Dans un coin pittoresque de l’Espagne, où les champs de tournesols s’étendaient à perte de vue, vivait un âne astucieux nommé Català et un taureau majestueux appelé Ibérico. Català, avec ses grandes oreilles frémissantes et son regard pénétrant, symbolisait l’esprit de la Catalogne, tandis qu’Ibérico, avec ses cornes robustes et son allure imposante, incarnait la fierté de toute l’Espagne.
Un jour, alors que les voitures filaient sur les autoroutes, arborant fièrement des autocollants à l’effigie de Català et d’Ibérico, les deux animaux se rencontrèrent dans une prairie verdoyante.
« Pourquoi cherches-tu à te distinguer ainsi, Català ? » demanda Ibérico avec une curiosité non dissimulée. « N’appartenons-nous pas tous les deux à cette grande nation ? »
Català, levant les yeux vers le ciel bleu, répondit avec sagesse : « Ibérico, mon ami, je ne cherche pas la division, mais à célébrer notre diversité. Chacun de nous a une histoire, une culture, des traditions qui nous rendent uniques. »
Ibérico frappa doucement le sol de son sabot, pensif. « Mais ne risquons-nous pas de nous éloigner les uns des autres ? De diviser ce qui a été uni si longtemps ? »
« Non, Ibérico », sourit Català. « C’est dans notre diversité que réside notre vraie force. En partageant nos histoires, nous enrichissons notre nation. Nous ne sommes pas des adversaires, mais des compagnons de voyage sur le chemin de la compréhension et de l’unité. »
Touché par ces mots, Ibérico acquiesça. Ensemble, ils regardèrent les voitures passer, chacune portant fièrement le symbole de l’âne ou du taureau, et comprirent que leurs différences ne les séparaient pas, mais les liaient plus étroitement dans le tissu coloré de leur patrie.
Ainsi, Català et Ibérico continuèrent à vivre en harmonie, rappelant à tous que la diversité n’est pas une faiblesse, mais une célébration de l’unicité de chacun, unissant tous les habitants dans un tableau vivant de cultures et d’histoires partagées.
#Aran e #Barcelona son diferents mès tanben an punts en comun fòrça importants: es dus an un estatus diferenciat reconeishut (era Lei de Regim Especiau d’Aran e era Carta de Barcelona), en àmbit dera salut, eth Parc Salut Mar deth que ne depen er Hospital del Mar damb qui mantenguem ua aliança d’èxit e rèptes coma era diversificacion e adaptacion deth modèl economic. Aué n’auem parlat damb er alcalde @jcollboni entà sajar tanben d’apropar era vision urbana e era rurau e de montanha qu’auem andús territòris. En definitiva, un pas entà tèisher espacis de cooperacion e complicitat tant de besonh enes tempsi que viuem.
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#Aran i #Barcelona són diferent però també tenen punts en comú molt importants: els dos tenen un estatus diferenciat reconegut (la Llei de Règim Especial d’Aran i la Carta de Barcelona), en l’àmbit de la salut, el Parc Salut Mar del que en depèn el Hospital del Mar amb qui mantenim una aliança d’èxit i reptes com la diversificació i adaptació del model econòmic. Avui n’hem parlat amb l’alcalde @jcollboni per intentar també apropar la visió urbana i la rural i de muntanya que tenim ambdós territoris. Cooperació i complicitat tant necessària en els temps que vivim.
#Aran et #Barcelone sont différents mais ils ont des points communs importants : cela mène à un statut différencié reconnu (c’était la loi du régime spécial d’Aran et c’était la charte de Barcelone), dans le domaine de la santé, le parc de santé qui dépend de l’hôpital del Mar que nous maintenons une alliance de succès et de défis comme la diversification et l’adaptation du modèle économique. Aujourd’hui nous avons parlé avec le maire @jcollboni puis pour savoir comment aborder c’était vision urbaine et c’était rural et montagneux que nous avons des territoires andus. Finalement, un pas de plus vers ces espaces de coopération et de complicité tant nécessaires dans les temps que nous vivons.
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#Aran et #Barcelone sont différents mais ils ont aussi des points communs très importants : les deux ont un statut différencié reconnu (la loi du régime spécial d’Aran et la charte de Barcelone), dans le domaine de la santé, le parc de santé de Mar dépend de l’hôpital de Mar avec qui nous maintenons un alliance de succès et de défis tels que la diversification et l’adaptation du modèle économique. Aujourd’hui nous avons parlé avec le maire @jcollboni pour essayer aussi de rapprocher la vision urbaine et rurale des montagnes dont nous avons les deux territoires. Coopération et complicité si nécessaires dans les temps que nous vivons.
