Catégorie : Actualités

Envie de transmettre la langue occitane aux adultes ?

Envie de transmettre la langue occitane aux adultes ?
 Rejoins la Formation de Formateur Professionnel d’Adultes en occitan !

 Apprends à transmettre la langue avec des méthodes modernes.
 Prépare-toi à un métier d’avenir.
 Formation en présentiel et à distance.
 Diplômant et qualifiant

 Infos et contact : flyer /site internet / cfpo@cfpoccitan.org /07.66.431.432

 Forme-toi pour faire vivre la langue occitane !

Un grand occitanista de mei es mòrt; èra Agenés.

Pierre Corbefin (1940-2025) était un collecteur, danseur, chanteur, instrumentiste, formateur en danse et ancien directeur du Conservatoire occitan à Toulouse. Il a commencé sa carrière artistique en 1962 avec les Ballets occitans de Toulouse, dont il fut chorégraphe de 1969 à 1974. En 1970, il a participé à la création du Conservatoire Occitan de Toulouse, dont il a été le directeur de 1984 à 2002, et responsable de la danse.

Il a mené des enquêtes sur la danse traditionnelle dans l’aire culturelle gasco-pyrénéenne, notamment en Gascogne, Béarn et dans les pays limitrophes, et a publié des articles sur la danse traditionnelle. En collaboration avec Bénédicte Bonnemason, il a réalisé un inventaire des chercheurs et collecteurs en danse traditionnelle en 1995.

Il a également été formateur en danse et chant, animant des stages en France et à l’étranger, et a collaboré avec plusieurs figures du domaine. Entre 2005 et 2019, il a mené une expérience d’enseignement mêlant danse et chant, notamment dans l’animation de bals à la voix.

En 1977, il a créé le trio vocal Lambrusc, qui a enregistré un album de musique traditionnelle occitane. Sa voix a aussi été présente sur plusieurs autres productions discographiques.

Pierre Corbefin est décédé le 30 mai 2025 à Montclar d’Agenès. Son héritage dans la danse traditionnelle occitane est considérable, et il est reconnu comme une figure clé de la transmission et de la valorisation du patrimoine immatériel occitan.

– 11 – Les Festejades 2025 à Gruissan

Du 6 au 8 juin – 3 jours de folie Occitane au bord de la Méditerranée !

Prépare ta marinière, les Festejades débarquent à Gruissan pour enflammer les rues avec :

Concerts gratuits

Fanfares et batucadas déchaînées

Bodegas & spécialités locales

Ambiance 100% festive et occitane

Que tu viennes pour danser, manger, chanter (ou tout à la fois c’est LE week-end à ne pas manquer !

Plus d’infos & programme complet :

#MyGruissan

LE TELEPHONE SAVOISIEN

MONTESSUIT Michel

  · 

LE TELEPHONE SAVOISIEN du 1er juin,, celui qui met en ligne et

qui aide les « gens de chez nous

Bonjour à toutes et à tous, et des annonces intéressantes dans

ce nouveau TELEPHONE SAVOISIEN .

Merci à vous de votre participation et de votre aide : cette

réussite est un peu la vôtre …

Les annonces du moment :

A91 :

Vélo de course (route) à donner. Ce vélo a eu appartenu à un coureur cycliste professionnel savoisien dans les années 80.

Contact tel : 0607464534

A92 :

Jeune savoisien très sérieux cherche place en alternance dans une entreprise d’électricité.

Contact Boris Carlier tel 0620353448 ou mail boriscarlier06@gmail.com

A93 :

Une petite équipe d’amateurs a décidé de refaire en 2026 la pièce de théâtre « Marguerite Frichelet » qui était jouée dans la vallée de Thônes dans les années 50. Pour ce, il faudrait quelques amateurs ou figurants pour les accompagner dans cette belle aventure qui est de faire revivre cette pièce et notre histoire de Savoie.

Informations tel 0646301181.

A94 :

Monsieur de 80 ans avec toute petite retraite (500 €),cherche véhicule, même très ancien, à

lui donner et qui passerait au contrôle technique. Il roule très très peu et a simplement besoin d’une voiture pour faire ses courses. Informations auprès de moi tel 0607464534.

A95 :

Un jeune sportif savoisien vient de m’informer que la communauté religieuse Eucharistein (catholique)

De St Jeoire en Faucigny, a été braquée courant du mois de mai ; ils leur ont volé une débroussailleuse, une moto faucheuse et une tondeuse.

