Catégorie : Bastir Occitanie

Si c’était ton fils

Si c’était ton fils

tu remplirais la mer de navires

de n’importe quel drapeau. Mais ne t’inquiète pas

Il n’est pas ton fils.

tu peux dormir paisiblement

Et surtout bien sûr.

Ce n’est pas ton fils .. Ce n’est qu’un fils de l’humanité perdue,

De l’humanité sale, qui ne fait pas de bruit.

Ce n’est pas ton fils.

Dors tranquille.

Ce n’est pas le tien.

Pas encore.

David Lallemand Pesleux

Paco Ibáñez y Claude Marti, dos fenómenos de la canción, juntos en Toulouse gracias a Convergencia Occitana.

El pasado 17 de septiembre de 2024, el Auditorium Saint-Pierre des Cuisines de Toulouse se llenó de emoción y cultura en un concierto memorable que reunió a dos grandes figuras: Claude Marti y Paco Ibáñez. A pesar de un retraso de 40 minutos, la velada se extendió por casi 2 horas y 40 minutos, y dejó una huella indeleble en los presentes, entre los que se encontraban la directora del Instituto Cervantes y representantes del ayuntamiento y diversas instituciones culturales.

El primero en tomar el escenario fue Claude Marti, un pilar de la lengua occitana, quien a lo largo de su carrera ha defendido y promovido este idioma milenario. Marti interpretó sus canciones en occitano, impregnando la sala de la riqueza cultural de Occitania. Luego, un coro local continuó con versiones de canciones en occitano, incluyendo algunas de Claude Nougaro, cuya viuda estuvo presente, añadiendo un toque emotivo y nostálgico a la noche.

El momento cumbre llegó con la aparición de Paco Ibáñez, quien, con 90 años este noviembre y con su habitual espontaneidad y cercanía, se ganó al público. Entre olvidos simpáticos de qué canción seguir o en qué tono tocarlas, Ibáñez compartió historias que humanizaron aún más el concierto. Anécdotas como la de las gafas que no querían salir del bolsillo, o su célebre comentario « antes morir que hablar inglés » provocaron risas y aplausos, mostrando la conexión del artista con sus seguidores.

Paco Ibáñez interpretó junto a su amigo Claude Marti la famosa canción « La mala reputación« . Ya en solitario, junto con su guitarrista, continuó el repertorio, entre ellas elevó el ánimo del público con « A galopar, » coreada por todo el auditorio. También hubo un momento conmovedor cuando, antes de cantar un poema de Pablo Neruda, Ibáñez recordó cómo conoció al poeta chileno en París. Neruda le sugirió que su voz era perfecta para cantar uno de sus poemas, un recuerdo que emocionó tanto al cantautor como al público. El concierto continuó con « El lobito bueno, » una canción sencilla que resonó entre los asistentes, quienes la cantaron con entusiasmo. Las ovaciones al final fueron atronadoras, dejando claro el impacto de la noche.

Este evento fue organizado por la asociación Convergencia Occitana – Maison de l’Occitanie, una entidad clave en la promoción de la lengua y cultura occitana en Toulouse y toda la región de Occitania. Desde su creación en 1998, esta asociación ha trabajado incansablemente para impulsar una política cultural que otorgue visibilidad al idioma occitano, un patrimonio en peligro de desaparecer. Actualmente, reúne a más de 90 asociaciones, y su sede, el histórico Hôtel Capitulaire de Boysson, es un centro de difusión cultural, formación y trabajo asociativo.

Con iniciativas como este concierto, Convergencia Occitana demuestra cómo la cultura y la música pueden ser herramientas poderosas para preservar y promover lenguas minoritarias como el occitano. La combinación de música tradicional, la participación de artistas destacados, y el apoyo de instituciones locales refleja el compromiso con la revitalización del idioma. 

concierto

Peu de moyens pour les régions françaises

Par Alain GUARINO et JLuc DAVEZAC

JLuc DAVEZAC de Bastir Occitanie et Régions Unies d’Europe réagit à ces tableaux

Ces tableaux résument bien la situation française. Ceci a motivé et représentait pour pour Basrtir Occitanie un argument de poids dans notre campagne des régionales. Nous l’avons bien étudié et résumé sur notre MANISTESTE monté avec BOLEGADIS. Cet argument est aussi énoncé mais bien plus légèrement et quel dommage lors de la campagne des européennes avec nos amis régionalistes. Attentifs mais axés sur des priorités bien différentes. Nos partenaires écologistes l’ont découvert, de là bien sûr nous attendrons de leur part une réaction plus affirmée.

Pour les combats qui viennent quelque soit le territoire nous rappellerons que sans une réforme valable, les régions ne pourront pas être réellement utiles à un rebondissement économique, cultureL, social et tout ce qui en découle. Ces tableaux publiés par Alain Président du Parti Provençal sont très utiles pour étudier ce sujet. Merci, encore une fois à Prouvènço Nacioun, le partenariat apporte de la richesse

Alain GUARINO : Que ce soit en terme de budget ou de dépenses par habitant, les régions françaises souffrent de la comparaison avec celles des autres pays européens.

