publics au profit d’une oligarchie parisienne qui détient aujourd’hui entre ses mains tous les pouvoirs : exécutif, législatif, judiciaire et médiatique. Ce système confiscatoire et inefficace n’existe dans aucune démocratie du monde. Au sommet de ce système pyramidal, le Président de la République a plus de pouvoirs que n’en avait Louis XIV au temps de la Monarchie Absolue. Les conseils départementaux et régionaux sont au mieux des entités falotes, au pire des instruments du pouvoir central. La réforme jacobine des Régions de 2015 n’a fait qu’accentuer la maladie française. Endettée, bloquée, rincée, la France est, une fois de plus dans son Histoire, au bord de l’écroulement et de la crise de régime.

Or, contrairement à ce qu’assène l’oligarchie politico-médiatique qui nous gouverne, les Français ne sont pas jacobins et ne veulent pas du centralisme. Une récente enquête d’opinion Ipsos commandée par R&PS révèle que la quasi-totalité des Français pensent que « L’Etat central est trop déconnecté des réalités locales ». Mieux : 71% des Français veulent que « la France devienne fédérale et que le pouvoir et les moyens des Régions soient considérablement renforcés. ». Un chiffre qui monte à 78% pour les Bretons. On constate donc que le gouffre n’a jamais été aussi béant entre ce que défendent les partis parisiens en place, et ce que veulent les citoyens. Le Parti Breton salue la lucidité des Bretons mais aussi des Français, qui ont bien compris que l’échelon régional est le bon pour avoir de vraies Provinces représentatives, protectrices et efficaces.

L’ancien ministre Jean-Louis Borloo l’a dit dans sa récente interview : « Tout le monde fait tout ! (…) Il faut débloquer la France. Une mission : un seul décideur. » Et de tracer la voie à suivre : « La République fédérale à la française, c’est-à-dire que les Régions, mais sur leur périmètre historique, l’Alsace, la Lorraine, la Provence, la Bretagne, etc gèrent tout ce que ne gère pas l’Etat. L’Etat gère l’avenir, la recherche, l’espace, le quantique, les mers et les océans, la justice, la sécurité et les relations internationales. » Les provinces s’occupent du quotidien : « les gens, le logement, la santé, l’école, les mineurs isolés, etc. (…) Mais il faut aller jusqu’au bout : c’est un Parlement de province qui fait la loi de la Province avec les décrets d’application de la Province. »

Jean-Louis Borloo parle d’or, et le Parti Breton,le parti autonomiste Provençal, le parti Lorrain, le parti nationaliste Basque et plusieurs mouvements regionalistes soutiennent cette réforme de notre organisation institutionnelle qui permettra de faire d’énormes économies de fonctionnement et d’être efficace dans l’action publique. C’est, en réalité, la seule voie qui permettra de sortir du bourbier politicien dans lequel nous sommes tombés malgré nous. Mais attention ! Il faudra des Régions cohérentes et non technocratiques à la sauce parisienne. La Bretagne autonome devra être complète, c’est-à-dire inclure la Loire-Altantique, et elle devra vraiment être autonome : avec

un vrai budget, un Parlement de Bretagne et un Gouvernement de Bretagne. A l’image de ce qui se fait déjà partout en Europe.

C’est la voie de la démocratie bretonne qui est au cœur du projet politique du Parti Breton pour une Collectivité Bretagne unique. Le peuple breton mérite enfin une Collectivité publique qui corresponde à sa réalité humaine et ses aspirations à la responsabilité, la protection, l’identité et la prospérité.

CONFÉRENCE LUNDI 13 OCTOBRE

👉14H – Halle aux Marchands

« Soldat Frédéric Julien Dédébat, fusillé par la France »

✅L’association Culture, Loisirs, Bien Vivre en Savès accueillera Patrick Lasseube, historien et ancien maire de Saint-Lys, pour une conférence autour de son livre « Soldat Frédéric Julien Dédébat, fusillé par la France ».