Ce jeune savoisien est membre de cette communauté et également de SOS Calvaires (association qui retape, préserve et restaure des calvaires) demande si certains d’entre vous

pourraient leur obtenir une partie de ce matériel volé ou les aider sous une forme ou une autre. Infos tel : 0778353730

Merci à vous tous de cette entraide et que cette semaine vous soit belle . Le TELEPHONE SAVOISIEN, c’est l’humain au cœur de la SAVOIE

Michel

La sélection de ballon basque

Euskal pilotako #Euskadi-ko selekzioak ofizialtasun osoz egingo du debuta bihartik aurrera Nazioen Ligan, #GernikaLumo-ko Jai Alai frontoian. EAJ-PNV-ren lorpena da, Estatuko Kirol Legea aldarazi ostekoa. Beti gure selekzioarekin bat! #EuskalSelekzioa#Ofizialtasuna

La sélection de ballon basque #Euskadi fera ses débuts officiellement dès demain en Ligue des Nations, sur le fronton Jai Alai de #GernikaLumo. C’est l’accomplissement de EAJ-PNV au changement de la loi sur le sport. Toujours avec notre sélection ! #SélectionBasque#Officialité

 

A PROPOS DE LA VIE AVANT ET APRÈS LA VIE ou LA RÉINCARNATION

A PROPOS DE LA VIE AVANT ET APRÈS LA VIE ou LA RÉINCARNATION. Voici un extrait du Tome I de mon ROMAN Paysan Occitano-Letton « AD VITAM ÆTERNAM »

Jānis est directeur de l’Institut Français de Lettonie, petit-fils de la famille Amoretti de Sabaillan Gers. Il a été invité par une fée nommée Līva à un rendez-vous étrange à Grašu Pils. Elle lui était apparue bizarrement dans la rue, puis sur le réseau social letton draugiem.lv…Il en était tombé amoureux sans comprendre ce qui se passait réellement…

— Līva, tu sembles irréelle, je veux savoir tout de toi car dès je t’aperçois, tu disparais comme… comme un ange ? Es-tu un ange ?

— Tu peux employer ce terme si tu veux, je sais que ton grand-père Giovanni t’a récemment parlé des anges.

— Co…Co…Comment sais-tu cela ?

— Hans, donne-moi la permission de t’appeler Hans, d’accord ?

— Je ne peux rien te refuser, je suis si amoureux de toi. Mais ne pourrions pas nous asseoir sur cette grosse pierre ? Tous ces événements me troublent tellement que mes jambes flageolent.

— D’accord Hans, mais respecte mon état, n’essaie pas de me prendre la main, tu serais trop choqué, je suis pour le moment immatérielle, une âme déguisée, un fantôme si tu préfères.

— Parle-moi de Hans. Est-ce celui dont j’ai appris l’histoire aujourd’hui ?

Et continuant ce dialogue, Līva ne prit pas la peine de sortir de la ruine par la porte mais traversa la muraille et vint s’asseoir près de Jānis, non, de Hans. Elle restait dans ce halo flou et avec la lune qui organisait le décor, c’était fantastique ! « Et de la sentir près de moi, tout s’apaisa. Je planais de bonheur sans toutefois n’avoir encore rien compris. »

— Jānis, tu es la réincarnation de Hans, d’ailleurs tu lui ressembles trait pour trait et lorsqu’il a disparu il avait ton âge. Depuis que je te suis et le peu que nous ayons échangé me confirme que tu as son âme, son cœur et cela me comble de bonheur.

— Līva il est temps que tu me racontes tout, j’écouterai jusqu’au bout car jusqu’à présent je reste quand même un peu incrédule de ce qu’il se passe entre nous.

