Catégorie : Actualités

Campanha de finançament del darrièr disc de Claudi Martí

A començat una campanha de micromecenatge per un darrièr disc de Claudi Martí. Entitolat Retorn, es un album d’estudi, en format numeric e en vinil, del grand cantautor occitan Claudi Martí, qu’amassa sas grandas cançons revistas per el meteis e sos musicians.

Dins sos 82 ans, Martí torna un còp de mai per parlar totjorn del país que vòl viure, sostengut pel labèl catalan Sota la Palmera, conegut per la Guida de Viatge pel cançonièr occitan d’O.C. Brigada Internacional.

Amb aqueste projècte son ara tres los darrièrs micromecenatges occitanofils de la plataforma catalana Totsuma. Fa gaire, lo CAÒC capitèt ben una campanha de collècta d’argent per sas activitats e a l’ora d’ara es en linha la campanha per la segonda sason del videopodcast País Invisible, qu’explica l’occitan e Occitània al public catalan.

Saint-Étienne-Vallée-Française: les 29 et 30 juillet au CHÂTEAU de CAMBIAIR

Il est arrivé le programme « Les portes du temps », ce seront les 29 et 30 juillet au CHÂTEAU de CAMBIAIRE à Saint-Étienne-Vallée-Française.

Toute l’équipe « Les amis du Château de CAMBIAIRE » s’organise pour vous transporter aux 12e et 13e siècles.

Après le succès de la célèbre fête médiévale au château de CAMBIAIRE l’année dernière, l’édition 2023 va s’enrichit de nouvelles et belles animations et d’un volet culturel qui promet une immersion totale dans le quotidien d’une époque fascinante.

Saint-Étienne-Vallée-Française sera un village animé.

Vous retrouverez le fameux camp médiéval qui se tiendra au sein de la cour du château où sera déployé en un véritable village médiéval avec ses artisans et sa cuisine.

Les grands succès de l’année dernière avec nombreuses déambulations musicales et théâtrales.

Pour cette année, de nouvelles compagnies se joignent à la fête !

Si vous souhaitez vivre l’édition des 29 et 30 juillet 2023, rejoignez-nous.

Vous toutes et tous invités à vivre des moments, que vous pourrez immortaliser !

Vous y êtes les bienvenus !

OKLAHOMA – OCCITANNIA OK-OC

  · 

Un poème de Line Lafont :

Line a écrit ce poème en hommage à deux cultures brisées mais non détruites : celle des Occitans et celle des Osages. Il fait écho au film de Francis Fourcou : Un Pont au-dessus de l’Océan. Montségur est l’équivalent de Wounded Knee. L’un est à la culture occitane ce que l’autre est aux cultures natives américaine. Merci Line !

MONTSÉGUR !…

Quand mon regard suit ses murs crénelés, j’entends des chants et des cris étouffés

qui descendent le long du sentier…

Ma gorge se noue,

Dans ma bouche jaillit un goût de sang,

un voile humide couvre mes yeux,

Ma pensée, mon cœur, mon âme frissonnent pour eux !

Comment au nom de l’amour de Dieu

les Croisés ont-ils pu assassiner

les Bonhommes et les Parfaites,

des enfants, des mères et des vieux

qui n’avaient que la prière pour arme, casque et pieu,

respectant la vie des autres sans rien demander pour eux ! ..

Quand mon regard fixe l’horizon,

un cri strident remonte du néant,

une flèche à plumes blanches perce le firmament,

des rides noires alors, creusent mon front.

ma gorge se noue,

Dans ma bouche jaillit un goût de sang !

Comment des hommes se disant civilisés

Chapeau haut de forme, militaires ou curés

ont-ils pu briser des peuples honnêtes, fiers,

enracinés depuis des siècles durant

sur ces terres vertes dont ils respectaient

la faune, la flore, tout être vivant,

vénérant la lune, le soleil, le vent…

Cathares d’ici, Osages de là-bas,

des piques, des colts, des flammes,

ont crevé vos yeux et coupés vos langues,

Ils ont voulu vous anéantir à jamais,

souffler votre lumière de vie telle une bougie…

Les premiers ne sont plus qu’un souvenir

chéri et honoré aujourd’hui par des milliers d’Occitans

Les seconds ont toujours leurs descendants

qui maintiennent haut leurs couleurs, leur langage natal.