✅Dans cet ouvrage, Patrick Lasseube retrace le parcours tragique de Frédéric Julien Dédébat, poilu exécuté le 24 décembre 1914, et mène une enquête approfondie sur les circonstances de son arrestation, son procès sommaire et son exécution.

✅En véritable enquêteur, il s’est rendu sur les lieux mêmes pour replacer cette affaire dans le contexte militaire et disciplinaire du début de la Première Guerre mondiale.

✅Son objectif est de documenter les mécanismes répressifs de cette période et de contribuer à la mémoire locale et nationale des soldats exécutés, dont Dédébat, natif de Saint-Lys.

📍Renseignements au 06 76 83 45

Vague de rejet de tout ce qui est russe.

Ukrainer en français  

Pendant des siècles, la russification agressive a entravé le développement de la culture et de la langue ukrainiennes. Plus de trente ans après la proclamation de l’indépendance, les Ukrainiens souffrent encore des conséquences de la politique destructrice de la Russie.

L’attaque à grande échelle de la Russie en 2022 a provoqué un renouveau culturel et national ; elle a également entraîné une vague de rejet de tout ce qui est russe.

Lorsque le début de la guerre russo-ukrainienne, la langue ukrainienne devient de plus en plus populaire en Ukraine. Depuis 2022, le pourcentage des ukrainophones augmente de 57% à 71% pendant un an.

Une humoriste ukrainienne Anastasia Babiy après une longue communication en russe a décidé de passer à l’ukrainien en 2022. Ses peurs d’être moins harmonieuse étaient infondées. Elle a traduit son pseudonyme en ukrainienne — «Zukhvala» (fr.: effrontée).

Le fondateur de la banque ukrainienne populaire «Monobank» Oleh Horokhovskiy a décidé d’abandonner la langue russe en 2022. Il a vu aux actualités qu’à Marioupol, on remplaçait un panneau routier par un autre portant le nom russe de la ville — c’était la raison.

Aujourd’hui, la communication en ukrainien est considérée comme un acte de résistance à l’occupation russe. Les Ukrainiens refusent tout contenu en russe sur Internet. Il est généralement admis que c’est une forme indirecte d’un financement de la guerre contre l’Ukraine.

Par contre, depuis 2014, on a les territoires ukrainiens occupés qui souffrent d’une russification agressive. Ils couvrent environ 26 % du territoire ukrainien. Les Russes y pratiquent la passeportisation; la répression économique; la destruction des médias indépendants; la répression contre ceux qui ne soutiennent pas l’occupation russe; les violations des lois et des normes du droit international; les pseudo-référendums en faveur de la Russie.

L’organisation de défense des droits humains «Almenda» a qualifié les actions des autorités d’occupation russes du «scénario de Crimée». Il prévoit une influence systématique dès l’âge de la maternelle.

Un paradoxe révélateur : Poutine a déclaré à plusieurs reprises son intention de protéger les russophones vivant en Ukraine. Mais ce sont les habitants des régions (l’est et le sud) où la majorité communique en russe souffrent le plus à cause de la guerre.

Les actions de la Russie moderne sont analogues à celles menées par les représentants de l’Empire russe, puis de l’Union soviétique. Leur objectif reste le même — effacer l’identité ukrainienne.

👉ukrainer.net/fr/ukraine-language-politics/

La répartition de la pauvreté en France

Sur la répartition de la pauvreté en France

La pauvreté varie considérablement selon les territoires. Elle est particulièrement présente dans le nord de la France, le pourtour méditerranéen, la Seine-Saint-Denis, ainsi qu’en Outre-mer.

