Auteur/autrice : Claire DAUGE

Francesc Xavier Bada i Amatller est mort, omenatge d’Occitanie Pais Nostre

Francesc Xavier Bada i Amatller, qui va ser alcalde de la Pobla de Segur entre els anys 1987 i 1991, ha mort aquest passat diumenge als 88 anys d’edat. Nascut a Mataró i establert al Pallars, Bada també va ser conseller comarcal, així com diputat al Parlament de Catalunya per Convergència i Unió (CiU) entre 1984 i 1992. En la primera legislatura, entre 1984 i 1988, a més, va presidir la Comissió d’Agricultura, Ramaderia i Pesca del Parlament.

Bada va presidir algunes cooperatives agrícoles i va col·laborar en la promoció de la Federació de Cooperatives Agràries de Catalunya. Va ser condecorat amb la Creu Oficial de l’Orde Civil del Mèrit Agrícola del Ministeri d’Agricultura, Alimentació i Medi Ambient, i fou també primer tinent d’alcalde de la seva ciutat natal, Mataró, a la dècada dels 70. La missa funeral es durà a terme aquest dimecres.

Bada també ha destacat per ser un gran defensor de la construcció del túnel de Salau. De fet, va presidir l’Associació Internacional d’Amics del Túnel de Salau i va participar activament en l’aplec del Port de Salau. Es estat Vice- president del Cercle d’Agermanament Occitano- Catalan .

                                                        OMENATGE  d’OCCITANIA PAIS NOSTRE 

Ce 6 janvier c’est l’épiphanie, la coca dels reis !

Ce 6 janvier, c’est l’épiphanie ! Qui dit épiphanie, dit également galettes des rois. On en parle dans les Mots d’Oc sur France Bleu Occitanie avec Géraud Delbès. Comment dîtes-vous une galette en occitan ?

Vous dîtes la còca en occitan pour parler de la galette des rois. C’est le mot le plus commun que vous rencontrez dans le Gers, en Comminges, dans l’Ariège ou bien encore en pays toulousain. On parle aussi de la còca dels reis / le gâteau des rois. Deman, es Epifania. Deman, anatz far los Reis / vous allez tirer les rois. Epifania que correspond tradicionalament al jorn de la manifestacion de la lutz / traditionnellement, l’Épiphanie correspond au jour de la manifestation de la lumière / de la lutz.

Ah bon ? Pourquoi ?

E ben tre deman Matieu / à partir de demain Mathieu, les jours commencent à s’allonger de façon sensible. Ten, escotatz-me aquela expression: lo primièr de l’an creis d’un palm e pels Reis, los jorns creisson d’un pè de rei / au jour de l’an, la durée du jour augmente d’un empan / d’un palm (c’est une ancienne mesure qui équivaut à 22 cm), e pels Reis, d’un pas de rei / et pour la fête des Rois, d’un pied de roi (bref, ça se remarque ! / aquò se coneis !).

Chez nous en Occitanie, quelle galette des rois mange-t-on ?

Se manja puslèu la Còca dels Reis / chez nous, on mange la còca. La còca, c’est une sorte de brioche en forme de couronne qui évoque celle des rois. Cette « brioche » reste plus proche du pain originel dans lequel on cache à l’origine une (vraie) fève / una fava o ua hava en occitan. Cette brioche fait penser également à la fogassa mangée dans le Tarn et l’Aveyron. Si vous rajoutez des fruits confits, alavetz parlatz del Limós / le Limoux. Mas vertat es tanben que dempuèi quicòm coma 20 ans / mais c’est vrai que depuis 20 ans environ, vous pouvez manger aussi la galette »parisienne » entre guillemets: La frangipane. A chacun ses goûts .                                   Les Mots d’Oc, c’est sur France Bleu point FR.

Consultation citoyenne en Alsace : pour une Région à part entière !

Du 20 décembre 2021 au 15 février 2022, la Collectivité européenne d’Alsace lance une grande consultation citoyenne. L’Alsace doit-elle sortir du Grand-Est pour redevenir une Région à part entière ? Exprimez-vous dès maintenant !

Comment donner son avis ?

Qu’est-ce que le retour de la Région Alsace va changer pour vous ?