— Je vais tout te raconter depuis le début mais j’espère qu’au fur et à mesure tu redeviendras le fils du Baron, mon Hans Von Kahlen que je connus et attendis plus de 200 ans ! Je suis Līva Berziņa, fille d’Austris Berziņs et d’Arija Berziņa. Mon papa était majordome sur la propriété de ta famille (…) J’étais un peu solitaire durant mon adolescence. Il n’y avait pas école tous les jours alors je m’occupais du potager et aidais ma mère. J’aimais bien aller les après-midi en forêt avec mon panier et mon grand chapeau cueillir des baies sauvages et des champignons selon les saisons. Souvent, je passais du temps au pied du grand chêne à l’angle de la forêt de l’ours. Puis un beau jour, nous avions à peu près seize ou dix-sept ans, j’étais assise sur la balançoire que papa m’avait installée sur la branche basse. Je rêvais de mon prince charmant lorsque tu apparus. Tu m’avais suivie de loin sans que je m’en aperçoive. Tu étais aussi intimidé que moi mais tu as eu le courage de me dire : « Tu es belle, Līva ». Et sans retenue, je me rapprochais de toi et te donnais une bise sur la joue comme j’avais remarqué que vous le faisiez dans votre famille. Chez nous les Lettons, cette marque d’affection est très rare. Tu étais devenu tout rouge et moi je reprenais mes esprits en pensant : « Qu’ai-je fait ? Ce n’est pas bien ce que j’ai fait. » Mais tu me regardas avec des yeux pleins de bonheur et tu me dis :

— Dimanche prochain après-midi, seras-tu là ?

— Et sans hésitation, je te répondis : Oui, bien sûr ! Et cela dura chaque dimanche durant des années. Ce chêne abrita notre amour qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, loin des regards. Nous avions bâti tant de projets pour ensemble vivre à la campagne, avoir notre ferme, devenir Paysans…(…) Mais ensuite, un peu forcé par tes parents, tu es parti à l’armée à Rīga puis la guerre fut déclarée et tu disparus. On ne retrouva jamais ton corps. (…). Je t’ai cherché toute ma vie puis je suis morte. Mon âme implora le Ciel qui accorda la grâce que je puisse continuer à te rechercher. Puis il y a quelques années, je t’ai enfin aperçu sur la place Brivibas. Mais j’étais invisible alors comment te faire savoir que j’étais là et que je t’aimais toujours et plus que tout… ? Ce fut des années de souffrances de voyager à tes côtés, de passer tes vacances dans le Gers sans que tu ne t’en rendes compte. Je t’ai vu vivre, je connais tout de toi et plus ça allait, plus j’implorais, plus je priais comme tu l’as fait à la Vierge de Lourdes ou à Thérèse de Lisieux… Je t’ai suivi partout, les anges sont partout à la fois et à priori là où ils souhaitent être. J’étais auprès de toi partout, même à l’Ambassade, même à Sabaillan, même sur Internet.

— Līva je n’ai pas encore retrouvé la mémoire de Hans mais j’ai celle de Jānis et peu importe le passé, je veux vivre avec toi toute ma vie. Reste auprès de moi, construisons des projets ensemble. Et même si tu devais poursuivre ta vie avec cette apparence d’ange cela ne changerait rien à l’amour que j’ai pour toi !

— Jānis, si tu veux que je revienne auprès de toi, c’est possible ! Car moi aussi je veux absolument redevenir de chair et vivre auprès de toi puisque je t’ai retrouvé. J’ai encore renégocié avec le Ciel mais cette dérogation sera la dernière dernière ! Et j’ai promis. Pour cela nous devons nous marier pour accomplir ce qui ne l’a pas été…

Ceci est un extrait du tome I de mon roman Paysan Occitano-Letton « AD VITAM ÆTERNAM »

photos : Je suis au pied du grand chêne à angle de la forêt de l’ours. Et voici la ruine où naquit Līva en 1778, au fond du parc de Grašu Pils. Ici eut lieu le rendez-vous.

Toutes les réactions :

33 est directeur de l’Institut Français de Lettonie, petit-fils de la famille Amoretti de Sabaillan Gers. Il a été invité par une fée nommée Līva à un rendez-vous étrange à Grašu Pils. Elle lui était apparue bizarrement dans la rue, puis sur le réseau social letton draugiem.lv…Il en était tombé amoureux sans comprendre ce qui se passait réellement…

— Līva, tu sembles irréelle, je veux savoir tout de toi car dès je t’aperçois, tu disparais comme… comme un ange ? Es-tu un ange ?

— Tu peux employer ce terme si tu veux, je sais que ton grand-père Giovanni t’a récemment parlé des anges.

— Co…Co…Comment sais-tu cela ?

— Hans, donne-moi la permission de t’appeler Hans, d’accord ?

— Je ne peux rien te refuser, je suis si amoureux de toi. Mais ne pourrions pas nous asseoir sur cette grosse pierre ? Tous ces événements me troublent tellement que mes jambes flageolent.