Deux peuples opprimés au nom de Dieu

Deux peuples envahis au nom de la cupidité

Deux peuples frères aux mêmes valeurs,

d’acceptation de la différence,

d’accueil de l’Autre,

de respect pour l’Humanité !

Longue vie à OK-OC !

La demande d’autonomie est votée à 73%

Par l’Assemblée de Corse le 5 juillet 2023 / François Alfonsi (Officiel)

5 juillet 2023 : la demande d’autonomie est votée à 73% par l’Assemblée de Corse ! Cette date restera historique. Elle est l’aboutissement d’un processus qui s’est déroulé sur plusieurs décennies pour convaincre le peuple corse, et aussi le commencement d’une séquence politique dont l’issue sera capitale.

Six à dix mois nous séparent de la prochaine échéance, celle d’un referendum à convoquer sur la base de la négociation qui va s’ouvrir. D’ici là les étapes seront cruciales, et la balle est désormais dans le camp de l’Etat.

Ce dernier est confronté à une proposition concrète et détaillée adoptée par une très large majorité des élus de la Corse, et il doit y répondre. Il a promis d’ouvrir une réforme constitutionnelle conformément aux engagements signés par Gérald Darmanin en mars 2022. Emmanuel Macron tiendra-t-il cette promesse ?

Le point crucial du déroulement des débats qui ont eu lieu à l’Assemblée, tout autant que l’approbation de la délibération adoptée, a été le rejet de la proposition au rabais émanant du groupe de la droite insulaire. Son adoption, même par un vote minoritaire, l’aurait mise comme une option pour le gouvernement qui aurait pu tergiverser en s’appuyant sur elle. Désormais, il est face à une demande dont le niveau de réforme institutionnelle ne peut être abaissé.

Ce résultat politique a été obtenu par l’engagement plein et entier du groupe majoritaire et par le soutien que lui ont apporté d’autres groupes. Ainsi, durant la session de juin qui a précédé, le groupe Core in Fronte avait affiché la couleur en s’adressant aux groupes Avanzemu-PNC et Corsica Lìbera : « La mouvance nationaliste est dans l’obligation de converger », et en précisant : « La convergence c’est un état d’esprit, il doit y avoir une vision stratégique forte ». Si l’élue Corsica Lìbera n’a pas rejoint le vote final, le PNC l’a fait, contribuant à son ampleur et donc à son impact. Un autre élu a apporté sa voix en venant du groupe de la droite, Pierre Ghionga, Ce travail de rassemblement sera très important pour l’avenir de ce processus.

Car l’Assemblée de Corse a prévu que « l’Accord politique » qui sera négocié avec l’Etat fasse l’objet d’un referendum en Corse. Ce vote sera alors capital.

Certes, les obstacles seront encore nombreux à franchir ensuite, puisque le vote de la réforme constitutionnelle doit être approuvé à l’Assemblée Nationale et au Sénat, puis confirmé par le Congrès de Versailles avec une majorité des 3/5èmes. Mais l’expression directe du peuple corse, si elle est forte d’une bonne participation et d’un « oui » largement majoritaire, apportera l’élan nécessaire pour espérer les franchir tous.

La séquence qui s’ouvre est donc nouvelle. Elle doit s’appuyer sur tous ceux que le vote du 5 juillet dernier a rassemblés. L’objectif commun doit être d’expliquer, de détailler, de rassurer, et de mobiliser en vue du referendum qui pourrait avoir lieu au printemps 2024, dans moins d’un an.

Quand les premiers contacts entre le gouvernement et l’Exécutif ont jeté les bases de ce processus de Beauvau, beaucoup de pessimisme s’est exprimé. Le flou de la période électorale de la présidentielle en France, les tergiversations dans les dossiers judiciaires Alessandri et Ferrandi, les soubresauts de la contestation de la réforme des retraites, ont contribué à éloigner le dossier corse des urgences médiatiques. Mais la question corse vient de loin et elle reste en attente d’une solution politique qui éloigne définitivement les troubles que la Corse a connus par le passé. Nous savons que cela passe par une révision constitutionnelle dont on sait qu’elles n’interviennent que très rarement. Monter à bord de la prochaine révision constitutionnelle annoncée pour fin 2024 est donc indispensable.