Un choix qui a du sens :

  • Une région qui correspond à notre histoire, notre géographie et notre identité
  • Rapprocher les décisions des habitants
  • Diminuer le nombre d’élus, mais des élus plus proches et plus facilement mobilisables et en capacité d’agir sur tous les sujets de votre vie quotidienne (plus besoin de chercher le bon interlocuteur),
  • Des élus à portée de conseils et de critiques qui écoutent vos préoccupations
  • L’assurance que l’argent des impôts des Alsaciens va bien aux projets qui les concernent

Qui simplifie la vie des Alsaciens :

  • Un seul interlocuteur pour toutes vos démarches, plus de clarté
  • Moins de temps perdu et moins de frais de déplacements (par exemple pour les bénévoles associatifs qui doivent faire des centaines de kilomètres dans leurs pratiques sportives ou pour la représentation de leurs associations)
  • Des services publics à côté de chez vous (380 sites en Alsace)
  • Moins de dossiers à remplir et un seul interlocuteur pour les demandes de subventions
  • Une action publique plus en proximité, plus humaine, plus efficace, qui correspond à vos besoins, parce que nous vous connaissons et nous vous écoutons

Du 2O décembre 2021 au 15 février 2022, la Collectivité européenne d’Alsace lance une grande consultation citoyenne. L’Alsace doit-elle sortir du Grand-Est pour redevenir une Région à part entière ? Exprimez-vous dès maintenant !

                                                   . Communiqué de la Collectivité Européenne d’Alsace .

Nous sommes 12 millions à parler une langue régionale !

18% des habitants de métropole (hors Corse) parleraient une langue régionale, soit 11,7 millions de personnes, avec des pourcentages particulièrement élevés dans les Hauts-de-France (38%), le Grand Est (26%) et l’Occitanie (23%). 5% des personnes interrogées emploieraient ces langues « très régulièrement » et 35% “aimeraient bien” les parler, surtout dans les régions Bretagne (45%), Pays de la Loire (41%) et Occitanie (39%) tandis que 61 % trouvent « dommage que la pratique des langues régionales ne soit pas plus encouragée ». Par ailleurs, 60 % se disent « attachées à l’accent » de leur région (78 % en Paca, 77 % en Occitanie). C’est ce qui ressort d’une étude « Régions, la grande enquête » réalisée par Sociovision pour le JT de 13H de TF1 de Marie-Sophie Lacarrau (3500 personnes, 8-22 novembre 2021, p 42 et suivantes). . Lettre de Michel Feltin-Palas / L’EXPRESS

L’HUILE D’OLIVE DU LANGUEDOC EN APPELLATION D’ORIGINE CONTROLEE !

Décalée d’un an en raison de la crise sanitaire, la première récolte de l’huile d’olive AOC Languedoc est promue par le noyau dur de producteurs, qui a accompagné l’aboutissement de ce projet vieux de plus de 20 ans. Les premiers flacons sont déjà disponibles avec une récolte 2021 marquée par son intensité aromatique.

Réunis au sein de la coopérative L’Oulibo, créée en 1942, et plus important producteur de lucques du Languedoc AOP, les producteurs d’olives audois et héraultais ont enfin pu mettre en lumière leur première récolte d’olives destinées à la production de l’huile sous appellation d’origine AOC du Languedoc. Et, contrairement à l’an passé, les rendements sont là, et les huiles sont marquées par une richesse aromatique peu commune.

Alors que la parution au Journal officiel avait été actée en novembre 2020, la crise sanitaire a contraint à un report de présentation. “Cette campagne 2021-2022 marque donc le lancement de ce nouveau signe de qualité”, se ravit Julie Carou, animatrice du syndicat AOC Lucques et huile d’olive du Languedoc.

Composée de deux variétés d’olives emblématiques, Lucques et Olivière, l’huile d’olive du Languedoc est la 16e appellation oléicole française. Elle fédère les forces de deux départements voisins, Hérault et Aude, au sein d’une aventure humaine souhaitant valoriser le savoir-faire des oléiculteurs de ce territoire, qui produisent les complémentaires Lucques du Languedoc et, à présent, huile d’olive du Languedoc.

