Catégorie : Actualités

À partir du samedi 9 participez à des ateliers d’occitan

À partir du samedi 9 décembre, la maison du patrimoine vous invite à participer à des ateliers d’occitan.

En partenariat avec les archives départementales de la Dordogne, la Mairie de Terrasson et Novelum, l’Institut d’Études Occitanes du Limousin, la maison du patrimoine vous proposera des séances axées sur l’étude de manuscrits des archives de Charles Feytaud et son travail sur le « patois de Terrasson »

Cette nouvelle activité gratuite est ouverte à tous et souhaite au travers d’échanges sauvegarder, valoriser ces documents ainsi que de transmettre ce travail.

Alors venez nombreux le samedi 9 décembre à partir de 14h30 à la maison du patrimoine.

La région peut elle prendre le nom de PAYS DE PROVENCE ?

Le sentiment d’identité provencale est presente. Dans le sud des hautes alpes le parc naturel régional s »intitule barronie Provencales. Plusieurs localités des hautes alpes (laragne serre ou Rosans )se placent volontiers en PROVENCE. Gap et Embrun veut se situer entre PROVENCE et Dauphiné .

Pour ce qui est de la côte d’azur à l’ouest du fleuve var elle affirme son appartenance Provencale. Reste le cas délicat de Nice, très attachée à son identité spécifique. De plus l’histoire rappelle que Nice a une part d’identité provencale. Les duc de Savoie denommaient ainsi le pays nicois « terra nova de prouvenca « .

Au demeurant que le nom de PROVENCE englobe également le pays nicois et les hautes alpes n’empêcherait aucunement la dynamique des spécificités locales comme l’a toujours permis cette région de tradition fédérative.

Aujourd’hui la généralisation de l’acronyme PACA ou du terme sud est un désavantage pour tous les pays de provence Alpes Côte d’Azur. Dans paca ou sud on ne retrouve ni les Alpes du sud ni la côte d’azur ni la provence. Avec paca ou sud, tout le monde y perd !

Pour tous ces pays provençaux se retrouver avec ses spécificités et son identité propre sous le vocable PROVENCE est au contraire un atout. Qu ‘il s’agisse de notoriété d »images ou de culture, la région a intérêt à retrouver son nom historiquement fondé de PROVENCE qui est un véritable atout économique et touristique à l’international.

Ne soyons plus la seule région à être connu par son horrible acronyme ou par sud qui est insituabble alors qu’elle est la région de France la plus célèbre au monde.

Rendons son nom historiquement fondé à notre pays PROVENCE

Muselier ne sera qu’une parenthèse minable pour le peuple PROVENCAL.

OSCO PROUVÈNÇO.

La région peut elle prendre le nom de PAYS DE PROVENCE ? Historiquement c’est possible. IL n’est pas une parcelle du territoire de la région qui n’ait été concernée par la provence historique. Le pays nicois a été provencal jusqu’au 14 ème siècle. Les hautes alpes par le comte de Forcalquier l’ont été jusqu’au 12eme siècles et de tout temps par les évêchés d »Embrun et de Gap qui couvraient principalement la provence.

Le sentiment d’identité provencale est presente. Dans le sud des hautes alpes le parc naturel régional s »intitule barronie Provencales. Plusieurs localités des hautes alpes (laragne serre ou Rosans )se placent volontiers en PROVENCE. Gap et Embrun veut se situer entre PROVENCE et Dauphiné .

Pour ce qui est de la côte d’azur à l’ouest du fleuve var elle affirme son appartenance Provencale. Reste le cas délicat de Nice, très attachée à son identité spécifique. De plus l’histoire rappelle que Nice a une part d’identité provencale. Les duc de Savoie denommaient ainsi le pays nicois « terra nova de prouvenca « .

Au demeurant que le nom de PROVENCE englobe également le pays nicois et les hautes alpes n’empêcherait aucunement la dynamique des spécificités locales comme l’a toujours permis cette région de tradition fédérative.

Aujourd’hui la généralisation de l’acronyme PACA ou du terme sud est un désavantage pour tous les pays de provence Alpes Côte d’Azur. Dans paca ou sud on ne retrouve ni les Alpes du sud ni la côte d’azur ni la provence. Avec paca ou sud, tout le monde y perd !

Pour tous ces pays provençaux se retrouver avec ses spécificités et son identité propre sous le vocable PROVENCE est au contraire un atout. Qu ‘il s’agisse de notoriété d »images ou de culture, la région a intérêt à retrouver son nom historiquement fondé de PROVENCE qui est un véritable atout économique et touristique à l’international.

Ne soyons plus la seule région à être connu par son horrible acronyme ou par sud qui est insituabble alors qu’elle est la région de France la plus célèbre au monde.

Rendons son nom historiquement fondé à notre pays PROVENCE

Muselier ne sera qu’une parenthèse minable pour le peuple PROVENCAL.

OSCO PROUVÈNÇO.