— D’accord Hans, mais respecte mon état, n’essaie pas de me prendre la main, tu serais trop choqué, je suis pour le moment immatérielle, une âme déguisée, un fantôme si tu préfères.

— Parle-moi de Hans. Est-ce celui dont j’ai appris l’histoire aujourd’hui ?

Et continuant ce dialogue, Līva ne prit pas la peine de sortir de la ruine par la porte mais traversa la muraille et vint s’asseoir près de Jānis, non, de Hans. Elle restait dans ce halo flou et avec la lune qui organisait le décor, c’était fantastique ! « Et de la sentir près de moi, tout s’apaisa. Je planais de bonheur sans toutefois n’avoir encore rien compris. »

— Jānis, tu es la réincarnation de Hans, d’ailleurs tu lui ressembles trait pour trait et lorsqu’il a disparu il avait ton âge. Depuis que je te suis et le peu que nous ayons échangé me confirme que tu as son âme, son cœur et cela me comble de bonheur.

— Līva il est temps que tu me racontes tout, j’écouterai jusqu’au bout car jusqu’à présent je reste quand même un peu incrédule de ce qu’il se passe entre nous.

— Je vais tout te raconter depuis le début mais j’espère qu’au fur et à mesure tu redeviendras le fils du Baron, mon Hans Von Kahlen que je connus et attendis plus de 200 ans ! Je suis Līva Berziņa, fille d’Austris Berziņs et d’Arija Berziņa. Mon papa était majordome sur la propriété de ta famille (…) J’étais un peu solitaire durant mon adolescence. Il n’y avait pas école tous les jours alors je m’occupais du potager et aidais ma mère. J’aimais bien aller les après-midi en forêt avec mon panier et mon grand chapeau cueillir des baies sauvages et des champignons selon les saisons. Souvent, je passais du temps au pied du grand chêne à l’angle de la forêt de l’ours. Puis un beau jour, nous avions à peu près seize ou dix-sept ans, j’étais assise sur la balançoire que papa m’avait installée sur la branche basse. Je rêvais de mon prince charmant lorsque tu apparus. Tu m’avais suivie de loin sans que je m’en aperçoive. Tu étais aussi intimidé que moi mais tu as eu le courage de me dire : « Tu es belle, Līva ». Et sans retenue, je me rapprochais de toi et te donnais une bise sur la joue comme j’avais remarqué que vous le faisiez dans votre famille. Chez nous les Lettons, cette marque d’affection est très rare. Tu étais devenu tout rouge et moi je reprenais mes esprits en pensant : « Qu’ai-je fait ? Ce n’est pas bien ce que j’ai fait. » Mais tu me regardas avec des yeux pleins de bonheur et tu me dis :

— Dimanche prochain après-midi, seras-tu là ?

— Et sans hésitation, je te répondis : Oui, bien sûr ! Et cela dura chaque dimanche durant des années. Ce chêne abrita notre amour qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, loin des regards. Nous avions bâti tant de projets pour ensemble vivre à la campagne, avoir notre ferme, devenir Paysans…(…) Mais ensuite, un peu forcé par tes parents, tu es parti à l’armée à Rīga puis la guerre fut déclarée et tu disparus. On ne retrouva jamais ton corps. (…). Je t’ai cherché toute ma vie puis je suis morte. Mon âme implora le Ciel qui accorda la grâce que je puisse continuer à te rechercher. Puis il y a quelques années, je t’ai enfin aperçu sur la place Brivibas. Mais j’étais invisible alors comment te faire savoir que j’étais là et que je t’aimais toujours et plus que tout… ? Ce fut des années de souffrances de voyager à tes côtés, de passer tes vacances dans le Gers sans que tu ne t’en rendes compte. Je t’ai vu vivre, je connais tout de toi et plus ça allait, plus j’implorais, plus je priais comme tu l’as fait à la Vierge de Lourdes ou à Thérèse de Lisieux… Je t’ai suivi partout, les anges sont partout à la fois et à priori là où ils souhaitent être. J’étais auprès de toi partout, même à l’Ambassade, même à Sabaillan, même sur Internet.

— Līva je n’ai pas encore retrouvé la mémoire de Hans mais j’ai celle de Jānis et peu importe le passé, je veux vivre avec toi toute ma vie. Reste auprès de moi, construisons des projets ensemble. Et même si tu devais poursuivre ta vie avec cette apparence d’ange cela ne changerait rien à l’amour que j’ai pour toi !

