Catégorie : Bastir Occitanie
J-PNB a conclu un accord avec les socialistes, pour négocier la reconnaissance d‘Euskadi, la nation basque
ndoni Ortuzar, le président national d‘EAJ-PNB et Pedro Sánchez, ont signé hier, à Madrid, un accord d’investiture. Il comprend en particulier d’importantes avancées sur l‘ « autogouvernement » basque.
- Accord d’investiture EAJ-PNB/PSOE
AGIRIA – 11/11/2023
Andoni Ortuzar souligne qu’ EAJ-PNB a conclu un accord « très ample et positif, pour Euskadi » avec le PSOE dans le cadre des négociations pour l’investiture du candidat Pedro Sánchez. Grâce à cet accord, les 5 députés d’EAJ-PNB voteront en faveur de Pedro Sanchez, afin de l’investir chef du gouvernement espagnol. Il garantit également la stabilité de la mandature de 4 ans, au Parlement espagnol, sous réserve de l’accomplissement de cet accord.
Un bon accord pour Euskadi
« C’est un bon accord pour Euskadi. Il y a des progrès évidents dans la réalisation de l’ « autogouvernement » actuel et les bases sont posées pour négocier l' »autogouvernement » à venir, le tout dans un délai maximum de deux ans pour les deux processus », a expliqué Ortuzar après la signature.
Les dernières compétences à transférer en 2 ans, pour la Communauté autonome basque
Concernant l’autonomie actuelle, le pacte garantit la négociation et le transfert effectif par le gouvernement central, des dernières compétences prévues dans le Statut d’autonomie de Gernika, en 1979. A l’avenir, les deux parties conviennent de « négocier la reconnaissance nationale du Pays Basque, la préservation des compétences basques, ainsi qu’ un système de garanties basé sur la bilatéralité et la foralité ». Pour la première fois, les socialistes admettent que la reconnaissance nationale d’Euskadi est une aspiration permanente et majoritaire de la société basque.
Transfert des dernières compétences en suspens, pour la Navarre également
Comme l’a expliqué Andoni Ortuzar, « les accords conclus répondront aux demandes majoritaires du Parlement basque, représentant légitime du peuple basque ». Concernant l’autonomie navarraise, l’accord stipule que la Communauté Forale de Navarre recevra les compétences manquantes, en matière de Recherches et Développement et de bourses d’études dans un délai de six mois.
Des revendications emblématiques d’EAJ-PNB
Cet Accord comprend également des revendications historiques d’EAJ-PNB. Entre autres :
– priorité au cadre basque de négociation des conventions collectives et des accords interprofessionnels
– pouvoir fiscal renforcé avec la gestion de nouvelles taxes et impôts, notamment la gestion de l’impôt européen sur le niveau minimal d’imposition des grandes entreprises
– présence renforcée de l’Ertzaintza, la police basque, dans les instances de concertation et de coopération européennes et internationales
– 100 millions d’€ en 4 ans pour mieux insérer l’euskara à l’univers numérique
Les étudiants du Pays Basque nord également concernés
Enfin, le Pays Basque nord est également concerné par cet Accord, pour les étudiants souhaitant poursuivre leurs études en Communauté autonome basque. Celle-ci obtiendra les moyens pour homologuer et déclarer l’équivalence des diplômes académiques obtenus dans le cadre des systèmes d’Education supérieurs étrangers.
Le Dialogue de l’Âne et du Taureau
Dans un coin pittoresque de l’Espagne, où les champs de tournesols s’étendaient à perte de vue, vivait un âne astucieux nommé Català et un taureau majestueux appelé Ibérico. Català, avec ses grandes oreilles frémissantes et son regard pénétrant, symbolisait l’esprit de la Catalogne, tandis qu’Ibérico, avec ses cornes robustes et son allure imposante, incarnait la fierté de toute l’Espagne.
Un jour, alors que les voitures filaient sur les autoroutes, arborant fièrement des autocollants à l’effigie de Català et d’Ibérico, les deux animaux se rencontrèrent dans une prairie verdoyante.
