Catégorie : Actualités

– 11- Festival « Trèbes en Chansons »

Festival « Trèbes en Chansons » de L’Indépendant Carcassonne

Trois jours de concerts gratuits à la mairie pour célébrer la chanson française.

Le festival « Trèbes en Chansons » fait son grand retour pour sa 8e édition, offrant aux amateurs de musique une pause mélodique au cœur de l’automne, du 14 au 16 novembre. Cet événement, qui se déroulera salle des congrès à la mairie de Trèbes, est une occasion unique de découvrir des talents émergents tout en redécouvrant l’essence de la chanson française.

Un programme éclectique

Cette édition d’une grande richesse musicale et d’une programmation variée, saura séduire tous les goûts.

Les concerts à ne pas manquer :

– Laura Ferrisi et Philippe Munck en « Format A4 ». Ce duo propose un spectacle intimiste, où deux guitares, une flûte et deux voix s’unissent pour célébrer la tradition de la chanson française. Ce vendredi 14 novembre à 20 h 30.

– Fé et les Frisés. Ce groupe audacieux mélange swing, valse, reggae, funk et pop pour façonner un univers sonore singulier et entraînant. Fé, à la guitare et au looper, s’exprime avec une créativité débordante en chantant et en slammant. Leur spectacle est prévu pour ce samedi à 20 heures.

– Un air de Deux Airs, Clotilde et Éric. Ce duo dynamique promet un répertoire de chansons vitaminées. Clotilde, à l’accordéon et au chant, s’associe à Éric et ses multiples instruments pour offrir un spectacle plein d’énergie. Ce samedi, à 21 h 45.

– Tiou. ce chanteur charismatique et généreux, influencé par la pop culture et la chanson à texte, invite à un moment de tendresse mêlé d’humour noir. Ce dimanche à 17 heures.

Malheureusement, le spectacle de la chorale du collège Gaston-Bonheur a été annulé, mais promet de revenir dès l’année prochaine.

Philippe Munck, l’initiateur du projet, continue de diriger la programmation artistique aux côtés d’Odile Mitais, conseillère municipale en charge de la culture, et de Gisèle Jourda, sénatrice de l’Aude.

Selon Odile Mitais, « avec cette 8e édition, le festival est désormais solidement ancré dans les traditions de notre ville. Trèbes en chansons s’affirme comme le rendez-vous incontournable d’octobre. La salle des congrès, dont l’atmosphère semble de moins en moins intimiste, témoigne du succès grandissant de cet événement musical ».

Cette satisfaction est partagée par le maire Éric Menassi : « La culture est, plus que jamais, ce qui nous unit, et la musique en particulier ! L’entrée gratuite permet d’assurer l’accessibilité à tous. Un autre objectif clé est de promouvoir les artistes locaux en créant plus d’opportunités pour les chanteurs émergents ».

Photo : Philippe Munck et le maire, Eric Ménassi, une complicité de plus de 40 ans.

– 63 – Diversitat lingüistica e diversitat biologica vès Clarmont

Quò parlèt diversitat lingüistica e diversitat biologica vès Clarmont, dimars passat, per los Rencontres Tikographie ! Embei Bernat Giacomo, Cristian Omelhièr, Josiana, Toène, eca. Per los tornar escotar, qu’es per aicí : https://open.spotify.com/episode/4wLksdWOvlHkkVCiJz41eq…

[Fr] Ça a parlé diversité linguistique et diversité biologique à Clermont-Ferrand, mardi dernier, pour les Rencontres Tikographie ! Avec Bernard Giacomo, Christian Omelhier, Josiane, Antoine, etc. Pour les réécouter, c’est par ici : https://open.spotify.com/episode/4wLksdWOvlHkkVCiJz41eq…

#occitan#auvèrnha

Début d’un nouveau cycle de coopération transfrontalière

Aqueth 12 de noveme a Tolosa, lo Congrès que realizè un còp mei la traduccion simultanèa a l’escadença deu 43au Conselh Plenèr de la Comunautat de tribalh deus Pirenèus (CTP). Aquera reünion qu’amassa tot an los representants institucionaus deus sèt territòris de la CTP d’Espanha, de França e d’Andòrra.

Pendent la jornada, la region Occitània que passè la presidéncia de la CTP au governament de Navarra, mercant atau la debuta d’un cicle navèth de cooperacion transfrontalèra orientat sus tres èishs prioritaris : la joenessa, la santat e lo cambiament climatic.

[FR] Ce 12 novembre à Toulouse, le Congrès a de nouveau assuré la traduction simultanée lors du 43e Conseil Plénier de la Communauté de travail des Pyrénées (CTP). Cette réunion annuelle rassemble les représentants institutionnels des sept territoires de la CTP d’Espagne, de France et d’Andorre.

Au cours de cette journée, la région Occitanie a passé la présidence de la CTP au gouvernement de Navarre, marquant ainsi le début d’un nouveau cycle de coopération transfrontalière axé sur trois axes prioritaires : la jeunesse, la santé et le changement climatique.

La Région Occitanie / Pyrénées-MéditerranéeGobierno de Navarra / Nafarroako GobernuaGobierno de AragónGovern de CatalunyaEusko Jaurlaritza – Gobierno VascoRégion Nouvelle-AquitaineGovern d’Andorra

La Depêche défend les » Châteaux cathares «

La Depêche défends les » Châteaux cathares «

Publié le 8 novembre 2025 par Joan Pèire LAVAL — Laissez une réponse

» Faut-il pour autant les rebaptiser ? Et surtout : « Forteresses royales du Languedoc » ? L’appellation semble glorifier ceux qui ont écrasé dans le sang à la fois une religion et l’indépendance des seigneurs locaux. Et effacer d’un trait de plume les massacres et les bûchers. »

Dominique Delpiroux Editorialiste à La Depêche du Midi

#paisnostre

– 81 – La Rabastinhòla

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Catinou et Jacouti débarquent à Rabastens !

