Mois : janvier 2023

UNE BLAGUE DE HILHDEPUTA !!!

Un Parisien, un Breton et un Toulousain découvrent un Génie. Le Génie leur dit : Jetez n’importe quoi dans l’océan, une mer ou une rivière Si je le retrouve vous mourrez. Si je ne le retrouve pas vous deviendrez l’homme le plus riche du monde.. Le Parisien jette un cure-dent dans la baie du Mont Saint Michel. . . le génie le retrouve. Le Parisien meurt. Le Breton jette un clou à la Pointe du Raz. le génie le retrouve . . . il meurt aussi.. Le Toulousain (je rappelle les toulousains sont les plus intelligents du monde !!!) > jette quelque chose dans le Canal du Midi. Le génie cherche, cherche, cherche, cherche et cherche encore. À bout de force, le génie lui demande qu’as- tu jeté ? Le Toulousain lui répond : Hé, putaing, un Aspro effervescent, cong !!!

Carte Blanche à Jean-Philippe Atzenhoffer : Les Alsaciens victimes de leur « identité étriquée »

La démission de Jean Rottner ravive le débat sur la dissolution du Grand Est, dans lequel ses partisans ont régulièrement recours à des propos stigmatisant les Alsaciens. Dernier exemple en date, ceux du conseiller régional Boris Ravignon : « Aujourd’hui, il y a un petit jeu mené par certains élus et partis alsaciens, loin de représenter la majorité en Alsace d’ailleurs, qui propage l’idée d’une identité ramenée à sa partie la plus étriquée. Cela m’agace (…) d’autant que personne ne menace l’identité alsacienne. (…) Est-ce que l’identité doit être le seul critère d’organisation au détriment de celui de l’efficacité ? Je ne pense pas ».

Personne en Alsace ne revendique une telle vision « étriquée » de l’identité. Et laisser entendre que seule une minorité souhaite la sortie du Grand Est est contredit par les sondages montrant qu’il s’agit d’une très large majorité.

En outre, Boris Ravignon oppose l’identité à l’efficacité. Les travaux économiques montrent pourtant que supprimer les régions porteuses d’identités est une erreur majeure. Alors que la Région cherche à imposer une identité du Grand Est, Boris Ravignon n’en fustige pas moins le prétendu « petit jeu identitaire mené par ceux qui n’en ont jamais assez », rappelant que « l’Alsace c’est la France », dénonçant le risque indépendantiste (rien que ça).

Cette campagne de dénigrement vise manifestement à détourner l’attention des sujets qui dérangent, dont le bilan économique. Dans un livre publié en 2021 (Le Grand Est, une aberration économique), je démontre pourtant que seule la dissolution du Grand Est permettrait d’allier le respect des identités et l’efficacité économique recherchée, n’en déplaise à certains.

Jean-Philippe Atz

Stéphane Linou le 21 janvier à l’Ostal Occitan Narbonés

  Stéphane Linou est invité par PAIS NÒSTRE.

Stéphane Linou est auteur et consultant, spécialiste du rapport essentiel entre l’alimentation et la sécurité. Il est ancien Conseiller Général de l’Aude et Conseiller Municipal écologiste .Pionnier du mouvement Locavore en France, il décrit les diverses vulnérabilités de nos systèmes alimentaires. Il est également auditeur de l’IHEDN (Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale) et Conseiller en développement local et en gestion des risques ainsi que formateur à l’Institut Supérieur des Elus. Il analyse notamment ces questions de manière transverse, au carrefour de nombreux domaines peu connectés dans les analyses traditionnelles (défense, agriculture, sécurité, alimentation, risques, société civile, collectivités locales, monde associatif, consommateurs).

Il s’attache à articuler

En particulier son action se porte sur les thèmes des ressources, du continuum sécurité-défense, de la gouvernance et des adaptations, sous le prisme des priorités d’engagement et de la saturation des infrastructures de sécurités. Il a ainsi publié en juin 2019 un livre-enquête issu d’un mémoire de recherche de Mastère spécialisé en gestion des risques sur les territoires, intitulé « Résilience alimentaire et sécurité nationale », lauréat du prix « Information préventive et résilience des territoires» au Forum national sur les Risques Majeurs et a directement inspiré au Sénat.

. Débat animé par Joan-Pèire Laval, journaliste , président de PAIS NÒSTRE

Franck Bonnet présente son nouveau thriller

Franck Bonnet est écrivain et romancier, il nous présente très brièvement son nouveau thriller.

Mon nouveau thriller, “Le fond de la nasse”, est sans rapport avec une quelconque partie de pêche mais vous y trouverez par contre une étrange et sinistre histoire de disparition au cours de laquelle il est question de dégringolade sociale, et qui plus est, dans un climat tout particulier.

Mardi 14 février, jour de la Saint-Valentin, offrez mes livres brochés, “Bouffée hilarante” (humoristique) et “Le fond de la nasse” (thriller) accessibles sur les sites Lys Bleu Editions, Fnac, Amazon Livres, Espace Culturel Leclerc, Cultura, Decitre, Chapitre et Dilicom.