« Pourquoi cherches-tu à te distinguer ainsi, Català ? » demanda Ibérico avec une curiosité non dissimulée. « N’appartenons-nous pas tous les deux à cette grande nation ? »
Català, levant les yeux vers le ciel bleu, répondit avec sagesse : « Ibérico, mon ami, je ne cherche pas la division, mais à célébrer notre diversité. Chacun de nous a une histoire, une culture, des traditions qui nous rendent uniques. »
Ibérico frappa doucement le sol de son sabot, pensif. « Mais ne risquons-nous pas de nous éloigner les uns des autres ? De diviser ce qui a été uni si longtemps ? »
« Non, Ibérico », sourit Català. « C’est dans notre diversité que réside notre vraie force. En partageant nos histoires, nous enrichissons notre nation. Nous ne sommes pas des adversaires, mais des compagnons de voyage sur le chemin de la compréhension et de l’unité. »
Touché par ces mots, Ibérico acquiesça. Ensemble, ils regardèrent les voitures passer, chacune portant fièrement le symbole de l’âne ou du taureau, et comprirent que leurs différences ne les séparaient pas, mais les liaient plus étroitement dans le tissu coloré de leur patrie.
Ainsi, Català et Ibérico continuèrent à vivre en harmonie, rappelant à tous que la diversité n’est pas une faiblesse, mais une célébration de l’unicité de chacun, unissant tous les habitants dans un tableau vivant de cultures et d’histoires partagées.
Aran e Barcelona son diferents
#Aran e #Barcelona son diferents mès tanben an punts en comun fòrça importants: es dus an un estatus diferenciat reconeishut (era Lei de Regim Especiau d’Aran e era Carta de Barcelona), en àmbit dera salut, eth Parc Salut Mar deth que ne depen er Hospital del Mar damb qui mantenguem ua aliança d’èxit e rèptes coma era diversificacion e adaptacion deth modèl economic. Aué n’auem parlat damb er alcalde @jcollboni entà sajar tanben d’apropar era vision urbana e era rurau e de montanha qu’auem andús territòris. En definitiva, un pas entà tèisher espacis de cooperacion e complicitat tant de besonh enes tempsi que viuem.
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#Aran i #Barcelona són diferent però també tenen punts en comú molt importants: els dos tenen un estatus diferenciat reconegut (la Llei de Règim Especial d’Aran i la Carta de Barcelona), en l’àmbit de la salut, el Parc Salut Mar del que en depèn el Hospital del Mar amb qui mantenim una aliança d’èxit i reptes com la diversificació i adaptació del model econòmic. Avui n’hem parlat amb l’alcalde @jcollboni per intentar també apropar la visió urbana i la rural i de muntanya que tenim ambdós territoris. Cooperació i complicitat tant necessària en els temps que vivim.
#Aran et #Barcelone sont différents mais ils ont des points communs importants : cela mène à un statut différencié reconnu (c’était la loi du régime spécial d’Aran et c’était la charte de Barcelone), dans le domaine de la santé, le parc de santé qui dépend de l’hôpital del Mar que nous maintenons une alliance de succès et de défis comme la diversification et l’adaptation du modèle économique. Aujourd’hui nous avons parlé avec le maire @jcollboni puis pour savoir comment aborder c’était vision urbaine et c’était rural et montagneux que nous avons des territoires andus. Finalement, un pas de plus vers ces espaces de coopération et de complicité tant nécessaires dans les temps que nous vivons.
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#Aran et #Barcelone sont différents mais ils ont aussi des points communs très importants : les deux ont un statut différencié reconnu (la loi du régime spécial d’Aran et la charte de Barcelone), dans le domaine de la santé, le parc de santé de Mar dépend de l’hôpital de Mar avec qui nous maintenons un alliance de succès et de défis tels que la diversification et l’adaptation du modèle économique. Aujourd’hui nous avons parlé avec le maire @jcollboni pour essayer aussi de rapprocher la vision urbaine et rurale des montagnes dont nous avons les deux territoires. Coopération et complicité si nécessaires dans les temps que nous vivons.
« L’autonomie de la Corse, la fenêtre d’opportunité pour une vraie décentralisation » Jean Tellechea et Jean-Luc Davezac tirent les enseignements
TRIBUNE LIBRE – Jean Tellechea et Jean-Luc Davezac tirent les enseignements du processus en cours d’autonomie de la Corse dans le cadre de la politique de décentralisation de l’État français.