En 2020, plus de 9 millions de personnes vivant dans un ménage en France métropolitaine se trouvent en situation de pauvreté monétaire, selon les données de l’Insee issues du dispositif Filosofi sur les revenus localisés sociaux et fiscaux. Cela représente 14,4% de la population. Ces personnes appartiennent à des ménages dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté, qui s’établit en 2020 à 1.120 euros par mois et par unité de consommation. Cela correspond, par exemple, à un revenu disponible de 1.120 euros pour une personne vivant seule, 1.680 euros pour un couple sans enfant, et 2.350 euros pour un couple avec deux enfants de moins de 14 ans.

Les disparités territoriales sont marquées : la pauvreté est plus fréquente dans les Hauts-de-France, les régions du sud de la France métropolitaine (Occitanie, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Corse) et en Outre-mer. À l’inverse, elle est moins répandue dans l’ouest de la France (Pays de la Loire, Bretagne). À l’intérieur des régions, des écarts existent aussi entre départements : en Île-de-France, par exemple, le taux de pauvreté est le plus élevé en Seine-Saint-Denis (27,6%), tandis qu’il est parmi les plus bas dans les Yvelines (9,7%).

À l’échelle locale, la pauvreté est plus fréquente dans les zones densément peuplées. C’est particulièrement visible dans des intercommunalités comme Creil, Béziers, Maubeuge, Roissy, Lens-Liévin, Perpignan, Nîmes ou Valenciennes, où plus d’une personne sur cinq vit en situation de pauvreté.

Notes : Les données sont présentées à l’échelle des intercommunalités, sauf pour la Métropole du Grand Paris (établissement public territorial) et pour la Guadeloupe, la Guyane et Mayotte (département), dont les taux de pauvreté datent de 2017.

Sources : Insee-DGFiP-Cnaf-Cnav-CCMSA, fichier localisé social et fiscal (Filosofi) 2020 ; Insee, enquête Budget de

famille 2017 (pour la Guadeloupe, la Guyane et Mayotte).

Infographie : INSEE Première, N°1968, publié le 03/10/2023. URL (.pdf) : https://www.insee.fr/…/stati…/fichier/7672092/ip1968.pdf

Delegacion Institut d’Estudi Aranesa a Barcelona JORNALET

Publié le 6 octobre 2025 par Joan Pèire LAVAL — Laissez une réponse

Diuendres passat, er Institut d’Estudis Aranesi – Acadèmia Aranesa dera Lengua Occitana (IEA-AALO) inaugurèc era sua delegacion en Barcelona, en un acte institucionau que mèrque ua hita istorica entara preséncia e projeccion dera lengua occitana en Catalonha. Ei eth prumèr viatge qu’eth caplòc catalan acuelh ua sedença establa dera institucion normativa der occitan en Aran, e damb era sua creacion Barcelona aurà dues acadèmies de lengües oficiaus: era catalana e era occitana.

Era naua sedença, plaçada laguens der Institut d’Estudis Catalans (IEC), vò establir pònts permanents entre es dues institucions e crear un espaci de collaboracion, recèrca e difusion culturau. Segons eth president der IEA-AALO, Jèp de Montoya, aguesta dubertura “ei un pas tà deuant entà assegurar era normalizacion dera lengua occitana e garentir un futur compartit damb Catalonha”.

En acte inaugurau deth diuendres, qu’aguèc lòc ena sala Prat de la Riba der IEC, era presidenta der Institut d’Estudis Catalans, Teresa Cabré, soslinhèc “era volontat de refortir encara mès uns ligams ja solids entre es nòstes lengües e cultures”. Tanben i participèren eth vicepresident 2u dera Deputacion de Barcelona, Dionís Guiteras e eth conselhèr de politica lingüistica dera Generalitat, Francesc Xavier Vila, que remerquèc qu’en Catalonha «er occitan ei ua part indissociabla dera identitat collectiva» e qu’er IEA-AALO n’ère «un actor indispensable».

Er acte se completèc damb es conferéncies de Patrici Pojada, president der Institut d’Estudis Occitans e membre der IEA-AALO e der IEC, e deth lingüista e dialectològ Ramon Sistac, e se clauèc damb era presència dera musica d’Eric Fraj.