L’écart est encore plus manifeste avec nos voisins qui ont institutionnalisé l’autonomie de leurs régions. En France, les dépenses des administrations publiques locales représentent seulement 11,2% du PIB.

Un chiffre qui met à mal les récentes déclarations de Bruno Le Maire qui a accusé les collectivités d’être responsables du creusement du déficit public.

Pour rappel, les collectivités sont soumises à la « règle d’or », autrement dit la loi les oblige à présenter un budget en équilibre, contrairement à l’Etat.

(13) Pernod Ricard renonce

Après la polémique et les appels au boycott, le groupe Pernod Ricard renonce à son partenariat avec le PSG

La multinationale basée à Marseille rétropédale après la multiplication des appels au boycott des supporters de l’OM et annonce, ce jeudi, enterrer son projet de collaboration avec le PSG.

Face au tollé provoqué par l’annonce d’un futur partenariat avec le Paris Saint-Germain (PSG), le groupe Pernod Ricard renonce à cette collaboration, annonce la multinationale dans un communiqué consulté par France Bleu Paris. Cet accord était censé utiliser la popularité du club de football parisien afin de « promouvoir les marques de whisky et de champagne à l’international ». Il a finalement a provoqué une vague de critiques et même des appels au boycott parmi les fans de l’Olympique de Marseille.Publicité

“J’ai pris cette décision pour le Groupe et en entendant ceux qui en font le succès, dont nos collaborateurs en France, nos clients et nos actionnaires, au premier rang desquels ma famille », déclare Alexandre Ricard, Président-Directeur Général (PDG) de Pernod Ricard. « Cela fait plus de 90 ans que l’histoire de Ricard se confond avec Marseille qui l’a vu naître, grandir et l’inspirer. Et ce lien est plus fort que tout. C’est donc une décision qui vient du cœur que je prends aujourd’hui. »

Un accord « à l’international », pas que sur le pastis

Cet accord de parrainage de quatre ans avec le Paris Saint-Germain avait été annoncé par les deux parties lundi 2 septembre. Cet accord devait faire notamment de Pernod Ricard un partenaire officiel mondial, mais aussi l’unique fournisseur de champagne et de spiritueux du club de la capitale.

Selon Pernod Ricard, il s’agissait d’un accord “à l’international” où la marque PSG est fortement implantée. C’est uniquement dans cet espace international, comme aux États-Unis ou en Corée du Sud, que des actions devaient être menées.

Le poids des supporters marseillais

À Marseille, où est né Paul Ricard, créateur de la marque en 1932, et où se trouve le siège français du groupe, cette annonce a été vécue comme une véritable trahison , notamment parmi les supporters de l’OM, ennemi juré du PSG. Sur les réseaux sociaux, le mot clé #boycottPernodRicard a même été partagé des centaines de fois ces derniers jours.

Auprès de France Bleu Provence, mardi, le groupe affirmait “regretter l’emballement” et a parlé d’ une “incompréhension” autour de ce partenariat. Selon eux, le PSG n’a pas signé “avec Pernod Ricard, mais avec les 240 marques du groupe”, en citant par exemple les whiskies Chivas, le Malibu ou encore les champagnes Mumm.                              Article de Radio Bleu Provence .

(34) Montpellier a coupé toute subvention au plus vieux choeur occitan

Appel à tous ceux que la langue d’oc ou le chant intéresse !

Incroyable mais vrai, la ville de Montpellier a coupé toute subvention au plus vieux choeur occitan de la ville !

Le groupe Nadalenca a vraiment besoin de renfort car ses chanteurs, pour des raisons de santé et autres, s’éparpillent.

Si vous aimez chanter, si vous avez quelque intérêt pour cette belle langue si chantante, n’hésitez pas !

Nadalenca sera sur la foire des associations ce dimanche à Antigone.

Ils espérent avoir de nouveaux choristes mais aussi des adhérents non choristes (5€ l’adhésion), faute de quoi l’aventure pourrait bien s’arrêter en décembre.

C’est pour eux que nous avions monté ce beau projet de musique et danse autour de leur dernier spectacle sur le chant d’amour à travers les siècles.

(83) C’est la rentrée !

C’est la rentrée ! Pas que pour les enfants et pas uniquement dans les écoles.

Partout en Provence, des associations attendent petits et grands pour faire vivre la culturo nostro.

Des cours de langue, danses, musique provençales (et bien d’autres choses encore) sont proposés pour tous les niveaux.

Alors n’hésitez plus ! Trouvez l’association la plus proche de chez vous sur :https://www.observatoire-provence.com/langue-et…/annuaire/

https://provence.felibrige.org/cous-de-lengo-cours-de…/

DISSIDENCES AU PS : LA FIN DES LEÇONS DE LFI, UN ESPOIR POUR L’OCCITANIE ?