TRIBUNE LIBRE – Jean Tellechea et Jean-Luc Davezac tirent les enseignements du processus en cours d’autonomie de la Corse dans le cadre de la politique de décentralisation de l’État français.
Emmanuel Macron a souhaité un « accord » d’ici six mois entre les partis politiques corses et le Gouvernement pour lancer une révision constitutionnelle. (Gaizka IROZ)
Depuis son arrivée au pouvoir, Emmanuel Macron a répété tout le mal qu’il pense de la décentralisation actuelle. À l’occasion de sa dernière visite à Ajaccio, il a passé un cap en appelant à un nouveau modèle d’autonomie pour la collectivité corse. Sans attendre, Loïg Chesnais-Girard, le président de la Région Bretagne a demandé d’élargir le débat aux autres collectivités. L’occasion est venue de réviser le modèle institutionnel de la décentralisation à la française et d’offrir plus d’autonomie aux territoires qui le souhaitent.
Lors de sa dernière visite en Corse, le président de la République a publiquement annoncé qu’il était favorable à ce qu’une “nouvelle étape soit franchie” dans le projet d’une autonomie de la Corse. Ce seront aux élus corses et au Gouvernement d’en définir les termes. Rappelons qu’il y a dix ans, la lutte armée disparaissait officiellement en Corse et en 2015, la Corse est devenue une collectivité territoriale à statut particulier. Depuis, elle présente des spécificités institutionnelles et dispose de compétences supplémentaires par rapport aux régions continentales. Adossée à un Conseil économique, environnemental, social et culturel, elle s’appuie sur une Assemblée représentative et un Conseil exécutif dirigé par un président, Gilles Simeoni. Depuis 18 mois, des discussions sont ouvertes pour étudier l’avenir institutionnel de l’île car, en dépit de sa spécificité juridique actuelle, des questions restent encore en suspens dans la Constitution française : la reconnaissance du peuple corse, la coofficialité de la langue corse, le statut de l’île et la place de l’autonomie. Aujourd’hui, les Corses avancent sur la question de l’autonomie. Les Journées internationales de Corte d’août dernier ont permis aux formations indépendantistes corses de marquer leur différence avec les autonomistes au pouvoir. Pour les Corses, c’est aussi le modèle autonomique, plus ou moins émancipé de Paris, qui est en jeu. Les débats sont en cours et les Corses ont une partie de la solution entre leurs mains. Au-delà de la question proprement corse, le con-texte actuel est une opportunité uni-que pour que d’autres régions à forte identité puissent avancer sur une véritable reconnaissance institutionnelle et politique.
“Nouvelle étape de la décentralisation” : une opportunité pour les régions
Le président de la région Bretagne l’a résumé en évoquant le principe d’égalité dans la République : “On ne peut avoir des élus avec plus d’autonomie d’action en Corse, et maintenir les autres dans un centralisme inefficace et d’un autre âge”. C’est le moment. Le 4 octobre dernier, Emmanuel Macron a annoncé l’ouverture d’une nouvelle étape de décentralisation rappelant les scories du mille-feuilles français, déjà présentées dans le rapport public annuel 2023 de la Cour des Comptes : “des priorités fluctuantes et, sur certains points, contradictoires”, un “mouvement législatif abondant et quasiment continu dépourvu de réelle ligne directrice et donc de cohérence d’ensemble”. Le modèle de décentralisation à la française ne satisfait personne.
Que ce soit en outre-mer ou en Métropole, de nombreux territoires appellent à une plus forte autonomie de décision pour administrer au plus près les questions politiques. En avril 2022, le Conseil régional de Bretagne avait demandé l’ouverture de discussions en vue d’une autonomie législative et fiscale. Lors du Congrès des régions, à Saint-Malo, le président de la Région a remis un rapport réclamant davantage d’autonomie, au nom de “la spécificité régionale bretonne”, à la Première ministre. En Alsace, certains élus revendiquent non pas une autonomie mais un statut alsacien propre. En 2021, les deux départements alsaciens ont constitué une collectivité locale pour défendre leurs spécificités culturelles communes. En Iparralde, depuis 2017, nous disposons d’une Communauté d’agglomération Pays Basque qui reconnaît une existence juridique au sein de l’état français. Les choses évoluent mais le modèle décentralisé est largement à parfaire. L’État continue d’administrer de manière très centraliste nos territoires.
Rien n’est gagné et il faut revendiquer plus d’autonomie pour répondre au mieux aux besoins de notre territoire et de ses habitants. Le Sénat devra valider la révision de la Constitution mais les lignes semblent bouger pour faire évoluer un système institutionnel que l’on sait dysfonctionnel.
