Catégorie : Bastir Occitanie

Nouveau bureau de la FEDERATION DES PAYS UNIS

Lors de sa dernière réunion, la Fédération des Pays Unis a choisi son nouveau bureau. Comme il était entendu lors de la création de la Fédération, une rotation s’est opérée.

Après les premiers mois menés par Mathieu GUIHARD, Président du Parti Breton, Jean-Luc DAVEZAC, Président de Bastir Occitanie, lui succède.

Au poste de Vice-Président : Thomas RIBOULET, Président du Parti Lorrain.

Secrétaire : Alain GUARINO, Président de Prouvènço Nacioun.

Trésorier : Jean TELLECHEA, du Parti Basque.

Porte-parole : Mathieu GUIHARD, Président du Parti Breton

Membres : Philippe BONNET du Parti de la Nation Occitane et Jonathan HERRY d’Alternative Alsacienne.

Un point sur les résultats des élections législatives suit cette désignation. Ils sont bien meilleurs que prévu, c’est pour la FPU un bon premier combat pour ce nouveau partenariat.

Bien sûr, la réflexion porte sur les élections européennes de 2024. La FPU ne manque pas de représentantes et de représentants, mais le problème reste le financement .

Des réunions et rencontres se sont succédé depuis le début du mois de juillet, de nouveaux partenaires de toute la France et de l’Europe se manifestent.

En rappel : Durban Corbières ((11), Roanne (42), Nîmes (30), St Jean de Luz (64) et Bilbao Pays Basque, Paris, Lyon, Sont prévus: Lavaur (81) les 26 et 27 novembre, le 9 décembre Narbonne (11), le 10 décembre Marseille (13).

Enrichir les programmes scolaires ?

Nous validons !

La littérature provençale, de Louis Bellaud de la Bellaudière à Max-Philippe Delavouët en passant par les poètes du Félibrige, mériterait d’être enseignée aux petits Provençaux.

Et pourquoi pas aussi intégrer dans les manuels d’histoire les grands événements de notre nation, avant et après son rattachement à la France ?

Et si on étudiait aussi les écrivains en langues régionales à l’école?

Les programmes scolaires ne laissent quasiment aucune place aux œuvres des auteurs écrivant en breton, en corse, en Occitan ou en en basque. Et si cela changeait

#langues#LanguesRégionales#LanguesMinoritaires#languefrançaise#diversité#LExpress

EEditions GrassetMMyriam SalamaYYasmine OuannaneLLéa LaügtÉÉditions HéliopolesSSimone MorgenthalerIID EditionKKoumoulLLoic Le MoigneBBenjamin KeltzPPhilippe CrehangeLLes éditions du coin de la rue

La lingua occitana approda all’Università di Torino

Potranno iscriversi studenti magistrali del primo e del secondo anno di Scienze Linguistiche, ma sarà possibile frequentare le lezioni anche per uditori esterni all’Università

Una novità tutta occitana approda all’Università di Torino. Prende il via adesso a novembre, grazie al contributo economico di Chambra d’Òc ed inserito nel corso di laurea magistrale in Scienze Linguistiche, un laboratorio di occitano.

L’apertura di questo corso rappresenta una vera novità per il Piemonte. Nulla di nuovo era infatti più capitato all’Università di Torino da quando, tra il 2005 e il 2007, era stato avviato il master universitario di I livello « Lingua, cultura e società nella tutela delle minoranze linguistiche del Piemonte », all’interno del quale veniva offerto anche un lettorato di occitano. Successivamente, il master non è più stato attivato, oltre al fatto che l’insegnamento della lingua occitana non sia mai stato presente all’interno dei corsi di laurea « generalisti ».

« È una bella novità » – sostiene Matteo Rivoira, docente di dialettologia presso l’Ateneo torinese – « che in una regione a statuto ordinario quale è la Regione Piemonte, sia promosso un corso dedicato a una delle sue lingue minoritarie, così come avviene nelle regioni a statuto speciale per lingue quali il friulano, il ladino, il sardo. L’occitano è una lingua dal passato prestigioso, parlata nel territorio di tre Stati: Italia, Francia e Spagna. Negli altri due Stati è insegnata da lungo tempo in varie Università, come Nizza, Montpellier, Tolosa, Bordeaux, Lleida… ma finora non in Italia« .

