Branle-bas de combat… Macarel sort de son hibernation ! – Réouverture de la boutique Macarel Tolosa, 7 sur 7, de 10h30 à 13h et de 14h30 à 18h30, avec la tchatche de Danis le dimanche et lundi, et le professionnalisme de Stéphane les autres jours ! – Grande Macarelada en vue le 25 février : après les 20 ans de Macarel, on fête les 60 ans de son co-fondateur. E òc, lo temps passa per tot lo monde… Il a perdu quelques cheveux dans l’aventure mais l’enthousiasme reste entier ! – Et en cette année de Coupe du Monde de Rugby, on décerne d’entrée le carton rouge à Christian Teyssèdre, maire de Rodez, qui veut remplacer l’Estivada par un festival bien commercial qui n’aura plus rien d’occitan ! VERGONHA sus el !!! Pour finir, on vous souhaite, un peu tard mais le coeur y est, una Bona Annada, plan granada, e de fòrças autras acompanhada ! Tenetz-vos fièrs e al còp que ven !
La vila de Rodés acaba son òbra de desoccitanizacion de l’Estivada. La comuna anóncia qu’ongan organizarà, en partenariat amb France Télévisions, tres jorns de concèrts amb “de caps d’aficha de granda renomenada” luènh de l’Estivada de las darrièras annadas. Es a dire que la desoccitaniza completament jos l’escampa que lo festenal “atira pas vertadièrament las molonadas, e sustot la joventut, afeccionada de musica actuala”, çò rapòrta Centre Presse Aveyron.
De fach, dempuèi que Patric Roux quitèt la direccion de l’Estivada d’un biais estranh, en 2015, la comuna prenguèt en carga l’eveniment en lo degradant de mai en mai e ne fasent una marrida gestion. La pervèrsa expulsion de Roux foguèt lo trescòl d’una tièra de dificultats que la comuna rodanesa portava cada an. Dos ans abans, en 2013, lo conselhièr general per Rodés Èst, Bernard Saules, aviá retirat 75% de la subvencion a l’Estivada e o aviá anonciat a la velha del festenal, jos l’argument que l’organizacion del festenal aviá pas presentat la documentacion a temps e que s’atribuissiá pas cap de subvencion als eveniments gratuits. Ara, après sèt ans de degradacion e de marrida gestion, la comuna se planh que i aja pas pro de public e considèra que lo cal desoccitanizar per atraire las folas.
Mas cresèm qu’es justícia de remembrar cossí èra l’Estivada abans que la comuna ne s’apoderèsse de sa gestion; e amb aquel remembre qu’es justícia de nos batre, coma occitans, per recobrar aquel espaci indispensable per la cultura nòstra, a Rodés o endacòm mai. Nos daissem pas tòrcer.
Pendent dos decennis, la capitala de Roergue veniá tanben la capitala de tota Occitània. Las entitats occitanistas i èran totas. De las Valadas fins a las Landas, totes los accents e totas las sensibilitats de l’occitanitat i èran presentas. Tanben las institucions publicas de totas las regions, de las Valadas e d’Aran sostenián aquel eveniment, ont la còla de Dètz TV, e tanben los mèdias occitans, i bastissiam un imaginari nacional occitan normalizat. L’assisténcia del public èra positiva, de desenas de milièrs de personas participavan als concèrts del temps que prenián consciéncia de lor occitanitat. Pendent sos primièrs vint ans, los responsables de l’Estivada foguèron capables de manténer lo festenal mai important de la cultura occitana al marge de las manòbras partidistas e dels assages de patrimonializacion. L’Estivada èra un endrech de confluéncia e d’unitat ont ensems fasiam viure la cultura e a la lenga occitanas. En sèt ans tot aquò s’es desmantelat.
Permetrem que nos rauben aital aquel oasi d’occitanitat? Desvelhem-nos e organizem-nos per lo recobrar al prètz que siá!
La Fédération des Pays Unis est née il y juste un peu plus d’un an : le 15 janvier 2022. Donc pour la première fois recevez nos vœux : Bonne année 2023 !!!
Notre image vous les souhaite dans les langues de chacun des groupes de F.P.U.
Ensuite nous vous avons glissé l’article du Figaro qui annonçait notre naissance.
Bien sûr nous sommes à votre disposition pour vous éclairer sur nos projets, n’hésitez-pas !
LE BUREAU ACTUELLes régionalistes se structurent pour peser en vue des législatives Par Théo SivazlianPublié le 21/01/2022 à 17:10, mis à jour le 23/06/2022 à 18:35Assis, de gauche à droite : Thomas Riboulet (Parti Lorrain), Jean-Luc Davezac (Bastir Occitanie), Alain Guarino (Prouvènço Nacioun) et Mathieu Guihard (Parti Breton). Fédération des Pays Unis.Cinq partis politiques s’unissent dans une «Fédération des Pays Unis» avec l’espoir de briguer quelques sièges à l’Assemblée nationale.
« Après la Révolution française, les jacobins ont participé à détruire des identités charnelles, des langues, des traditions. Nous pensons qu’il est l’heure, pour les girondins, de prendre leur revanche. » Cinq partis régionalistes – Bastir Occitanie, le Parti Breton, le Parti Lorrain, le Parti Nationaliste Basque (ENJ-PNB) et Prouvènço Nacioun (parti provencal) – ont officialisé leur alliance, samedi 15 janvier à Paris, à travers la création d’une Fédération des Pays Unis (FPU).
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La FPU est appelée, dans les prochaines semaines, à devenir un parti politique à part entière reconnu par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP). Alain Guarino, président de Prouvènço Nacioun et porte-parole de la FPU, en détaille l’origine. « Nous refusons d’être enfermés dans ce débat droite-gauche, franco-français. La politique est monopolisée par les grands partis, qui ont une puissance financière et des réseaux. Il est temps d’en sortir. » Avec une première échéance en vue : les élections législatives.