Emmanuel Macron a souhaité un « accord » d’ici six mois entre les partis politiques corses et le Gouvernement pour lancer une révision constitutionnelle. (Gaizka IROZ)
Depuis son arrivée au pouvoir, Emmanuel Macron a répété tout le mal qu’il pense de la décentralisation actuelle. À l’occasion de sa dernière visite à Ajaccio, il a passé un cap en appelant à un nouveau modèle d’autonomie pour la collectivité corse. Sans attendre, Loïg Chesnais-Girard, le président de la Région Bretagne a demandé d’élargir le débat aux autres collectivités. L’occasion est venue de réviser le modèle institutionnel de la décentralisation à la française et d’offrir plus d’autonomie aux territoires qui le souhaitent.
Lors de sa dernière visite en Corse, le président de la République a publiquement annoncé qu’il était favorable à ce qu’une “nouvelle étape soit franchie” dans le projet d’une autonomie de la Corse. Ce seront aux élus corses et au Gouvernement d’en définir les termes. Rappelons qu’il y a dix ans, la lutte armée disparaissait officiellement en Corse et en 2015, la Corse est devenue une collectivité territoriale à statut particulier. Depuis, elle présente des spécificités institutionnelles et dispose de compétences supplémentaires par rapport aux régions continentales. Adossée à un Conseil économique, environnemental, social et culturel, elle s’appuie sur une Assemblée représentative et un Conseil exécutif dirigé par un président, Gilles Simeoni. Depuis 18 mois, des discussions sont ouvertes pour étudier l’avenir institutionnel de l’île car, en dépit de sa spécificité juridique actuelle, des questions restent encore en suspens dans la Constitution française : la reconnaissance du peuple corse, la coofficialité de la langue corse, le statut de l’île et la place de l’autonomie. Aujourd’hui, les Corses avancent sur la question de l’autonomie. Les Journées internationales de Corte d’août dernier ont permis aux formations indépendantistes corses de marquer leur différence avec les autonomistes au pouvoir. Pour les Corses, c’est aussi le modèle autonomique, plus ou moins émancipé de Paris, qui est en jeu. Les débats sont en cours et les Corses ont une partie de la solution entre leurs mains. Au-delà de la question proprement corse, le con-texte actuel est une opportunité uni-que pour que d’autres régions à forte identité puissent avancer sur une véritable reconnaissance institutionnelle et politique.
“Nouvelle étape de la décentralisation” : une opportunité pour les régions
Le président de la région Bretagne l’a résumé en évoquant le principe d’égalité dans la République : “On ne peut avoir des élus avec plus d’autonomie d’action en Corse, et maintenir les autres dans un centralisme inefficace et d’un autre âge”. C’est le moment. Le 4 octobre dernier, Emmanuel Macron a annoncé l’ouverture d’une nouvelle étape de décentralisation rappelant les scories du mille-feuilles français, déjà présentées dans le rapport public annuel 2023 de la Cour des Comptes : “des priorités fluctuantes et, sur certains points, contradictoires”, un “mouvement législatif abondant et quasiment continu dépourvu de réelle ligne directrice et donc de cohérence d’ensemble”. Le modèle de décentralisation à la française ne satisfait personne.
Que ce soit en outre-mer ou en Métropole, de nombreux territoires appellent à une plus forte autonomie de décision pour administrer au plus près les questions politiques. En avril 2022, le Conseil régional de Bretagne avait demandé l’ouverture de discussions en vue d’une autonomie législative et fiscale. Lors du Congrès des régions, à Saint-Malo, le président de la Région a remis un rapport réclamant davantage d’autonomie, au nom de “la spécificité régionale bretonne”, à la Première ministre. En Alsace, certains élus revendiquent non pas une autonomie mais un statut alsacien propre. En 2021, les deux départements alsaciens ont constitué une collectivité locale pour défendre leurs spécificités culturelles communes. En Iparralde, depuis 2017, nous disposons d’une Communauté d’agglomération Pays Basque qui reconnaît une existence juridique au sein de l’état français. Les choses évoluent mais le modèle décentralisé est largement à parfaire. L’État continue d’administrer de manière très centraliste nos territoires.