Le vendredi 21 novembre à 20h30, la Halle va résonner de rires et d’accent occitan avec la célèbre troupe l’Atelier 81 de Giroussens !

Un théâtre drôle, populaire, plein de tendresse et d’esprit — un vrai moment de convivialité comme on les aime à La Rabastinhòla

Venez partager ce moment festif, entre amis ou en famille.

Participation libre (au chapeau)

La Halle – Rabastens

Un grand merci à l’IEO Tarn, à la Région Occitanie, au Département du Tarn, et à tous ceux qui font vivre notre belle culture occitane !

#rabastens, #occitanie, #théâtreoccitan, #catinouetjacouti, #larabastinhola, #CultureVivante

Oui au Pays Catalan

Par Jordi Vera

Communiqué de presse

Oui au Pays Catalan – Hermeline Malherbe refuse d’entendre la voix des Catalans

Depuis plusieurs années, le mouvement Oui au Pays Catalan réclame un véritable changement de nom du département et une consultation citoyenne authentique.

Notre ambition est claire : que notre territoire assume pleinement son identité, son histoire et sa culture, à travers un nom légitime et fédérateur.

Pourtant, face à cette aspiration populaire, la présidente du Conseil départemental, Hermeline Malherbe, et sa majorité d’Union de la gauche semblent s’enfermer dans la lenteur, le calcul politique et la manipulation.

Une consultation confisquée et sous contrôle

Après des années d’inaction, Mme Malherbe annonce le lancement, en novembre 2025, d’une prétendue « consultation citoyenne » sur le changement de nom du département.

Mais tout indique qu’il s’agira d’un processus verrouillé, piloté par des experts et une agence de communication soigneusement choisis par le Conseil départemental.

Ainsi, la parole des Catalans risque d’être confisquée au profit de professionnels chargés de fabriquer une opinion conforme à la commande politique.

Chacun sait que ces “sages” et ces communicants répondront à la volonté du payeur, c’est-à-dire au Conseil départemental présidé par Mme Malherbe.

En d’autres termes, le peuple catalan serait dépossédé de sa voix et de son choix.

Une manœuvre électorale déguisée

Le Conseil départemental prévoit de multiplier les réunions de village sur ce thème, en pleine période des élections municipales.

Ces rencontres, financées sur fonds publics, posent une question essentielle : s’agit-il d’une concertation citoyenne ou d’une campagne électorale déguisée ?

Les maires candidats des communes concernées devront-ils intégrer les frais de ces réunions à leurs comptes de campagne ?

La confusion des genres est manifeste.

Un peuple déjà clair dans son choix

Sur le terrain, les Catalans se sont déjà exprimés.

Un très grand nombre de communes affichent fièrement des panneaux « Pays Catalan » à leurs entrées.

Un sondage réalisé par Ici Roussillon confirme cette tendance : 56 % des habitants préfèrent le nom Pays Catalan, loin devant « Pyrénées Catalanes ».

Le résultat est limpide : les Catalans savent qui ils sont et ce qu’ils veulent.

Ce n’est ni à des consultants, ni à des communicants de décider à leur place.

Oui au Pays Catalan appelle à rendre la parole au peuple

Le mouvement Oui au Pays Catalan appelle Mme Malherbe à respecter ses engagements et à rendre la parole au peuple catalan.

Le nom de notre département ne doit pas être le produit d’une stratégie de communication, mais le fruit d’un choix populaire, sincère et démocratique.

– 11 – Cantèra del Cercle Occitan del País de Carcassona`

Cantèra del Cercle Occitan del País de Carcassona`

aqueste dimècres 12/11 a 6 oras del ser a l’ostal de Quartier Barbacana

Una cantèra es un acamp de personas qu’an enveja de cantar amassa e en occitan, en libertat, sens cap de còr,.

Una cantèra es pas una corala.

Se d’unes an enveja de cantar tala o tala cançon, menan las paraulas per cadun e cantam o aprenèm la cançon.

L’imbécilité des opposants à l’existence des langues …

L’imbécilité des opposants à l’existence des langues sans états est jouissive. Ils utilisent des arguties si éculées, qu’on en est découragé d’avance de leur répondre. Confondre le nom d’une chose avec la chose elle-même par exemple : non bien sûr, on ne se dit pas « occitan », parce que 200 ans d’abrutissement, de mensonge et de martelage idéologique français sur plus de vingt générations a eu pour résultat que les gens ne savent pas ce que c’est. L’incompétence des pionniers de l’occitanisme – et non des moindres – dans leur entêtement à enseigner une langue artificielle, épurée, eugéniste, dédialectalisée (comme le français en somme) a fait le reste : comment peut-on se réclamer de ce qu’on ne connaît pas ? Par contre, on l’appelle gascon, provençal, patois, idiome roman pour les philologues de la fin du XIXe, on la dit en « bordeluche » ou en « parlant le sud », on la vit par des pratiques héritées ou (de plus en plus) revivalistes, et on la désigne mal. Mais depuis Saussure, que ces gens n’ont pas lu (ils ne sont pas linguistes mais parlent de linguistique) on sait que le signifiant ne fait pas le signifié, mais le désigne. Donc qu’on l’appelle comme on veut, on la parle quand-même et c’est ce qui compte. L’ignorance entretenue par les valets de la colonisation française craque aux coutures tant elle est indigente. Monde, las iròlas son lèu còitas !