Info d’OC Volèm viure, trabalhar e decidir al país !
Junts per Catalunya i el PSOE han arribat a un acord per a la investidura de Pedro Sánchez com a president del govern espanyol. Al document es diu que és un acord per a obrir “una nova etapa i contribuir a resoldre el conflicte històric sobre el futur polític de Catalunya”, i per a “procurar la governabilitat durant la XV legislatura”.
El pacte constata les discrepàncies i la desconfiança entre el PSOE i Junts. Per això, diuen, volen “dotar-se d’un mecanisme entre les dues organitzacions, internacional, que tingui les funcions d’acompanyar, verificar i fer el seguiment de tot el procés de negociació i dels acords a què s’arribi”. La primera reunió es farà durant aquest mes i s’hi tractarà, entre més qüestions, del reconeixement nacional de Catalunya i també dels dèficits i les limitacions de l’autogovern.
És en aquest context que les dues parts hauran d’acordar, si escau, la metodologia de la negociació “per dotar el procés de certesa”; els continguts dels acords a negociar “a partir de les aspiracions de la societat catalana i de les demandes de les seves institucions”, que en termes generals s’agrupen en dos grans àmbits permanents: la superació dels dèficits i les limitacions de l’autogovern, i les relatives al reconeixement nacional de Catalunya; l’ampliació de la participació directa de Catalunya en les institucions europees i més organismes i entitats internacionals; l’estabilitat de la legislatura; i la llei d’amnistia, incloent-hi la lawfare. Sobre aquest punt, Santos Cerdán, per part del PSOE, ha dit que la llei d’amnistia ja s’ha acordat, però que si no es presenta encara és perquè hi han de donar el vist-i-plau tots els grups polítics que la presentaran al congrés espanyol.
El document avança que Junts proposarà de fer un referèndum d’autodeterminació, acollint-se a l’article 92 de la constitució espanyola, que fa referència a la convocatòria de referèndums. El PSOE, en canvi, proposarà el desenvolupament dels mecanismes prevists a l’estatut. Vilaweb.cat 9- 11 – 2023
Info d’OC Volèm viure, trabalhar e decidir al país !
Parti Lorrain de la Fédération des Pays Unis. Une centaine de personnes présentes à Golbey qui ont retracé 1 000 d’histoire de la Lorraine; Une interactivité rafraîchissante, mille et mille merci En photo / en animateur et Président du Parti Lorrain Thomas Riboulet, bien sûr il est accompagné de Camille Zeghmoulis !
Public · Tout le monde sur ou en dehors de Facebook
Thomas RIBOULET, Président du Groupe BLE Lorraine et spécialiste de la Lorraine, donnera une conférence sur l’histoire du Duché de Lorraine le dimanche 5 novembre 2023 à 15h dans la Salle Barbelouze de Golbey, près d’Epinal, à l’invitation de Camille ZEGHMOULI, Maire-adjoint de Golbey, professeur de sciences économiques et Vice-président du Parti Lorrain.
Du Traité de Verdun en 843 à la fin du Duché en passant par la Bataille de Nancy, le siège de Metz en 1552 ou encore la Guerre de Trente Ans, revivez de manière pédagogique et interactive les grands évènements qui ont émaillé l’histoire de la Lorraine pendant près de mille ans.
Le Parti Breton appelle à manifester à Quimper le samedi 4 novembre pour la réouverture physique 24 heures sur 24 du service des urgences de l’hôpital de Carhaix. Il plaide pour l’autonomie politique de la Santé.
ATTENTION MANIFESTATION ANNULÉE SUITE A L’ACCORD INTERVENU POUR L’HÔPITAL DE CARHAIX.
La fédération du Finistère du Parti Breton appelle ses adhérents et sympathisants à participer à la manifestation qui se déroulera devant la préfecture du Finistère de Quimper le samedi 4 novembre 2023, pour obtenir la réouverture physique 24 heures sur 24 du service des urgences de l’hôpital de Carhaix.
Les urgences sont de plus en plus malmenées, en particulier dans les villes moyennes comme récemment à Carhaix, Ancenis, Redon, Fougères, Vannes, Lannion, etc. Les préfets obéissent à Paris. Or ce service est indispensable à la population et doit être réhabilité !
Pour le Parti Breton, c’est par la voie de l’autonomie politique que nous retrouverons un service de santé digne de ce nom. La Bretagne doit obtenir la compétence Santé de plein exercice, avec transfert budgétaire et pouvoir normatif. Ce n’est qu’avec cette évolution institutionnelle que nous pourrons véritablement installer un secteur de la Santé ayant les moyens de remplir son service à la population, sans subir des décisions parisiennes contraire à nos intérêts.