La conduzione del laboratorio di occitano è stata affidata ad Aline Pons, occitanofona della val Germanasca che da anni svolge attività di ricerca sulle lingue del Piemonte presso il Dipartimento di Studi Umanistici dell’Università di Torino. Della durata di 36 ore, sarà articolato in due sezioni: una prima più teorica, di inquadramento della situazione linguistica e sociale delle comunità occitanofone alpine, mentre una seconda più pratica, volta alla comprensione e alla collocazione spaziale di testi orali e scritti in occitano cisalpino.

Potranno iscriversi al laboratorio gli studenti magistrali del primo e del secondo anno di Scienze Linguistiche, ma sarà possibile frequentare le lezioni anche per uditori esterni all’Università (i quali non potranno però sostenere l’esame finale).

L’introduzione di un laboratorio di occitano presso l’ateneo torinese è stata favorita da due importanti fattori: il sostegno della Chambra d’Òc, che si è fatta carico del lancio dell’insegnamento con fondi propri, e la presenza, fin dall’anno accademico 2015/2016, di un “laboratorio di piemontese”, sostenuto nelle sue fasi iniziali dalla Ca dë Studi Piemontèis, grazie alla donazione di un privato.

Qui il programma: https://linguistica.campusnet.unito.it/do/corsi.pl/Show?_id=vfro

Beatrice Condorelli

BASTIR OCCITANIE A PARIS

Merci à Corinne LEPAGE

Alexis du groupe ECOLOGIE AUTREMENT et Jean-Luc de BASTIR OCCITANIE et PRESIDENT de la Fédération des Pais Unis à PARIS; Quelques vues qui illustrent les rencontres pour les prochains combats ! Le Parti Breton était là, avec Mathieu – président du Parti breton,et Joannic !

le Mouvement des Progressistes avec François Béchieau – élu de Paris 19 , CAP 21 –

Les co-présidents d’Ecologie autrement: Sabria Boualla-ga & Jean-Baptiste Roger. Tout organisé sur la péniche El Alamein à Paris quatre tables rondes pour échanger et débattre avec des intervenants tels que mesdames les ministres Corinne Lepage et Clotilde Valter, Rachel Kahn;

-autour de l’exemplarité en politique, -des perspectives de l’écologie politique, -de l’adaptabilité -et des droits humains dans le monde.

Grégory Berthault – élu d’Eaubonne (issu du Mouvement Citoyen pour la Protection Animale),

, Esther Mvondo, Gildas Viera – élu de Blois (la France Autre-ment) ainsi que Marie et Jeanne Montagnon.

Plus de 200 personnes ont répondu à l’appel pour des débats riches d’idées et de propositions pour un avenir AUTREMENT

Mattia Pepino se sent triste

Grand òme, grand occitanista… avètz portat endavant vòstre (noste) sòmi fins al darrièr jorn de vòstra vida! encara qu’es ton aniversari te remembre! Bon viatge Gèli Grande !

Grande uomo, grande occitanista… Hai portato avanti il tuo (nostro) sogno fino agli ultimi giorni della tua esistenza terrena! Oggi, giorno del tuo compleanno ti ricordo! Buon lungo viaggio Gèli Grande!

Grand homme, grand occitaniste… en faisant avancer votre rêve jusqu’au dernier jour de votre vie ! Même si c’est ton anniversaire je me souviens de toi ! Bon voyage Gèli Grande !

Grand homme grand occitaniste… Tu as poursuivi ton (notre) rêve jusqu’à tes derniers jours de ton existence terrestre ! Aujourd’hui, pour ton anniversaire, je me souviens de toi ! Bon long voyage Gèli Grande !

