Dernier cru de Sylvie !
Sylvie nous donne la première information: c’est du super Bordeaux …
Nous pouvons en déduire que ….

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Musiques en langues dites régionales dans les médias français
La chanteuse Anne Etchegoyen veut plus d’espace pour les musiques en langues dites régionales dans les médias français.Depuis de nombreux mois, Anne Etchegoyen remue ciel et terre pour défendre les artistes qui s’expriment dans leur langue régionale. La chanteuse basque a questionné sur cette situation la Ministre de la culture, le député Molac (le rapporteur de la loi éponyme en faveur des langues régionales), ou encore le président de la SACEM…
Le constat est simple : alors que la Loi Toubon de 1996 défend l’usage du français dans les médias, il n’existe aucun dispositif qui protège les œuvres en basque, occitan, corse, breton… sur les chaines de radio ou de télévision françaises.
Des quotas spécifiques en leur faveur dans les médias permettrait une meilleure connaissance des identités régionales, cela faciliterait aussi le quotidien des artistes qui font le choix de s’exprimer dans la langue de leur territoire.

Le 4 Mars Limoux a reçu et fêté les carnavals du monde . Un reportage Oeil Intégral de Carole Poullié .https://youtu.be/XaaWWDrLcCY
Rendez-vous à la salle d’animation de Mondonville à 20h30 pour le concert « La Vida » avec mon fidèle complice, Morgan Astruc. ![]()
Réservation conseillée ! ![]()
05.61.06.14.30 ou www.mondonville.fr
Plus d’informations sur mon site web : www.ericfraj.com
“ENSENHAR Professor.a” est un dispositif piloté par l’Office public de la langue occitane (OPLO), en collaboration avec les services de l’Éducation nationale, aux niveaux académiques et départementaux.
Il s’agit de former, sur une année scolaire, des enseignant.e.s capables d’enseigner l’occitan et en occitan.
Pour la rentrée 2023-2024, l’OPLO assumera l’intégralité du coût de la formation, la rémunération des professeur.e.s du 1er et du 2nd degré étant assurée par l’Éducation nationale et maintenue en totalité.
Tout.e enseignant.e du 1er degré peut prétendre enseigner la langue occitane. Au 2nd degré, une habilitation à enseigner en occitan peut être obtenue, soit pour enseigner l’occitan comme LVR, soit pour enseigner sa discipline en occitan s’il s’agit d’une DNL.
“ENSENHAR Professor.a” s’adresse aux enseignant.e.s titulaires qui sont en poste au sein de l’Éducation nationale (1er et 2nd degré) dans l’académie de Bordeaux, Limoges, Montpellier ou Toulouse.
A titre exceptionnel et sous réserve de possibilités de mutations dans l’académie concernée, le dispositif peut aussi s’adresser aux enseignant.e.s titulaires qui sont en disponibilité (non-rémunéré.e.s par l’Éducation nationale) ou qui bénéficient d’un congé formation hors académie de Bordeaux, Limoges, Montpellier ou Toulouse.
Afin de répondre aux questions des enseignant.e.s, l’OPLO propose un webinaire d’information le mercredi 8 mars 2023 de 16h30 à 18h00.
S’inscrire pour le webinaire du 08/03 à 16h30
“ENSENHAR Professor.a” est un dispositif piloté par l’Office public de la langue occitane (OPLO), en collaboration avec les services de l’Éducation nationale, aux niveaux académiques et départementaux.
Il s’agit de former, sur une année scolaire, des enseignant.e.s capables d’enseigner l’occitan et en occitan.
Pour la rentrée 2023-2024, l’OPLO assumera l’intégralité du coût de la formation, la rémunération des professeur.e.s du 1er et du 2nd degré étant assurée par l’Éducation nationale et maintenue en totalité.
Tout.e enseignant.e du 1er degré peut prétendre enseigner la langue occitane. Au 2nd degré, une habilitation à enseigner en occitan peut être obtenue, soit pour enseigner l’occitan comme LVR, soit pour enseigner sa discipline en occitan s’il s’agit d’une DNL.
“ENSENHAR Professor.a” s’adresse aux enseignant.e.s titulaires qui sont en poste au sein de l’Éducation nationale (1er et 2nd degré) dans l’académie de Bordeaux, Limoges, Montpellier ou Toulouse.
A titre exceptionnel et sous réserve de possibilités de mutations dans l’académie concernée, le dispositif peut aussi s’adresser aux enseignant.e.s titulaires qui sont en disponibilité (non-rémunéré.e.s par l’Éducation nationale) ou qui bénéficient d’un congé formation hors académie de Bordeaux, Limoges, Montpellier ou Toulouse.
Afin de répondre aux questions des enseignant.e.s, l’OPLO propose un webinaire d’information le mercredi 8 mars 2023 de 16h30 à 18h00.
S’inscrire pour le webinaire du 08/03 à 16h30
C’est un jour historique pour la conservation et le signe que dans un monde divisé, la protection de la nature et des personnes peut triompher sur la géopolitique », a déclaré Laura Meller, de Greenpeace sur Twitter.