— Jānis, si tu veux que je revienne auprès de toi, c’est possible ! Car moi aussi je veux absolument redevenir de chair et vivre auprès de toi puisque je t’ai retrouvé. J’ai encore renégocié avec le Ciel mais cette dérogation sera la dernière dernière ! Et j’ai promis. Pour cela nous devons nous marier pour accomplir ce qui ne l’a pas été…

Ceci est un extrait du tome I de mon roman Paysan Occitano-Letton « AD VITAM ÆTERNAM »

photos : Je suis au pied du grand chêne à angle de la forêt de l’ours. Et voici la ruine où naquit Līva en 1778, au fond du parc de Grašu Pils. Ici eut lieu le rendez-vous.

T

Alexis Boudaud à Auch

Votre présence illustre t-elle votre retour dans la vie politique gersoise ? 

Je suis un enfant du pays. La politique a toujours été une part essentielle de mon activité au service des auscitains, des gersois et des occitans.

Chef de file AUCH ÉCO CITOYENNE dès 2008, j’ai été élu 6 ans plus tard, en 2014, siégeant Salle des Illustres et au Grand Auch Agglomération. J’ai poursuivi aux départementales avec les Libres et Indépendants puis aux régionales pour Le Bien Commun. Cette expérience m’a amené à travailler au plan national durant les Présidentielles et les Législatives en 2017. Un an après, Montpellier m’a accueilli et j’ai eu l’honneur de travailler à l’élection de Michaël DELAFOSSE comme maire de la cité méditerranéenne. L’Ecologie Autrement! est née de cette histoire. 

De retour dans le Gers, je poursuis ce travail en lien avec les partenaires historiques comme Bastir Occitanie et les Écologistes, Mouvement Écologistes Indépendants.

Que représente pour vous cette réunion et  la mobilisation qu’elle a entrainé ?

La rencontre organisée autour de Carole DELGA en faveur du ferroviaire dans notre territoire a été l’occasion de réaffirmer les ambitions écologiques et l’équité territoriale indispensables aujourd’hui.

Notre présence à cette rencontre, c’est pour insister, au nom des habitants du Gers et des usagers de la ligne Auch – Toulouse, sur l’importance vitale de cette infrastructure.
La ligne ferroviaire entre Auch et Toulouse n’est pas une simple voie de transport : c’est un lien économique, social et écologique entre un territoire rural et une métropole en pleine croissance.
Chaque jour, des centaines de Gersois l’empruntent pour aller travailler, étudier, accéder à des services médicaux ou administratifs. Cette ligne, c’est la promesse de pouvoir vivre dans le Gers sans renoncer à l’avenir. C’est aussi un levier essentiel pour attirer de nouveaux habitants, désenclaver notre territoire et répondre à l’urgence climatique en réduisant notre dépendance à la voiture.
Nous saluons les investissements déjà réalisés ou programmés, notamment pour la modernisation de certaines portions de voie et l’amélioration de la desserte. Mais nous savons aussi que l’échéance de 2027 approche, et que des arbitrages doivent être rendus dès maintenant car, l’enjeu politique entre le national notamment les dotations ministérielles et le budget local (avec un équilibre difficile ) reste crucial.

Quels sont vos objectifs ?

Revenir dans le Gers est un vrai cadeau. Après avoir réussi les Législatives de 2022 et 2024 (plus de 130 circonscriptions investies) avec le parti politique que j’ai créé, je désire que nous soyons une alternative aux partis traditionnels notamment ceux qui se soumettent depuis des décennies. L’Écologie Autrement ! est là pour unir AUTREMENT les forces vives des territoires.

Nous avons le projet de nous engager dans les municipales en 2026 avec LA RUCHE CITOYENNE (qui a réussi son pari aux dernières européennes) et nos partenaires régionalistes RÉGIONS UNIES D’EUROPE derrière son Président Jean-Luc DAVEZAC, ainsi que les Écologistes, Mouvement Écologiste Indépendant.

Dans le Gers, nous travaillons à Auch avec AUCH ÉCO CITOYENNE menée par Flavio DALMAU mais aussi sur tout le département en lien avec BASTIR OCCITANIE.

Les municipales restent à nos yeux les plus belles élections totalement encrées localement avec les électeurs. Nous nous engageons avec force dans cette nouvelle pour l’aménagement du territoire et pour une transition écologique crédible et équitable.