Catégorie : Bastir Occitanie

– Moldavie – Maia Sandu obtient plus de 50 % des voix

Le Parti action et solidarité de la présidente Maia Sandu obtient plus de 50 % des voix après le dépouillement de 99 % des bulletins de vote, ce qui lui octroie 55 sièges sur 101 au Parlement moldave. La coalition d’opposition, le Bloc patriotique, a appelé à manifester lundi pour contester les résultats en cas de « fraudes ».

Retrouvez cet article ici : https://lemde.fr/4gM72EF

Photo 1, 2, 3 : DANIEL MIHAILESCU / AFP

Photo 4 : Ramil Sitdikov/REUTERS

Photo 5 : Vadim Ghirda / AP

Des invités de prestige pour défendre les musiques en langues régionales

Rendre visible l’invisible

La plupart des participants se connaissaient, de près ou de loin (lire par ailleurs), mais n’avaient jamais collaboré tous ensemble : « On a eu l’idée l’an dernier lors des Francofolies de La Rochelle, situe Patxi Garat. On était avec Anne, Francine (Massiani, chanteuse corse) et d’autres. On se disait que ce serait pas mal de monter un projet multilangues régionales, ça n’avait jamais été fait. On réfléchissait aussi à ce qu’il y ait une unité au niveau de la musique. Il n’y a qu’un seul groupe qui joue et accompagne tout le monde. »

L’ambition n’est pas qu’artistique. Elle est aussi politique. « Kcanta est né du constat d’une invisibilité des langues régionales à la radio et dans les médias nationaux. On souffre de Parisianisme. Quand on voit que l’album ‘Mezu Mezu’ de Patrick Fiori fait 300 000 ventes et qu’il n’est pas sur la playlist de France Bleu, il y a un problème », cingle Anne Etchegoyen. Sur les ondes, les quotas obligatoires de chansons françaises englobent celles en langues régionales, qui s’y retrouvent noyées. « On voudrait la création d’un sous-quota pour les langues régionales », exhorte la native de Saint-Palais, qui demande également l’avènement d’un prix spécial dédié aux musiques en langues régionales, décerné par la Sacem.ffre de Parisianisme. Quand on voit que l’album ‘Mezu Mezu’ de Patrick Fiori fait 300 000 ventes et qu’il n’est pas sur la

« Malheur à celui par qui le scandale arrive »

Je n’ai jamais trop compris : « Malheur à celui par qui le scandale arrive ». S’agit-il de celui qui crée le scandale ou celui qui le rapporte?

Dans le premier cas, il s’agirait des dirigeants du Parti Socialiste siégeant au Conseil Départemental de l’Aude, dans le deuxième il s’agirait de Jean-Pierre Laval dirigeant de « Païs Nostre ». Je le dis, tout de suite, j’aurais plus confiance en mon ami, sincère militant depuis des lustres de la cause occitane qu’en quelques élus d’un Parti – qui passe pour un Parti d’élus – et qui bientôt n’en aura plus du tout, il n’est qu’à voir que sur 3 députés de ce département tant étreint dans leurs bras, il n’en reste que 3 mais du « Rassemblement National », ce qui ne semble pas être une preuve d’efficacité ou de satisfactions de leurs électeurs de jadis.

Jean-Pierre LAVAL, un militant occitan de la première heure

Une autre expression est  » on ne tire pas sur les ambulances « , je me garderai donc d’insister.

La politique m’importe peu et cela de plus en plus, entrons donc dans le vif du sujet. Du sujet de l’image de l’Occitanie pas des dirigeants du Conseil Départemental, bien entendu, – car, il n’y a de ma part, nul attentat à l’arme blanche contre ces personnes, victimes, il me semble, d’une très mauvaise appréciation, – quoique maints faits divers de « terrorisme islamique » se produise chaque jour mais je ne suivrai pas cette tendance à la mode française-.

Après avoir, -je crois que c’est à Eric Andrieu que l’on doit l’appellation, (membre éminent du Conseil Général à l’époque)-, utilisé le « Pays cathare  » depuis plus de quarante ans peut-être, développé cette marque, encouragé des études historiques avec le Centre d’Etudes Cathares créé par René Nelli en 1981 et largement soutenu par le Conseil Général d’alors. Après avoir donc participé à la renaissance de la Mémoire Occitane voici aujourd’hui que le Conseil Départemental pratique ce que l’on doit définir comme du « révisionnisme » en oubliant les souffrances, la civilisation avancée de l’aire occitane étouffée par la barbarie du Roi, du Pape et des barons français, en s’agenouillant – faute de nouveaux projets ou de volonté de maintenir l’ancien – devant le fait du Roi, en quelque sorte.

La première fois que j’ai entendu vraiment parler d’Occitanie, de cathares (en fait c’étaient les « Bons Chrétiens ») c’était en 1966 : l’émission « La Caméra explore le temps  » en 2 épisodes  » Les Cathares » réalisé par Stellio Lorenzi : j’avais 11 ans , c’est là, en 1966 que beaucoup d’adultes aussi se découvrirent occitans et héritiers d’une histoire.