Nous avons quelques mois pour y parvenir.

En direct sur R.E.M 98.4 FM

ADISHATZ pendent l’estiu estiu vos convida en CATALONHA per 4 reportatges enregistrats dins lo NAUT VALLESPIR ; una region que valoriza la cultura catalana .

Uèi , serèm amb Dauna Marie COSTA , Consòla de la vila termala d’ELS BANYS !

Nos explica cossí desvolopar la presencia del catalan dins una vila famosa per las aigas e l’acuèlh de milièrs de curistas !

Mardi 18 juillet de 18 h à 19 h

et samedi 22 juillet de 9 h à 10 h

en direct sur R.E.M 98.4 FM

et en téléchargement sur www.re2m.org

Madame Marie COSTA nous présente en catalan , la ville d’AMELIE LES BAINS dans la région du HAUT VALLESPIR.en Catalogne nord.

Elle nous explique également comment en 2023 ; il est légalement interdit de s’exprimer d’abord en langue régionale même avec une traduction instantanée en français; dans une réunion de Conseil Municipal !

En Catalonha entre mar e montanha , se parla una lenga cosina de l’occitan !!! Bon mès de julhèt.AMISTATS.Alan PÈIRE.

DE MANCAR PAS:

-BASTID’ART-PELAGRUA ‘RT du 13 au 16 juillet ( voir le site ).

–Le mardi matin à 7h20′ dans LA MATINALE de MATHIEU ( 7h – 10h ) sur REM ,la chronique occitane.: LO MERCAT DE LA REULA (33 ) * plus beau marché de France en 2023 *

-Séquences de musiques occitanes proposées par SÉBASTIEN SUR R.E.M (98.4FM ou sur http://www.re2m.org) :le MARDI de 19h 20 à 20h et le DIMANCHE de MIDI à 14 h.

-Souscription CD PASSA CAMIN « D’enlòc » « De nulle part ».Info :07.83.17.59.87 ou passacamin@gmail.com

-Vous êtes un(e) citoyen(ne) ou un(e) élu(e) et vous souhaitez introduire une animation occitane dans votre association ou collectivité girondine. Contact :Tederic CAHUZAC, chargé de mission du CD : t.cahuzac@gironde.fr ou 06.27.55.71.87

-NUITS ATYPIQUES : samedi 22 juillet aux CARMES à Langon : KA CHICA et PARVEEN et ILYAS KHAN

voir le site pour toutes les animations fascinantes.

-1 livre précieux :PETIT MANUEL DU TOPONYMISTE OCCITAN de Jean RIGOUSTE (Editions NOVELUM- IEO PÉRIGORD

La région peut elle prendre le nom de PAYS DE PROVENCE ?

Historiquement c’est possible. IL n’est pas une parcelle du territoire de la région qui n’ait été concernée par la provence historique. Le pays nicois a été provencal jusqu’au 14 ème siècle. Les hautes alpes par le comte de Forcalquier l’ont été jusqu’au 12eme siècles et de tout temps par les évêchés d »Embrun et de Gap qui couvraient principalement la provence.

Le sentiment d’identité provencale est presente. Dans le sud des hautes alpes le parc naturel régional s »intitule barronie Provencales. Plusieurs localités des hautes alpes (laragne serre ou Rosans )se placent volontiers en PROVENCE. Gap et Embrun veut se situer entre PROVENCE et Dauphiné .

Pour ce qui est de la côte d’azur à l’ouest du fleuve var elle affirme son appartenance Provencale. Reste le cas délicat de Nice, très attachée à son identité spécifique. De plus l’histoire rappelle que Nice a une part d’identité provencale. Les duc de Savoie denommaient ainsi le pays nicois « terra nova de prouvenca « .

Au demeurant que le nom de PROVENCE englobe également le pays nicois et les hautes alpes n’empêcherait aucunement la dynamique des spécificités locales comme l’a toujours permis cette région de tradition fédérative.

Aujourd’hui la généralisation de l’acronyme PACA ou du terme sud est un désavantage pour tous les pays de provence Alpes Côte d’Azur. Dans paca ou sud on ne retrouve ni les Alpes du sud ni la côte d’azur ni la provence. Avec paca ou sud, tout le monde y perd !