Eth procès de dubertura dera delegacion se hè en tres estapes: era inauguracion institucionau deth 3 d’octobre, era prumèra session plenària dera acadèmia en Barcelona que se debanèc dissabte 4 d’octobre, e er acte de clauson deth 12u cors academic, previst entath 18 de deseme.

Damb aguesta implantacion en Barcelona, era Acadèmia vò «corregir un deficit istoric» e garentir ua preséncia establa der occitan enes espacis academics, culturaus e sociaus deth caplòc catalan. Era delegacion, situada en carrèr de Maria Aurèlia Capmany, 14-16, daurís atau ua estapa de projeccion e collaboracion renovada entre es encastres aranés e catalan.

Era Acadèmia Aranesa a inaugurat era sua delegacion en Barcelona

Era Acadèmia Aranesa a inaugurat era sua delegacion en Barcelona

#paisnostre

Délégation de l’institut d’études Aranesa à Barcelone JORNALET

Publié le 6 octobre 2025 par Joan Pèire LAVAL — Laissez une réponse…

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Delegacion Institut d’Estudi Aranesa a Barcelona JORNALET

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Diuendres passat, er Institut d’Estudis Aranesi – Acadèmia Aranesa dera Lengua Occitana (IEA-AALO) inaugurèc era sua delegacion en Barcelona, en un acte institucionau que mèrque ua hita istorica entara preséncia e projeccion dera lengua occitana en Catalonha. Ei eth prumèr viatge qu’eth caplòc catalan acuelh ua sedença establa dera institucion normativa der occitan en Aran, e damb era sua creacion Barcelona aurà dues acadèmies de lengües oficiaus: era catalana e era occitana.

Era naua sedença, plaçada laguens der Institut d’Estudis Catalans (IEC), vò establir pònts permanents entre es dues institucions e crear un espaci de collaboracion, recèrca e difusion culturau. Segons eth president der IEA-AALO, Jèp de Montoya, aguesta dubertura “ei un pas tà deuant entà assegurar era normalizacion dera lengua occitana e garentir un futur compartit damb Catalonha”.

En acte inaugurau deth diuendres, qu’aguèc lòc ena sala Prat de la Riba der IEC, era presidenta der Institut d’Estudis Catalans, Teresa Cabré, soslinhèc “era volontat de refortir encara mès uns ligams ja solids entre es nòstes lengües e cultures”. Tanben i participèren eth vicepresident 2u dera Deputacion de Barcelona, Dionís Guiteras e eth conselhèr de politica lingüistica dera Generalitat, Francesc Xavier Vila, que remerquèc qu’en Catalonha «er occitan ei ua part indissociabla dera identitat collectiva» e qu’er IEA-AALO n’ère «un actor indispensable».

Er acte se completèc damb es conferéncies de Patrici Pojada, president der Institut d’Estudis Occitans e membre der IEA-AALO e der IEC, e deth lingüista e dialectològ Ramon Sistac, e se clauèc damb era presència dera musica d’Eric Fraj.

Eth procès de dubertura dera delegacion se hè en tres estapes: era inauguracion institucionau deth 3 d’octobre, era prumèra session plenària dera acadèmia en Barcelona que se debanèc dissabte 4 d’octobre, e er acte de clauson deth 12u cors academic, previst entath 18 de deseme.

Damb aguesta implantacion en Barcelona, era Acadèmia vò «corregir un deficit istoric» e garentir ua preséncia establa der occitan enes espacis academics, culturaus e sociaus deth caplòc catalan. Era delegacion, situada en carrèr de Maria Aurèlia Capmany, 14-16, daurís atau ua estapa de projeccion e collaboracion renovada entre es encastres aranés e catalan.

Era Acadèmia Aranesa a inaugurat era sua delegacion en Barcelona

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