Prouvènço Nacioun communique

Où l’on apprend qu’une association et un requérant avaient demandé au Conseil d’Etat d’annuler le décret n° ­2020-914 du 28 juillet 2020 portant classement du Parc naturel régional du Mont Ventoux, considérant que l’utilisation de la langue provençale dans les documents administratifs contreviendrait à l’article 2 de la Constitution en vertu duquel “La langue de la République est le français”.

Le Conseil d’Etat a statué que la charte du Parc ne saurait être entachée d’illégalité par quelques passages assortis d’une traduction en langue provençale qu’il qualifie de “ponctuels”.

Nous devons rester vigilants et combatifs face aux jacobins car la moindre petite concession faite aux langues minoritaires de France peut être remise en cause à tout moment.

Le lien vers l’article : https://www.lagazettedescommunes.com/…/lusage…/…

Le lien vers le rendu de décision du Conseil d’Etat : https://www.conseil-etat.fr/…/decision/2022-10-31/444948

C’est le plus petit village fortifié de France, il se trouve en Occitanie

Par Hugues-Olivier Dumez Publié le 11 Jan 23 

Photo ACTU

Situé près de Condom, dans le département du Gers (Occitanie), Larressingle est considéré comme le plus petit village fortifié de France. Il est surnommé « la petite Carcassonne ».

Certains l’appellent « la petite Carcassonne ». Rien que cela ! Situé près de Condom, dans le nord du département du Gers (Occitanie), Larressingle est « le plus petit village fortifié de France ». 

Ce village qui compte 210 habitants est ceint d’un rempart polygonal de 270 mètres de tour presque intact sauf à l’est. À titre de comparaison, la Cité de Carcassonne – le deuxième site touristique le plus visité de France après le Mont-Saint-Michel – possède trois kilomètres de remparts.

Quand la couronne de France et d’Angleterre se disputent l’Aquitaine au XIIIe siècle, les bourgs se fortifient. Les abbés de Condom font réaliser la forteresse de Larressingle.

Un château, une église romane,…

Classé parmi les « Plus Beaux Villages de France » et les Grands Sites Occitanie sous l’intitulé « Armagnac Abbaye et Cités », Larressingle présente un bel ensemble architectural du Moyen Âge composé d’un château (ancienne habitation des abbés puis des évêques de Condom), d’une église romane, de maisons médiévales. L’ensemble étant protégé de remparts, tours, douves et pont-levis.

Cette ancienne circonscription de la province de Gascogne avait le titre de comté. Abandonné puis restauré par le duc de Trévise, Larressingle est aujourd’hui un site incontournable du Gers.

Communiqué de presse de la Fédération des Pays Unis

Mercredi 11 janvier 2023

La Fédération des Pays unis demande à l’Etat français d’en finir avec la discrimination sur les prénoms régionaux

Après les tristes péripéties du tilde du prénom Fañch en 2018, d’abord refusé par l’Officier d’état civil de Quimper (Finistère, Bretagne) puis finalement autorisé suite au verdict de la Cour d’appel de Rennes, c’est le prénom occitan Artús, avec un accent aigu sur le « u », qui vient d’être rejeté par la mairie de Mende (Lozère, Occitanie) fin décembre.

La Fédération des Pays unis tient à exprimer son indignation face à l’acharnement de certains services de l’état civil qui interdisent de déclarer des prénoms régionaux.

De la Révolution française à la IIIème République jusqu’aux années 1960, les langues régionales ont été combattues sans véritable discussion comme des ennemies de l’Etat français. Depuis près de 50 ans maintenant, des familles se battent cependant contre l’administration française pour faire accepter des prénoms régionaux. Malgré la Loi du 15 mai 1987, relative aux noms et prénoms, qui stipule dans son article 1 que « L’officier de l’état civil ne peut recevoir dans l’acte de naissance des prénoms prêtant à confusion ou pouvant nuire à l’enfant ou à des tiers », certains services de l’état civil s’octroient encore le droit de refuser tel ou tel prénom sous prétexte qu’il ne répondrait pas aux canons de la République française. Rappelons que l’article 75-1 de la Constitution de la Cinquième République introduit les langues régionales dans la Constitution et qu’il a fallu la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008 pour que soit inscrit dans la constitution française que « Les langues régionales appartiennent au patrimoine de la France ». Malgré cette reconnaissance des spécificités régionales dans l’ensemble français, et malgré, dans ce cas précis, l’absence de nuisance vis-à-vis de l’enfant, l’attribution de prénoms régionaux fait encore l’objet d’un traitement discriminatoire de la part des services d’état civil de l’Etat français.

Face à cette discrimination, les membres de la Fédération des Pays unis expriment unanimement leur indignation et demandent à l’Etat Français de permettre que le prénom « Artús » puisse être couché sur le Livret de famille des parents de cet enfant.

Par ailleurs, les membres de la Fédération des Pays unis demandent une révision de la circulaire du 23 juillet 2014 pour permettre que la liste des voyelles et consonne accompagnées de signe diacritique de la langue française puisse être révisée en introduisant les spécificités idiomatiques régionales de la France.