Sous la présidence de Jean-Bernard Gieules, producteur à Caunes-Minervois (11), le syndicat de défense de la Lucques et de l’huile d’olive du Languedoc, a présenté les installations de la coopérative L’Oulibo, que Pierre Marty, son directeur, a détaillé par le menu. “La coopérative L’Oulibo s’engage à appliquer une charte qualitative très précise pour inciter à la pratique d’une agriculture raisonnée assurant le développement et la pérennité de l’oléiculture en Occitanie”, appuie Pierre Marty, en faisant visiter l’unité de production d’huile d’olive. L’Oulibo a été reconnue entreprise du patrimoine vivant en février 2017. ( Le Paysan du Midi )

                    Info d’OC . Joan-Pèire Laval .

Publication de la circulaire du gouvernement sur les langues régionales

Langues et cultures régionales : cadre applicable et promotion de leur enseignement

Texte adressé aux recteurs et rectrices d’académie ; aux inspecteurs et inspectrices d’académie-directeurs et directrices académiques des services de l’éducation nationale ; aux inspecteurs et inspectrices d’académie-inspecteurs et inspectrices pédagogiques régionaux ; aux inspecteurs et inspectrices de l’éducation nationale ; aux cheffes et chefs d’établissement du second degré ; aux directeurs et directrices d’école ; aux professeures et professeurs, cliquez sur le lien suivant :

https://www.education.gouv.fr/bo/21/Hebdo47/MENE2136384C.htm?

Communiqué d’Eskolim sur la circulaire des langues régionales

Communiqué d’Eskolim : A.B.C.M. Zweisprachigkeit – Calandreta – Diwan – La Bressola – Scola Corsa – Seaska

La décision du Conseil constitutionnel du 21 mai 2021 avait généré une crise sans précédent pour nos écoles pratiquant la pédagogie par immersion, en menaçant leur existence même et leur raison d’être depuis plus de cinquante ans. Eskolim tient à remercier toutes celles et tous ceux qui se sont mobilisés à nos côtés dès le lendemain pour dire haut et fort que ce type de
vision anachronique ne pouvait pas s’appliquer au 21e siècle.


Le gouvernement a pris la mesure de ces mobilisations et des attentes autour des langues régionales et la concertation entamée le 15 septembre autour du premier ministre Jean Castex et poursuivie avec les services de l’Éducation Nationale porte ses fruits aujourd’hui avec la publication de cette circulaire.


L’immersion pratiquée dans nos réseaux depuis plus de cinquante ans a toujours assuré cet objectif de maîtrise des deux langues, la circulaire publiée ce jeudi 16 décembre vient donc conforter notre modèle.


Eskolim apprécie également les ouvertures insérées dans le texte à propos des langues de passage des examens du brevet et du baccalauréat et se tournera désormais vers les recteurs d’académie pour voir les modalités d’application de ces mesures. Nous tenons également à saluer l’intégration du francoprovençal, du flamand occidental, du picard, du kibushi et du shimaoré qui obtiennent enfin le droit minimal d’être enseignées à l’école et nous attendons impatiemment la mise en place du conseil interministériel des langues régionales promis par le Premier Ministre.


Si le gouvernement a montré un changement d’orientation récent, n’oublions pas que cette fragile circulaire restera noyée dans un corpus juridique issu d’une époque où la France voulait faire disparaître ses langues régionales. Des mesures sont encore à prendre pour assurer le développement de l’enseignement des langues régionales (généralisation de l’offre d’enseignement, moyens et formations adéquats), pour en développer l’usage, et même pour garantir certains droits fondamentaux. N’oublions pas que la censure du 21 mai 2021 interdit l’usage de simples prénoms. Plus que jamais une réforme constitutionnelle semble nécessaire afin d’assumer pleinement les langues régionales dans leur transmission et dans leur usage, trésors de notre société et de nos territoires.
Contacts :
Jean-Sébastien HAYDN La Bressola
Peio JORAJURIA Seaska
Yann UGUEN Diwan
Karine SARBACHER A.B.C.M. Zweisprachigkeit
Jean-Louis BLENET Calandreta
Ghjiseppu TURCHINI Scola Co 

Compte rendu du congrès du 5 décembre à Port Lauragais

Excusés : Grosclaude David P.O.C, Boudaud Alexis Ecologistes Indépédants

 Claire DAUGÉ, la co-présidente présente le nouveau site d’Occitanie País Nòstre. 

-Plus de 200 comitats répartis dans 41 départements et présents à Barcelone, Bruxelles et dans l’Oklahoma.