Rien n’est gagné et il faut revendiquer plus d’autonomie pour répondre au mieux aux besoins de notre territoire et de ses habitants. Le Sénat devra valider la révision de la Constitution mais les lignes semblent bouger pour faire évoluer un système institutionnel que l’on sait dysfonctionnel.
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Un acord per a obrir “una nova etapa
Info d’OC Volèm viure, trabalhar e decidir al país !
Junts per Catalunya i el PSOE han arribat a un acord per a la investidura de Pedro Sánchez com a president del govern espanyol. Al document es diu que és un acord per a obrir “una nova etapa i contribuir a resoldre el conflicte històric sobre el futur polític de Catalunya”, i per a “procurar la governabilitat durant la XV legislatura”.
El pacte constata les discrepàncies i la desconfiança entre el PSOE i Junts. Per això, diuen, volen “dotar-se d’un mecanisme entre les dues organitzacions, internacional, que tingui les funcions d’acompanyar, verificar i fer el seguiment de tot el procés de negociació i dels acords a què s’arribi”. La primera reunió es farà durant aquest mes i s’hi tractarà, entre més qüestions, del reconeixement nacional de Catalunya i també dels dèficits i les limitacions de l’autogovern.
És en aquest context que les dues parts hauran d’acordar, si escau, la metodologia de la negociació “per dotar el procés de certesa”; els continguts dels acords a negociar “a partir de les aspiracions de la societat catalana i de les demandes de les seves institucions”, que en termes generals s’agrupen en dos grans àmbits permanents: la superació dels dèficits i les limitacions de l’autogovern, i les relatives al reconeixement nacional de Catalunya; l’ampliació de la participació directa de Catalunya en les institucions europees i més organismes i entitats internacionals; l’estabilitat de la legislatura; i la llei d’amnistia, incloent-hi la lawfare. Sobre aquest punt, Santos Cerdán, per part del PSOE, ha dit que la llei d’amnistia ja s’ha acordat, però que si no es presenta encara és perquè hi han de donar el vist-i-plau tots els grups polítics que la presentaran al congrés espanyol.
El document avança que Junts proposarà de fer un referèndum d’autodeterminació, acollint-se a l’article 92 de la constitució espanyola, que fa referència a la convocatòria de referèndums. El PSOE, en canvi, proposarà el desenvolupament dels mecanismes prevists a l’estatut. Vilaweb.cat 9- 11 – 2023
Info d’OC Volèm viure, trabalhar e decidir al país !
1 000 d’histoire de la Lorraine
Parti Lorrain de la Fédération des Pays Unis.
Une centaine de personnes présentes à Golbey qui ont retracé 1 000 d’histoire de la Lorraine;
Une interactivité rafraîchissante, mille et mille merci
En photo / en animateur et Président du Parti Lorrain Thomas Riboulet, bien sûr il est accompagné de Camille Zeghmoulis !
Il ne faut pas laisser la pêche basque dans l’impasse
03/11/2023
Chaque année, entre 5 000 et 10 000 cétacés sont attrapés par des filets de pêche dans les eaux françaises.
Face à ce phénomène, l’Etat va devoir fermer dans les semaines à venir certaines zones de pêche dans le Golfe de Gascogne afin de limiter les captures accidentelles de dauphins. Cette décision impacte évidemment les professionnels de la mer du Pays basque. Avant que la situation ne se détériore, les pouvoirs publics doivent rapidement rassembler les acteurs pour trouver une solution à très court terme et à plus long terme.
Depuis plusieurs années, l’ONG environnementale Sea Shepherd dénonce les captures accidentelles de milliers de dauphins par les engins de pêche. Fin 2021, associée aux ONG Défense des Milieux Aquatiques (DMA) et France Nature Environnement (FNE), Sea Shepherd a déposé des recours devant le Conseil d’État contre le gouvernement français. A l’issue de la procédure, le Conseil d’État a accédé à leur demande dans sa décision du 20 mars 2023 : Le gouvernement français est sommé de fermer certaines zones de pêche dans le Golfe de Gascogne pour protéger les dauphins et les marsouins. L’Etat doit même agir sous 6 mois.