Pour tous ces pays provençaux se retrouver avec ses spécificités et son identité propre sous le vocable PROVENCE est au contraire un atout. Qu ‘il s’agisse de notoriété d »images ou de culture, la région a intérêt à retrouver son nom historiquement fondé de PROVENCE qui est un véritable atout économique et touristique à l’international.

Ne soyons plus la seule région à être connu par son horrible acronyme ou par sud qui est insituabble alors qu’elle est la région de France la plus célèbre au monde.

Rendons son nom historiquement fondé à notre pays PROVENCE

Muselier ne sera qu’une parenthèse minable pour le peuple PROVENCAL.

OSCO PROUVÈNÇO.

Les langues-cultures moteurs de démocratie et de développement

L’emblématique des régions de France de Martine BOUDET ( Paris, Panthéon, août 2023)Sur Les langues-cultures moteurs de démocratie et de développement et sur L’emblématique des régions de France.
Ce livre de Martine Boudet va paraître le 22 août prochain, avec le soutien du laboratoire de recherche (Paris Diderot). 

Dans leur présentation, un accent est mis sur la part occitane: publication par l’IDECO en 2009 d’un précédent essai d’anthropologie culturelle, participation du Carrefour culturel Arnaud Bernard et de la DGLFLF… 
Il faut préciser que l’auteure (boudetm31@gmail.com) est disponible pour une rencontre sur l’un ou l’autre de ses livres. 

 Les photos des livres sont disponibles en pj et sur le site du Croquant. 

 L’emblématique des régions de France de Martine BOUDET ( Paris, Panthéon, août 2023)

Les hymnes et chants identitaires du grand sud                                                                      

Faisant suite à un précédent essai, Les hymnes et chants identitaires du grand sud (Toulouse, IDECO, 2009), cet ouvrage analyse le patrimoine symbolique de la France métropolitaine et ultramarine à partir de ses différents éléments constitutifs : blasons, drapeaux et logotypes, devises, chants, dates de fêtes et de commémorations, figures et lieux représentatifs…
              Les textes des chants sont transcrits, le cas échéant, en langue d’origine – alsacien, basque, breton, catalan, corse, créole, occitan/provençal –, et traduits en français. Les relations inter-régionales et transfrontalières, qui participent du développement des territoires, sont prises en compte, de même que l’actualité des recompositions institutionnelles et des biens inscrits sur la liste du patrimoine mondial (UNESCO).
        En cette période de ressourcement identitaire, ce livre répond à une nécessité éditoriale. À celle également de didactiser des données d’anthropologie culturelle et de géopolitique, en l’occurrence interrégionale. À ce titre, il peut intéresser différents publics, désireux de préserver la mémoire des territoires, ou bien en quête de dialogues interculturels et de démocratie culturelle.

Martine BOUDET
          Agrégée de Lettres modernes, docteure en littérature française, chercheure à l’université Paris-Diderot, Martine BOUDET a collaboré avec des spécialistes de différentes régions. Ce travail de coordination est à l’origine de publications précédentes, Le système éducatif à l’heure de la société de la connaissance (Presses Universitaires du Mirail, 2014), Urgence antiraciste – Pour une démocratie inclusive –(Le Croquant, 2017) et Les langues-cultures moteurs de démocratie et de développement (Le Croquant, 2019).

            Cet ouvrage a été publié avec le soutien de la faculté Sociétés & Humanités, Université Paris Cité (Laboratoire de recherche CLILLAC-ARP UR 3967).Les langues-cultures moteurs de démocratie et de développement Le Croquant, 2020