De Kamel BELKACEMI

Alors que la rentrée politique s’annonce houleuse, des voix dissonantes se font entendre au sein du Parti Socialiste. Malgré le refus catégorique du premier secrétaire Olivier Faure de toute négociation avec Emmanuel Macron en vue de former un gouvernement, plusieurs figures influentes du parti plaident pour une reprise des discussions. Une position minoritaire, certes, mais qui témoigne d’une fracture grandissante au sein du PS, tiraillé entre la fidélité à la NUPES et l’ambition de retrouver les leviers du pouvoir. Et plus encore, cette dissidence semble marquer une prise de conscience : la fin de la tutelle de La France Insoumise et la nécessité, pour les sociaux-démocrates, de prendre leurs responsabilités et de gouverner.

Hélène Geoffroy, maire de Vaulx-en-Velin, est l’une des plus ferventes défenseures de cette ligne. « Il sera reproché au PS de ne pas avoir essayé jusqu’au bout », affirme-t-elle, assumant pleinement sa volonté de renouer le dialogue avec le président. Pour elle, le PS « veut et doit gouverner », et refuse de recevoir « des leçons de gauche de LFI ». Un argument qui résonne avec l’appel au rassemblement lancé par Emmanuel Macron la semaine dernière. La maire de Vaulx-en-Velin se démarque également de la NUPES en refusant d’appeler à manifester le 7 septembre aux côtés de LFI, une décision motivée, selon elle, par les coûts engendrés pour les municipalités.

Philippe Brun, député PS, s’inscrit dans la même logique. Avant le refus d’Emmanuel Macron de nommer Lucie Castets, il avait plaidé pour un accord de non-censure, rassemblant suffisamment de groupes parlementaires pour atteindre la majorité à l’Assemblée Nationale. Une prise de position saluée par d’autres élus PS, notamment Carole Delga, présidente de la région Occitanie, qui milite depuis plusieurs mois pour une prise de distance avec LFI. Elle a d’ailleurs salué la tribune de Philippe Brun, voyant dans cette proposition une opportunité pour le PS de peser sur les décisions politiques.

Pour ces dissidents socialistes, l’enjeu est clair : gouverner et éviter d’être taxés d’irresponsabilité par les électeurs. Ils estiment que la participation à un gouvernement, même minoritaire, permettrait au PS de défendre ses valeurs et d’influencer la politique menée par Emmanuel Macron.

Plus fondamentalement, ils semblent avoir pris conscience que l’alliance avec LFI, et les « leçons de gauche » qui l’accompagnaient, ont éloigné le PS de son ADN social-démocrate et de sa vocation à gouverner.

La rentrée politique s’annonce donc tendue pour le Parti Socialiste, tiraillé entre la fidélité à ses alliés de la NUPES et la tentation d’un retour au pouvoir, mais aussi entre la soumission aux injonctions de LFI et la volonté de réaffirmer son identité social-démocrate et sa responsabilité de gouverner.

L’avenir du PS pourrait se jouer dans les prochains mois, entre la voie de l’opposition et celle de la participation gouvernementale, entre l’influence de la gauche radicale et la reconquête de son autonomie.

Kamel BELKACEMI

(22) 𝗞𝗜𝗡𝗡𝗜𝗚 𝗟𝗔𝗕𝗢𝗨𝗥 | 𝗢𝗙𝗙𝗥𝗘 𝗗’𝗘𝗠𝗣𝗟𝗢𝗜

Emañ Kreizenn Abherve o klask war-lerc’h tud dedennet da 𝗴𝗲𝗹𝗲𝗻𝗻 𝗮𝗿 𝗯𝗿𝗲𝘇𝗵𝗼𝗻𝗲𝗴 e Sant-Brieg adaleg fin miz Gwengolo 2024.

Kreizenn Abherve recherche des personnes intéressées pour 𝗱𝗼𝗻𝗻𝗲𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗯𝗿𝗲𝘁𝗼𝗻 sur Saint-Brieuc à partir de fin septembre 2024.

www.kreizennabherve.jimdofree.com

kreizenn.abherve@orange.fr , 06 03 40 78 44

#emploi#culture#langue#breton#brezhoneg#bilingue#breizh#bretagne#labour#Sevenadur

Una crida a las artistas femininas occitanas !

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✒️ Ten-te fièra ! Sois fière ! Lo PEN Occitan e las Edicions Reclams lançan una crida a las artistas femininas occitanas !

📖 Pintura, cançon, fotografia, pròsa, poèma…

Per participar rendètz-vos sul site de Reclams https://www.reclams.org/…/actualitats/790-ten-te-fiera-reg per lo reglament complet – d’aquí lo 31 d’agost de 2024 !

Podètz venir membre del PEN Occitan aquí : https://www.helloasso.com/…/collectes/lenga-maire-2023

Tenètz-vos fièras