Le Conseil d’Etat a suivi les recommandations des experts et les orientations de l’Union européenne qui exigeaient de la France des mesures en faveur de la sauvegarde des mammifères marins. Si jusqu’à présent le gouvernement et les pêcheurs ont toujours repoussé l’idée d’une suspension de l’activité, il n’y a plus d’échappatoire aujourd’hui. Le Gouvernement doit désormais prendre des mesures de fermeture de la pêche sous six mois, en complément des dispositifs de dissuasion acoustique.
Plus de 6 millions d’euro de perte pour la pêche basque
Cette décision administrative est un coup dur pour tout le milieu de la pêche. Elle met réellement en péril toute l’activité du secteur en particulier dans le Pays basque. Le président du comité des Pyrénées-Atlantiques et des Landes (CIPDMEM 64-40), Serge Larzabal a estimé qu’une fermeture des zones de pêche constituerait plus 3 millions d’euros de perte pour les pêcheurs de Bayonne et 3,6 millions d’euros pour la criée de Ciboure. Cela représenterait une baisse du chiffre d’affaire de près de 40% pour chaque entreprise. Même si les ONG réclamaient des compensations financières pour les pêcheurs, sans le soutien des pouvoirs publics, ce sera compliqué. Plusieurs élus locaux, notamment les maires de Saint-Jean-de-Luz et de Ciboure ont exprimé leur soutien en allant à la rencontre des professionnels. Ce n’est pas suffisant. Rappelons que l’économie bleue est aussi une compétence de la Communauté Pays basque : comment compte-t-elle accompagner les professionnels de la pêche dans leur activité et ses évolutions ? Pour l’heure, dans l’urgence, la Communauté Pays basque doit se faire entendre à Paris et exiger un soutien exceptionnel de sa filière.
Il faut aussi s’inquiéter des tensions entre les professionnels de la mer et les ONG, qui risquent de s’accentuer. Vendredi dernier, quelques jours après la publication de la décision du Conseil d’Etat, une soirée dînatoire au profit de Sea Shepherd France était organisée au château de Brindos à Anglet. Une quarantaine de pêcheurs professionnels s’y sont rendus pour manifester leur colère et essayer de discuter avec les professionnels locaux de la restauration sur la place qu’ils veulent faire à la pêche artisanale basque. C’est bien le cœur du sujet.
A EAJ-PNB, nous appelons la Communauté Pays basque à rassembler les acteurs de la filière et à exiger de l’Etat des mesures à très court terme comme à plus long terme. Elle doit lancer un processus pour que ces acteurs, des restaurateurs aux pêcheurs travaillent, main dans la main et se fassent entendre.
Jean Tellechea, secrétaire d’EAJ-PNB
Paru dans la Semaine du Pays Basque n° 1526
L’Isla de Baish: échange occitan-catalan réussi
Le 20 octobre, 40 écoliers de dix lycée public L’Isla de Baish, dix lycée catholique Albi et de l’IES Xifra de Girona se retrouvent dans un échange occitan-catalan. / Le 20 octobre, 40 étudiants de l’institut public de L’Isla de Baish, de l’Institut catholique d’Albi et de l’IES Xifra de Girona se sont rencontrés pour un échange occitan-catalan réussi.
Thomas RIBOULET, donnera une conférence sur l’histoire du Duché de Lorraine
Salle Barbelouze de Golbey
Public · Tout le monde sur ou en dehors de Facebook
Thomas RIBOULET, Président du Groupe BLE Lorraine et spécialiste de la Lorraine, donnera une conférence sur l’histoire du Duché de Lorraine le dimanche 5 novembre 2023 à 15h dans la Salle Barbelouze de Golbey, près d’Epinal, à l’invitation de Camille ZEGHMOULI, Maire-adjoint de Golbey, professeur de sciences économiques et Vice-président du Parti Lorrain.
Du Traité de Verdun en 843 à la fin du Duché en passant par la Bataille de Nancy, le siège de Metz en 1552 ou encore la Guerre de Trente Ans, revivez de manière pédagogique et interactive les grands évènements qui ont émaillé l’histoire de la Lorraine pendant près de mille ans.
Entrée gratuite.