La communication et le partage : deux projets obligatoires pour OPN. Merci à Charlou pour les clips.

 Un travail d’actualisation de ce site mis en place dès la création de l’association par Kamel BELKACEMI du Gard, aujourd’hui remplacé par Gilles FOLIO, un Gersois.

« Effectivement nous avons changé d’hébergeur et du coup rajouté des rubriques afin de promouvoir les comitats qui sont des artistes, des producteurs, des radios, des organisateurs… » Claire, responsable de l’édition, fait découvrir à l’assemblée cette initiative devenue prioritaire. 

« Les 205 comitats sont bien mis en valeur. Le nouveau serveur est plus facile d’accès….. » etc..

-Les ventes sur les marchés (départements 31,32,81,82,11,47) responsable Sylvie

-L’information alimentée par nos réseaux et Jean-Pierre Laval

-Médias : radios, organisateurs etc…

-Artistes

-Producteurs occitans

 Jérôme PIQUES: arrangeur et éditeur de clips sur toutes nos actions, nous présente un diaporama résumant les 7 années de présence d’OPN dans toutes les actions différentes. BRAVO pour ces heures de travail !

Ne pas oublier : Joan-Paol CAPDECOMME cameraman (radio-planeta-occitania /HilhdePuta)

Présenté et remercié de son soutien par Jean-Luc :

Jean François LAFFONT, Président de Convergéncia Occitana, nous a offert le plaisir de visionner en primeur la vidéo « Convivencia » qui est diffusée depuis ; il a expliqué l’idée de bienveillance qui émane de la « Convivéncia » en Occitanie, qui est notre mode de vie à tous sur notre territoire. Il remercie et félicite fortement JL DAVEZAC et la liste « Bastir Occitanie » : « C’est de cette façon-là que l’on a pu montrer notre existence et notre détermination pour demain ! » 

PARATGE e CONVIVÉNCIA : noblesse, tolérance et accueil, « L’art de vivre ensemble dans le respect mutuel de l’ALTÉRITÉ en toute ÉGALITÉ » Il propose de rencontrer l’Unesco afin de défendre ces valeurs universelles.

 Dominique DROUET Président de de Bolegadís nous a expliqué l’avancée du combat de l’association pour la marque , »Produits en Occitanie ». La région en tient compte dans le projet qui se met en place. Il insiste pour combattre la mouvance parisienne, trop sectaire ; de là il est clair qu’il faut réformer, compléter les compétences attribuées aux régions.

 Maxime MAURY professeur affilié à Toulouse Business School ancien directeur régional de la Banque de France fait un exposé de la situation économique actuelle et pourquoi la France doit absolument être décentralisée par une loi référendaire, pour mieux fonctionner et obtenir une équité des régions. Le manifeste défendu aux élections par « Bastir Occitanie » est toujours et toujours plus d’actualité. « Résilience et résistance par le local »

 Jean pierre LAVAL a fait un bilan de la remise des drapeaux par « País Nòstre » aux mairies, initiative qui parfois amorce des événements occitans. « Cette idée est à développer » souligne le co-Président Stéphane ALBERT.

 Pour terminer Jean-luc DAVEZAC Président de Bastir Occitanie fait un rapide historique du trajet fait part le groupe depuis sa création en 2014 et de sa présence lors des combats électoraux : des municipales 2014/2020, départementales, législatives, régionales de 2015/2021. En tout plus de 300 candidates et candidats ont participé !

BASTIR OCCITANIE, maintenant en mode politique, ira aux législatives avec des alliés qui aujourd’hui prennent contact. Un grand pas est fait. 

  Malgré tout : il faut résoudre le problème financier qui a pesé sur le résultat des dernières régionales (pas de bulletins ni de profession de foi à domicile et seulement 20% de bulletins dans une partie des bureaux de vote)

  Il faut absolument que les mouvements régionalistes soient bien représentés.  

C’est une nouvelle étape pour Bastir Occitanie.     

  FIN DU CONGRES D’OCCITANIE PAIS NOSTRE DU 5

L’occitan, lauréat du grand prix Cap’Com 2021 !