LE 15 JANVIER 2022 CREATION DE LA FEDERATION DES PAYS UNISA PARISProgramme commun et rejet du centralisme
Des candidats seront investis dans 100 à 150 circonscriptions sur le territoire, dont la majorité en Bretagne, où le Parti Breton sera représenté partout. « On sent que le potentiel est là », précise Mathieu Guihard, son président. S’il n’est pas question de former des alliances au deuxième tour, la FPU peut nourrir quelques ambitions, en Lorraine notamment, où le Parti Lorrain a atteint « 15% des suffrages dans les cantons où nous nous sommes présentés lors des dernières départementales », indique Thomas Riboulet, son président.
Un programme commun est en cours d’élaboration, mais certaines propositions sont déjà connues, comme la co-officialisation des langues régionales aux côtés du français, la sauvegarde du patrimoine culturel, la refonte de la loi SRU – qui prévoit 25% de logements sociaux dans chaque commune d’ici 2025 – ou encore l’impossibilité de construire de nouvelles résidences secondaires pour les villes qui en comptent déjà 20%.
Le rejet du centralisme représente aussi une thématique majeure. « Il y a des avantages pour tout le monde d’avoir des régions autonomes, clame Alain Guarino. Avec plus de pouvoir, elles pourront lever l’impôt et le redistribuer directement au lieu de passer par Paris et l’État, qui en garde une part importante. Ce système est injuste. » Avoir une France fédérale, dans une Europe respectueuse des peuples et des régions : voilà l’objectif.
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Guillaume Ier de Provence dit le Libérateur, né vers 955 et mort devant Avignon en 994, après le 29 août1, est un noble provençal, célèbre pour avoir vaincu et chassé les Sarrazins de la Provence en 973.
Fils de Boson II, comte d’Arles et de Constance de Provence, il est successivement comte d’Avignon (962), comte de Provence (972), marquis de la Provence arlésienne (979) et prince de toute la Provence (991)
La libération de la Provence et ses conséquences :
À la suite de l’enlèvement de l’abbé Mayeul en juillet 972 par les bandes de Sarrasins installées dans le massif des Maures depuis la fin du ixe siècle, le comte Guillaume et son frère Roubaud prennent la tête de l’ost provençal renforcé par les troupes d’Ardouin, comte de Turin. Ils traquent les Maures qu’ils écrasent à la bataille de Tourtour en 973, puis les chassent de Provence7. En septembre 983 Guillaume anéanti les Sarrasins à leur retour d’une campagne dans les Alpes et son frère Roubaud prend leur repère de Freinet avec l’aide d’Ardouin marquis de Turin. Cette campagne militaire contre les Sarrasins, conduite sans les troupes du roi Conrad III de Bourgogne, se double en fait d’une féodalisation de la Provence, de l’aristocratie locale et des communautés urbaines et paysannes qui avaient jusque-là toujours refusé la mutation féodale et le pouvoir comtal. Elle permet à Guillaume d’obtenir la suzeraineté de fait de la Provence et, avec le consentement royal, de contrôler le fisc de la Provence. Il distribue les terres reconquises à ses vassaux, comme le territoire d’Hyères aux seigneurs de Fos, arbitre les différents et crée ainsi la féodalité provençale Avec Isarn, évêque de Grenoble, il entreprend de repeupler le Dauphiné et autorise un comte italien nommé Ugo Blavia à se fixer près de Fréjus au début des années 970 pour remettre les terres en culture.
Son gouvernement et sa renommée ;
Comme son père Boson, Guillaume se fait conseiller par un vicomte qui dès 977 l’accompagne dans tous ces déplacements et il s’appuie sur un groupe important de juges pour rendre la justice Devenu marquis de Provence en 979, il s’installe à Arles au début des années 980. Sa première femme Arsinde de Comminges (c. 950-983) venant à décéder, il épouse en 984 dans cette cité, contre l’avis du pape, Adélaïde d’Anjou qui vient de se séparer de son époux, le futur roi de France, Louis V. Le couple aura au moins deux enfants :
Saint Paul sur Save (31) Soirée Conte avec Michel Galaret salle Fontanilles 20h30
Michel Galaret conte depuis 2003, il sillonne l’hexagone et exporte aussi ses histoires à l’étranger (Algérie, Maroc, Belgique, Québec).
Ce conteur est un homme de la terre, il a dans sa voix et sa façon d’être, un rayon de soleil, un brin de rusticité et la quiétude des sauvages plateaux calcaires du Quercy ou peut-être celle du berger derrière ses moutons.
Assis sur un tabouret, sa mise en scène est la plus minimaliste qu’il soit. Ses mots, la musique de sa voix, la puissance de ses silences, ses mains et son regard donnent force à ses histoires, souvent issues du fantastique des hommes de la terre.
Emouvant, parfois même bouleversant, il aime à partager sa sensibilité, sa générosité et se délecte à vous emmener dans ses histoires qui deviennent des cadeaux… Rassurez-vous , il vous ramènera au plus profond …..de vous!
Pour bien commencer l’année, je vous partage mon nouveau clip « Ànima en festa », j’ai l’âme en fête !
Une chanson pour rappeler l’importance de la paix intérieure dans l’atteinte du bonheur.
Comme le disait Aristote : « être heureux ne signifie pas que tout est parfait, cela signifie que vous avez décidé de regarder au-delà des imperfections. »
Pour ce second clip qui fait partie de l’album à venir « Cantar la vida cantar l’esper », j’ai tout fait toute seule, à part les arrangements musicaux où j’ai travaillé avec le génial musicien florentin Simone Bardazzi.