Après deux semaines d’intenses discussions, dont une session marathon dans la nuit de vendredi à samedi, les délégués ont finalisé un texte qui ne peut désormais plus être modifié de manière significative. « Il n’y aura pas de réouverture ni de discussions de fond » sur ce dossier, a affirmé Rena Lee aux négociateurs. Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a félicité les délégués, selon un porte-parole qui a qualifié cet accord de « victoire pour le multilatéralisme et pour les efforts mondiaux visant à contrer les tendances destructrices qui menacent la santé des océans, aujourd’hui et pour les générations à venir ».
La haute mer commence où s’arrêtent les zones économiques exclusives (ZEE) des Etats, à maximum 200 milles nautiques (370 kilomètres) des côtes, et n’est donc sous la juridiction d’aucun Etat. Même si elle représente plus de 60 % des océans et près de la moitié de la planète, elle a longtemps été ignorée dans le combat environnemental, au profit des zones côtières et de quelques espèces emblématiques. Avec les progrès de la science, la preuve a été faite de l’importance de protéger tout entier ces océans foisonnant d’une biodiversité souvent microscopique, qui fournissent aussi la moitié de l’oxygène que nous respirons et limitent le réchauffement climatique en absorbant une partie importante du CO2 émis par les activités humaines. Or, les océans s’affaiblissent, victimes de ces émissions (réchauffement, acidification de l’eau…), des pollutions en tout genre et de la surpêche.
Lorsqu’il entrera en vigueur après avoir été formellement adopté, signé puis ratifié par suffisamment de pays, le traité permettra de créer des aires marines protégées dans ces eaux internationales. Les zones de haute mer protégées peuvent jouer un rôle essentiel pour renforcer la résilience face aux effets du changement climatique », a déclaré Liz Karan, de l’ONG Pew Charitable Trusts, qui a qualifié cet accord de « réalisation capitale ». Ces nouvelles zones protégées, établies dans le traité, imposeront des limites à la quantité de pêche pouvant avoir lieu, aux itinéraires des voies de navigation et aux activités d’exploration telles que l’exploitation minière en haute mer – lorsque les minéraux sont extraits d’un fond marin à 200 m ou plus sous la surface.
En outre, le traité sur « la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale » introduit également l’obligation de réaliser des études d’impact sur l’environnement des activités envisagées en haute mer. ( Info / L’EXPRESS )
L’invité du « Café Littéraire » Patrick LASSEUBE présentera son dernier ouvrage « Paul Hélie Périgord, apôtre de Paix »
LUNDI 6 MARS 14H30 Salle de conférence à l’ESCALYS (MJC CS av Fr Mitterrand) à Saint-Lys. 06.86.89.23.61
EAJ-PNB partage l’objectif de ce système : permettre aux demandeurs de location à l’année de retrouver des logements durables, en ramenant des locations touristiques lucratives vers la location à l’année et en incitant les nouveaux propriétaires bailleurs à proposer directement de la location à l’année. Le système de compensation est dissuasif pour la location de courte durée, parce qu’il oblige le propriétaire concerné à compenser cette location par un autre logement, loué à l’année.
Ce dispositif est à compléter pour inciter les propriétaires à louer à nouveau à l’année, en répondant à leur crainte d’impayés des loyers, avec un avantage fiscal à louer à l’année.
EAJ-PNB propose une mesure d’accompagnement des propriétaires, pour éviter la vente des logements concernés par « ce système de compensation », à un niveau de prix qui resteraient toujours inaccessibles pour les habitants du territoire. Cette mesure doit permettre de résoudre la principale crainte des propriétaires : les problèmes d’impayé des loyers. EAJ-PNB propose donc de mettre en place un système de caution universelle des loyers pour les propriétaires, garanti par les pouvoirs publics locaux, départementaux et régionaux.
EAJ-PNB propose également une révision de la fiscalité favorable à la location à l’année et non à celle de courte durée, comme c’est le cas actuellement.
D’autres mesures nécessaires pour éviter la fuite de logements
EAJ-PNB propose d’autres mesures pour agir globalement contre la fuite des logements destinés aux habitants de ce territoire. Les résidences principales vendues et transformées en résidences secondaires ou les logements d’accession sociale à la propriété vendues dans le marché privé.
Le projet d’EAJ-PNB : innover pour se loger
EAJ-PNB met à disposition son projet global : « Innover pour se loger », issu de mois de réflexion participative et qui définit une stratégie d’ensemble pour permettre à la population qui habite et souhaite habiter au Pays Basque, à l’année, d’accéder à des logements dignes.
L’Occitanie est présente au Salon International de l’Agriculture du 25 février au 5 mars 2023 à Paris dans le hall 3, hall dédié aux régions. L’Occitanie y dispose du plus grand espace !
A Paris, plaquez tout et foncez au stade d’Occitanie pour rencontrer les 125 producteurs locaux, ambassadeurs de nos terroirs et savoir-faire qui, chaque jour, donnent le meilleur d’eux-mêmes pour défendre une certaine idée du bien produire et du bien manger.
Venez à leur rencontre pour découvrir « l’histoire derrière le produit » et déguster le meilleur de l’agriculture régionale ( voir la liste des exposants présents ).
En savoir plus