Eric FRAJ communique

Dins l’encastre de l’omenatge fait a Robèrt Lafont a l’Ostal de Region de Montpelhièr (201 av. de la Pompignane) aqueste ser de 17 oras enlà, ambe Morgan Astruc donarem lo concèrt novèl « Parle a un pòble… », elaborat a partir de poèmas de Robèrt Lafont. Aquel concèrt començarà a 19h45.

Entresenhas e programa complèt: htpp://www.laregion.fr/robertlafont

Roland Pecout nos a laissats orfanèus

Lo monde occitan perde un de sei poètas mai grands, un professor meravilhós, un erudit flamejant. Perdi ieu un amic tendre, un guida en poèsia, l’òme que m’a donat lo coratge un jour de « decidir d’aver rason ».

Alessio Mascalzone: « Immense tristesse d’apprendre le décès de Roland Pécout. Il fut tout à la fois un grand voyageur, un poète de langue d’oc exceptionnel et un agitateur politique (durant ces années 1970 où l’occitanisme se positionnait majoritairement dans une perspective décoloniale et révolutionnaire). Pour nous, Marseillais et défenseurs de la langue d’oc, il était l’auteur génial de Portulan, le récit d’un voyage initiatique en Orient au milieu des années 1970, écrit dans un provençal d’une incroyable richesse. Nous l’avions rencontré aux alentours de 2004, je crois bien, alors qu’il sortait d’une très mauvaise passe qui lui avait inspiré une série de poèmes qu’il cherchait à faire éditer. C’était le chanteur arlésien Jan-Mari Carlotti qui avait eu l’idée d’organiser cette rencontre, pensant à juste titre que le courant passerait entre cet homme si libre et nous autres de l’Ostau dau País Marselhés, plutôt inclassables. De fait, ce fut le début d’une amitié qui ne s’est jamais démentie, de la publication de son recueil-CD « Laissarem degun » par l’Ostau jusqu’à sa collaboration avec D’Aqui Dub Orchestra. C’était une très belle personne, d’un propos toujours très ouvert, qui regardait le monde à partir de sa culture et de sa langue d’oc sans aucun ethnocentrisme et sans aucun passéisme. C’est une très grande perte. »

Développer la langue normande par l’enseignement

Commentaires

Par Elian Siaud

Linguistiquement langue, patois et dialectes ne sont pas la même chose.

Un patois n’as pas vraiment de définition ce n’est pas utilisé en linguistique car c’est juste une manière péjorative de parler d’une langue ou d’un dialecte.

Une langue est composé d’un ensemble de dialectes. Un dialecte est l’une des variantes de cette langue.

Exemple : le provençale et le gascon sont deux dialectes de la même langue : l’Occitan.

Le français de Paris et du Québec sont deux dialectes de la même langue : le français.

En gros on dis que deux dialectes font partie de la même langue si ils sont incompréhensibles.

Le Dialogue de l’Âne et du Taureau

Dans un coin pittoresque de l’Espagne, où les champs de tournesols s’étendaient à perte de vue, vivait un âne astucieux nommé Català et un taureau majestueux appelé Ibérico. Català, avec ses grandes oreilles frémissantes et son regard pénétrant, symbolisait l’esprit de la Catalogne, tandis qu’Ibérico, avec ses cornes robustes et son allure imposante, incarnait la fierté de toute l’Espagne.

Un jour, alors que les voitures filaient sur les autoroutes, arborant fièrement des autocollants à l’effigie de Català et d’Ibérico, les deux animaux se rencontrèrent dans une prairie verdoyante.

« Pourquoi cherches-tu à te distinguer ainsi, Català ? » demanda Ibérico avec une curiosité non dissimulée. « N’appartenons-nous pas tous les deux à cette grande nation ? »

Català, levant les yeux vers le ciel bleu, répondit avec sagesse : « Ibérico, mon ami, je ne cherche pas la division, mais à célébrer notre diversité. Chacun de nous a une histoire, une culture, des traditions qui nous rendent uniques. »

Ibérico frappa doucement le sol de son sabot, pensif. « Mais ne risquons-nous pas de nous éloigner les uns des autres ? De diviser ce qui a été uni si longtemps ? »

« Non, Ibérico », sourit Català. « C’est dans notre diversité que réside notre vraie force. En partageant nos histoires, nous enrichissons notre nation. Nous ne sommes pas des adversaires, mais des compagnons de voyage sur le chemin de la compréhension et de l’unité. »

Touché par ces mots, Ibérico acquiesça. Ensemble, ils regardèrent les voitures passer, chacune portant fièrement le symbole de l’âne ou du taureau, et comprirent que leurs différences ne les séparaient pas, mais les liaient plus étroitement dans le tissu coloré de leur patrie.

Ainsi, Català et Ibérico continuèrent à vivre en harmonie, rappelant à tous que la diversité n’est pas une faiblesse, mais une célébration de l’unicité de chacun, unissant tous les habitants dans un tableau vivant de cultures et d’histoires partagées.