Loïc Duprat, responsable Finistère du Parti Breton.
Ralliement de Corinne Lepage, ancienne ministre de l’Environnement, et d’Antoine Waechter
Quelques semaines après avoir obtenu le ralliement de Corinne Lepage, ancienne ministre de l’Environnement, et d’Antoine Waechter lors de l’université d’été d’Avignon, le président de la Fédération des Pays Unis (FPU) (voir : https://paysunis.org/), Jean-Luc Davezac, était de passage en Lorraine à l’invitation du Parti Lorrain, membre fondateur de la FPU (voir : https://parti-lorrain.e-monsite.com/blog/federation-des-pays-unis/lancement-de-la-federation-des-pays-unis.html). Il était accompagné d’Alexis Boudaud, coordinateur national et président de l’Ecologie Autrement !, et de Claire Daugé, représentante d’Occitanie Pays Nostre..
On n’arrête plus la Fédération des Pays Unis !
Créée en janvier 2022 et regroupant plusieurs partis régionalistes, autonomistes et nationalistes de Bretagne, de Lorraine, d’Occitanie, du Pays Basque ou encore de Provence qui partagent des valeurs et des principes communs comme la démocratie, le progrès et le fédéralisme, celle-ci compte bien peser de tout son poids lors des prochaines élections européennes. Pour ce faire, elle entend reconduire la plus grande coalition régionaliste et écologiste de l’Hexagone qui lui avait permis de récolter plus de 200 000 voix et d’obtenir le financement public au moment des élections législatives de 2022. Pays Unis avait alors présenté plus de cinquante candidats, dont cinq en Lorraine (voir : https://www.blelorraine.fr/2022/06/le-parti-lorrain-presente-cinq-candidats-aux-legislatives-2022-en-lorraine/), grâce au PL, qui était présent dans les quatre départements lorrains.
« Les régionalistes sont les premiers écologistes »
Jean-Luc Davezac et Alexis Boudaud l’ont martelé au cours des deux conférences de presse organisées conjointement avec le Parti Lorrain à Metz puis à Nancy, afin de présenter la stratégie de Pays Unis pour les prochaines élections européennes. L’écologie, oui, mais une écologie pragmatique, positive et surtout connectée au réel qui ne peut être qu’insuffler par des élus proches des territoires et qui en connaissent parfaitement les enjeux et les difficultés. Et quoi de mieux comme terrain d’expérimentation de ce fédéralisme qui correspond à une nouvelle façon d’organiser les moyens de production pour les régions françaises qui sont par extension des régions européennes. Des régions qui doivent nécessairement être proches, cohérentes et porteuse de sens pour être efficientes au quotidien et susciter de la fierté. Tout le contraire de la méga région Grand Est, vide de toute légitimité culturelle et historique, qui a été imposée sans concertation ni consultation au mépris du droit européen et de la charte européenne de l’autonomie locale.
Serez-vous tête de liste ?
En proposant un fédéralisme comme garantie d’une meilleure répartition des emplois, des richesses et des compétences dans tous les secteurs, les dirigeants de la Fédération des Pays Unis veulent en finir avec le jacobinisme anachronique de Paris qui plombe le développement socioéconomique de nos régions historiques, donc : pourquoi pas ?
La visite en Lorraine de la délégation de la Fédération des Pays Unis a enfin permis des réunions et des échanges constructifs avec les dirigeants et des membres du Parti Lorrain avant de se conclure par un débat citoyen en Déodatie.
Nous continuons à vous apporter les informations sur les rencontres sur le territoires de la Fédération des Pays Unis représentée par son Président et celui de BASTIR OCCITANIE JLuc DAVEZAC. Lors de ces évènement il est souvent entouré de représentants d’autres groupes ou associations notamment Occitanie Pais Nostre, Ecologie Autrement ….
– A NARBONNE après une réunion à l’Oustal, organisée
par Pais Nostre avec son Président Joan Pèire LAVAL entouré de Christine, Coralie …
– A PARIS rencontre sur une péniche, des dizaines de groupes de toute la France pour débattre, voir et échanger avec Corinne Lepage.
– A TOULOUSE apéritif devant les locaux de la TV 3 pour revendiquer la place des langues occitane et catalane dans la grille des programmes.
par Pais Nostre avec son Président Joan Pèire LAVAL entouré de Christine, Coralie …
– A PARIS rencontre sur une péniche, des dizaines de groupes de toute la France pour débattre, voir et échanger avec Corinne Lepage.
– A TOULOUSE apéritif devant les locaux de la TV 3 pour revendiquer la place des langues occitane et catalane dans la grille des programmes.