FÉDÉRALISME SUBSIDIARITE INTERDEPENDANCE
Par Dominique DROUET Président de Bolegadis
J’aurais tant aimé vivre dans une France qui soit la patrie des droits de l’homme, et donc respectueuse des cultures, et des histoires qui l’ont constitué.
Hélas les cultures de France sont niées, et peu à peu oubliées, ramenées au rang de folklore, les langues de France ne sont ni reconnues, ni enseignées, ni même légales. Radio France interdit même à France Bleu Occitanie de passer de la musique en occitan, même de quelqu’un reconnu comme Francis Cabrel.
J’aurais tant aimé vivre dans une France où les gens soient entrepreneurs, aillent de l’avant, ne soient pas dans une critique systématique, dans une victimisation, dans une déploration collective
.
Cela passe par le fait de confier des responsabilités globales aux échelons municipaux et régionaux. Cela conduit à supprimer les frustrations des partis politiques de l’opposition qui exerceraient un vrai pouvoir dans ces échelons.
Hélas l’autonomie, la subsidiarité sont des notions taboues en France et personne dans la presse, la radio ou la télévision n’expliquera la descente aux enfers où nous conduit le centralisme et le jacobinisme que la France a hérité autant de ses Rois que de sa Révolution.
J’aimerai tant vivre dans une France fière de sa diversité, et qui en prenne soin.
Un pays où chaque région, outre le français, pratiquerait sa langue, développerait sa culture, où certains jours fériés seraient spécifiques, où l’architecture, la gastronomie serait différente, où les règles d’urbanisme ne seraient pas les mêmes, où la diversité se verrait et enrichirait la France dans son ensemble.
Hélas, le rouleau compresseur est en marche, chaque jour les différences s’amenuisent. De toutes petites différences telles que l’usage du mot chocolatine qui est maintenant interdit d’affichage dans les magasins des chaines française de boulangerie en Occitanie. On court vers l’uniformité, on ne veut voir qu’une tête, on ne veut qu’un pays, qu’une langue, qu’une culture, qu’une histoire, qu’une architecture et qu’une gastronomie….à suivre…
FÉDÉRALISME SUBSIDIARITE INTERDEPENDANCE
J’aurais tant aimé vivre dans une France qui soit la patrie des droits de l’homme, et donc respectueuse des cultures, et des histoires qui l’ont constitué.
Hélas les cultures de France sont niées, et peu à peu oubliées, ramenées au rang de folklore, les langues de France ne sont ni reconnues, ni enseignées, ni même légales. Radio France interdit même à France Bleu Occitanie de passer de la musique en occitan, même de quelqu’un reconnu comme Francis Cabrel.
J’aurais tant aimé vivre dans une France où les gens soient entrepreneurs, aillent de l’avant, ne soient pas dans une critique systématique, dans une victimisation, dans une déploration collective
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Cela passe par le fait de confier des responsabilités globales aux échelons municipaux et régionaux. Cela conduit à supprimer les frustrations des partis politiques de l’opposition qui exerceraient un vrai pouvoir dans ces échelons.
Hélas l’autonomie, la subsidiarité sont des notions taboues en France et personne dans la presse, la radio ou la télévision n’expliquera la descente aux enfers où nous conduit le centralisme et le jacobinisme que la France a hérité autant de ses Rois que de sa Révolution.
J’aimerai tant vivre dans une France fière de sa diversité, et qui en prenne soin.
Un pays où chaque région, outre le français, pratiquerait sa langue, développerait sa culture, où certains jours fériés seraient spécifiques, où l’architecture, la gastronomie serait différente, où les règles d’urbanisme ne seraient pas les mêmes, où la diversité se verrait et enrichirait la France dans son ensemble.
Hélas, le rouleau compresseur est en marche, chaque jour les différences s’amenuisent. De toutes petites différences telles que l’usage du mot chocolatine qui est maintenant interdit d’affichage dans les magasins des chaines française de boulangerie en Occitanie. On court vers l’uniformité, on ne veut voir qu’une tête, on ne veut qu’un pays, qu’une langue, qu’une culture, qu’une histoire, qu’une architecture et qu’une gastronomie….à suivre…