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1Jean-Luc Davezac

Un laboratorio di occitano all’università di Torino

Oltre agli studenti magistrali del primo e secondo anno di scienze linguistiche, potranno assistere anche gli esterni

di Sandro Marotta – Martedì 1 novembre 2022

Cuneo – Prenderà il via nel mese di novembre un corso universitario di lingua e cultura occitana presso l’università di Torino. Il laboratorio, inserito nel corso di laurea magistrale in scienze linguistiche, prevederà 36 ore di lezione e sarà diviso in due sezioni: la prima di inquadramento linguistico e sociale delle comunità occitanofone alpine, la seconda più pratica, volta alla comprensione e alla collocazione spaziale di testi orali e scritti in occitano cisalpino. La docente sarà Aline Pons, occitanofona della val Germanasca e ricercatrice presso l’ateneo torinese in materia di lingue del Piemonte. Potranno iscriversi tutti gli studenti magistrali del primo e del secondo anno, ma la frequenza è concessa anche agli uditori esterni (che però non potranno sostenere l’esame finale); l’iniziativa è stata sostenuta dall’associazione culturale cuneese Chambra d’Òc.

Gers : la Fédération des Pays Unis regarde déjà vers les européennes

Par Lucie LESPINASSE de la Dépêche du Midi GERS

Après avoir présenté près de 200 candidats aux législatives, le groupe politique, qui réunit les partis régionalistes, va à la rencontre des autres mouvements pour se faire connaître et se préparer aux prochaines échéances électorales.

« Les résultats aux élections législatives nous ont encouragés », affirme Jean-Luc Davezac, président de la Fédération des Pays unis, le groupe politique qui réunit plusieurs partis régionalistes, dont Bastir Occitanie. Avec près de 200 candidats sur l’ensemble du territoire, dont environ 140 qui ont obtenu plus de 1 % des voix, le nouveau parti pourra donc bénéficier d’aides de l’État et ainsi s’organiser différemment à l’avenir.

A lire aussi : Bastir Occitanie du Gersois Jean-Luc Davezac rejoint la Fédération des pays unis

Depuis les élections, Jean-Luc Davezac et ses partenaires continuent cette association et se rapprochent d’autres groupes. « J’ai commencé par aller voir les candidats un peu partout, notamment les plus proches en Ariège et dans le Tarn », indique le président de Bastir Occitanie. En août, la FPU s’est rendue à Roanne, dans la Loire, afin de « créer un partenariat avec des groupes de plusieurs idées, toujours avec la volonté de créer un groupe cohérent ».

Puis c’est à Nîmes qu’une réunion a eu lieu, notamment avec l’Ecologie autrement, avant une visite dans le Pays basque, où Jean-Luc Davezac et Alexis Boudaud ont pu échanger avec un représentant du parti basque, Andoni Ortuzar, ainsi qu’avec la députée européenne Izaskun Bilbao. « Nous avons ainsi pu échanger sur l’identité des régions au sein d’une Europe unie et sur l’idée d’un manifeste pour les régions et une Europe fédérale », indique le président de la FPU.

Sortir du jacobinisme à la française

Car la Fédération regarde déjà vers les élections européennes, prévues en 2024. C’est pourquoi, les représentants du groupe politique se rapprochent d’autres partis et discutent des projets qu’ils souhaitent développer. « Nous regardons comment nous pouvons travailler ensemble, précise Jean-Luc Davezac. Et malgré la multitude des groupes qui nous composent, cela ne pose, à mon sens, aucune difficulté. »

Selon le leader de la FPU, l’entente porte d’abord sur le fait de voir la politique différemment, avec la fin du jacobinisme et donc une décentralisation au profit des territoires. « L’exemplarité dans la politique, les droits humains, la démocratie participative… Ce sont des valeurs qui nous rassemblent, énumère le Gersois. Et si chacun a ses préférences, en nous mettant tous ensemble, notre programme ressemble à un cocktail crédible ».

En voulant garder son esprit d’ouverture, la FPU développe, au gré de ces rencontres, de nombreuses relations lui permettant d’acquérir de la puissance et une meilleure communication. « A chaque fois que l’on est invité à une réunion, cela nous permet de nous faire connaître et de partager nos propositions », souligne le président, qui espère également développer les adhésions dans les partis de la FPU, notamment Bastir Occitanie. « On a fait du chemin, estime le président de la Fédération, officiellement créée en janvier dernier. Maintenant, nous devons continuer et développer des stratégies avec les différents groupes, dont les Bretons et les Basques, pour essayer d’aller encore plus loin ».

Lucie Lespinasse