La campagne de communication grand public déployée par l’Office public de la langue occitane a été primée par les professionnels de la communication publique lors du forum Cap’ Com le 9 décembre à Rennes dans la catégorie communication culturelle

Une résonnance nationale pour l’occitan

La campagne de communication déployée au sein des Régions Nouvelle-Aquitaine et Occitanie autour de la langue occitane a retenu l’attention du jury. Présidé par Emmanuelle Daviet, médiatrice des antennes de Radio France, le jury a tenu à saluer une « campagne juste et pertinente, parvenant à revendiquer une identité sans tomber dans le clivage ». Ce prix permet à l’occitan de bénéficier d’une notoriété nationale et de gagner en visibilité.

L’objectif de cette campagne était de sensibiliser et d’inciter les habitants des deux régions à s’intéresser à une langue et une culture qui trouvent des résonances dans la vie de tous les jours. C’est la première fois qu’un dispositif de communication autour de l’occitan a été déployé à l’échelle des régions Nouvelle-Aquitaine et Occitanie avec l’appui des deux institutions.

La campagne s’appuie sur des mots français d’origine occitane apposés sur plusieurs visuels en créant un décalage connivent – démontrant ainsi que cette langue et cette culture trouvent des résonances dans la vie du quotidien.

Adaptée en affichage dans les gares et sur les réseaux sociaux, elle renvoie sur un site internet qui présente de nombreuses offres concrètes pour la découverte ou l’apprentissage de la langue : www.jemejettealoc.com.


L’occitan, bien plus qu’une langue
Pour les Régions Nouvelle-Aquitaine et Occitanie, cette reconnaissance vient conforter une volonté de faire de l’occitan un des principaux marqueurs du territoire. Cette campagne permet de faire découvrir l’occitan à des locuteurs potentiels, en particulier les jeunes générations, en modernisant son image et en consolidant l’attachement émotionnel qu’il peut susciter. Les personnages présents sur les visuels de la campagne sont d’ailleurs des habitants qui ont spontanément accepté de devenir figurants pour la promotion de l’occitan.


Les Régions Nouvelle-Aquitaine et Occitanie impliquées, partenaires et relais de la campagne

Déployée en simultanée sur les deux régions, cette campagne a bénéficié de l’appui opérationnel de chacune afin de faire rayonner cette campagne dans les territoires :

  • Recherche de figurants pour les visuels ;
  • Prises de vues ;
  • Réalisation de vidéos pour les réseaux sociaux ;
  • Mise à disposition d’espace publicitaire ;
  • Achat d’espaces dans la presse.

Un déploiement qui se poursuit

Pour 2022, la campagne sera adaptée et diffusée dans les lycées, afin de toucher les jeunes générations et les accompagner dans la découverte et l’apprentissage de l’occitan.

Dans un second temps, la campagne sera déclinée à l’échelle locale. De nouveaux visuels seront créés en proposant des mots et expressions spécifiques aux différents territoires. Plusieurs départements, intercommunalités et communes ont déjà intégré l’occitan comme marqueur identitaire. Afin que les habitants s’approprient leur langue, l’OPLO renforcera cette articulation entre dimension interrégionale et identités locales.

L’Occitanie deuxième région agricole de l’hexagone

Durant toute l’année 2020, une vaste enquête a été menée par la Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt. Un recensement très complet sur les exploitations agricoles d’Occitanie. Les résultats de cette étude ont été dévoilés ce mardi 14 décembre et montrent que le secteur agricole régional semble mieux résister qu’au niveau national. Dans ces chiffres concernant la taille des exploitations, leur nombre, l’âge des agriculteurs et ce qu’ils produisent, plusieurs tendances sont à mettre en exergue.

En premier lieu, l’Occitanie représente la deuxième région agricole en France. Il y avait 64 300 exploitations agricoles en 2020. Soit 14 000 de moins par rapport au précédent recensement, en 2010. La baisse n’est que de 18 % alors qu’en France elle est supérieure atteignant 21 %. Une bonne résistance due essentiellement à la taille des exploitations. Car en Occitanie, contrairement au reste de la France, ce sont essentiellement des micros et petites exploitations agricoles qui fonctionnent. Comme au niveau national, leur superficie moyenne augmente. Mais de seulement 8 hectares, la moyenne passant à 49 hectares, une progression moindre cependant qu’au niveau global métropolitain puisque cette surface agricole par exploitation est de 96 hectares.  

  Info / L’Indépendant