Les recompositions géopolitique             

L’actualité le montre : les recompositions géopolitiques à la faveur de la mondialisation et de la médiatisation des échanges, mais aussi de la crise du système néolibéral, suscitent un regain des aspirations identitaires. Si, en négatif, celles-ci se traduisent par des nationalismes xénophobes voire guerriers, les formes démocratiques et progressistes, notamment sur le terrain régional, sont, elles aussi, bien réelles.
                  Le panorama est ainsi éclairé par des fulgurances, marquées par une logique d’ensemble, à en juger par l’actualité écossaise, catalane, corse, camerounaise anglophone, néo-calédonienne, kurde… Des aspirations linguistico-culturelles et territoriales, enfouies jusqu’ici sous la gestion d’appareils d’État et de marchés, renaissent au grand jour. Les citoyen·ne·s sont incité·e·s à se réenraciner dans une culture plus profonde, dont les fondamentaux sont d’ordre anthropologique.
                  Leurs « armes cordiales » sont les sciences humaines et sociales, la littérature et les arts, l’éducation scolaire et populaire, les médias, le tourisme… L’objectif est une démocratisation culturelle et un développement durable, cosmopolite certes, mais aussi auto-centré dans le cas des cultures dominées.
                  L’avenir dira qui, des forces de régression nationalistes et xénophobes ou des forces de paix et d’inclusion, l’emportera. Dans ce livre, les auteur·e·s font le pari d’une évolution plus harmonieuse et apportent leur expertise et leurs expériences à cet égard. En cette année déclarée « année des langues autochtones » par l’Unesco, voilà un enjeu altermondialiste majeur.

                Les auteur·e·s sont universitaires, spécialistes des langues ou des cultures, pédagogues praticiens, français ou d’autres origines et nationalités : arménienne, belge, brésilienne, italienne, ivoirienne, marocaine, suisse, togolaise, yéménite.Giovanni Agresti, Fares Al Ameri, Saïd Benjelloun, Philippe Blanchet, Martine Boudet (coord), Claude Calame, Joëlle Cordesse, Gilbert Dalgalian, Gaid Evenou, Camille Gourdeau, Sílvia Maria Manfredi, Kako Nubukpo, Pierre Jérémie Piolat, Giovanni Poggeschi, Caroline Roussy, Claude Sicre, Christian Tremblay, Jean-Philippe Zouogbo.
                 Avec la participation de la Délégation de la langue française et des langues de France/DGLFLF (ministère de la Culture) et du Carrefour Culturel Arnaud Bernard de Toulouse.

Table des matièresIntroduction. La promotion des langues-cultures, un nouveau paradigme, Martine Boudet

Première partie. Un système géo-socio-institutionnel en crise

Chapitre 1. Langues et démocratie : un lien imprescriptible, Gilbert Dalgalian
Chapitre 2. Anglophonie-francophonie : l’ écueil de l’ hégémonie économique ou stratégique, Christian Tremblay
Chapitre 3. L’ enseignement des langues dites « régionales » en France : un contexte problématique, Philippe Blanchet
Chapitre 4. Enseigner l’ arabe en France, vers de nouvelles perspectives, Saïd Benjelloun
Chapitre 5. Impossibilité et possibilité de la rencontre épistémique « multiverselle », Pierre Jérémie Piolat
Chapitre 6. Parler le français : une obligation ou un droit pour les étranger·ère·s « primo-arrivants » ?, Camille Gourdeau
Chapitre 7. Les pays de l’ Union européenne et la réglementation linguistique, Giovanni Poggeschi

Deuxième partie. Facteurs académiques, citoyens et institutionnels d’une évolution qualitative

Chapitre 8. Retrouver l’ intelligence des langues, Joëlle Cordesse
Chapitre 9. L’ interculturel : une approche pour favoriser la paix civile dans les sociétés actuelles, Fares Al Ameri
Chapitre 10. Pour une anthropologie culturelle altermondialiste : communication et relations avec les autres en régime néolibéral, Claude Calame
Chapitre 11. Pistes pour l’ ouverture et la revivification du français et des lettres, Martine Boudet
Chapitre 12. Historique, principes et objectifs du forum associatif des langues, Claude Sicre
La Délégation générale à la langue française et aux langues de France (DGLFLF) : ses missions et réalisations

Troisième partie. Les langues-cultures au service d’un modèle de développement émancipateur

Chapitre 14. Pour une éducation et une démocratie inclusives : le paradigme de l’ anthropoglossophilie, Sílvia Maria Manfredi, Joëlle Cordesse
Chapitre 15. La linguistique du développement social. De la théorie au terrain et retour, Giovanni Agresti
Chapitre 16. Mieux communiquer pour une plus grande efficacité de l’ aide au développement en Afrique subsaharienne francophone, Jean-Philippe Zouogbo
Chapitre 17. Pour une Francophonie de l’ action : une vision, un projet programmatique, Kako Nubukpo et Caroline Roussy
Chapitre 18. Face à la glottophobie, une politique de droits linguistiques, Philippe Blanchet