Or, cette histoire est aujourd’hui « révisée », on veut y glorifier à la place, les orgueilleuses bâtisses, construites 50 ans après le bûcher de Montségur – ligne de défense du Royaume de France contre celui d’Aragon – afin d’écraser la Mémoire des martyrs et combattants.

Les souffrances du Midi – Midi certes divisé à l’époque en fiefs féodaux – Mr David Maso, l’archéologue au service du  » Patrimoine mondial » n’amène dans le numéro de « L’Indépendant » qu’une série d’arguments spécieux qui me paraissent indignes d ‘une pensée scientifique – du moins tel que le journal de ce jour (23 :09 :2025) les présentent :

  • « Les occitans n’étaient pas tous cathares et les cathares n’étaient pas tous occitans » quelle banalité ! Quand on a lu « L’épopée cathare » (en plusieurs tomes), « La religion cathare  » de Michel Roquebert, ou les très nombreux livres d’Anne Brenon qui resituent la civilisation de notre Sud avec notamment le rôle des femmes, la participation politique de la bourgeoisie, l’éclosion artistique, on le sait depuis belle lurette! Les origines supposés du catharisme et l’extension géographique des « hérésies » diverses, leur antagonisme avec un clergé catholique corrompu...
  • « Les exactions avérées envers les populations du Midi, ont également concerné des gens qui n’étaient pas cathares » : eh oui, Mr l’archéologue ! Des gens d’ici! Des catholiques aussi, qu’on se souvienne du massacre de Béziers :  » Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens ! » ; que cette parole ait été prononcée ou pas n’a guère d’importance, la répression de l’Inquisition et des barons français a été féroce . Qu’on pense également aux dominicains faisant déterrer les cadavres de suspects d’hérésie pour les brûler pour les « rayer du livre de la vie ». Et cette scène d’un père étant obligé de pendre son fils! Cela change-t-il quelque chose à la guerre de conquête, aux procédés de l’Inquisition que des non-cathares aient fait aussi l’objet de tortures abjectes! Dîtes-moi, Mr l’archéologue ?
  • « Les sites étaient probablement peuplés de réfugiés pendant ces conflits mais pas uniquement de cathares. » Mais, Mr l’archéologue, les occitans ne se réclament pas de la religion cathare aujourd’hui ! Et comment séparer dans les malheurs ces « réfugiés » selon leur religion ? Et la Croisade a duré et ils ont enduré! (je ne parle pas de l’ »endura » en fin de vie, Mr l’archéologue) Ces gens étaient parfois nos ancêtres, parfois les gens qui vivaient alors dans notre espace de vie; ils auraient souhaité meilleure vie, voire parfois une autre fin.
  • « Au XIIIème siècle, les gens ne s’identifient pas en tant qu’Occitans ou Français,… » Merci, Mr l’archéologue d’enfoncer brillamment une porte ouverte ! On le sait, il y a néanmoins un système de suzerainetés, de vassalités,; il reste cependant que -de mémoire, je crois que c’est un Comte de Toulouse – qui parlant de nos combattants dit :  » Ceux de notre langue »…Je pense que si l’on regarde les mémoires de l’Inquisition il doit bien être question de traducteurs, on ne parle pas la langue d’oil au Sud.
  • Et donnant dans le cynisme le plus accablant, Mr l’archéologue, conclut – au moins dans le journal L’Indépendant – :  » De plus, les cathares n’ont laissé aucune trace ou influence sur ces forteresses, leur conception religieuse de rejet de tout ce qui est matériel au profit du spirituel fait que les seuls écrits les concernant sont ceux de leurs ennemis ». Evidemment, rien sur ces forteresses « royales » sinon des cendres en dessous! Mr l’archéologue, en outre, ne fait pas dans les détails : il y a des chroniques de troubadours si ma mémoire ne défaille. En outre, les féodaux occitans devenus souvent « faydits » (un peu comme furent spoliés les nobles comme l’histoire de Robin des Bois dans la Grande-Bretagne) se battaient, en général pas mal, sauf à la bataille de Muret qui scella notre sort. Je pense aussi me souvenir que des boulets et différentes traces historiques ont été trouvées à Montségur…

Si le Conseil Départemental a agi en politique perdu dans la tourmente des défaites électorales, sans projet; j’ai l’impression que Mr l’archéologue a travaillé sur une bien mauvaise idée qu’il serait avisé de biffer rapidement.

Je dis cela et je ne dis rien, habitué comme beaucoup à être très souvent déçu des décisions…des décisionnaires.

Dernière minute : Je suis un peu surpris que Mr l’archéologue David Maso qui semble avoir fait un travail très intéressant sur le castrum (village fortifié) de Fenouillet. Je suis surpris de son attitude sur cette étude pour l’UNESCO.

Michel SIDOBRE

Poète : https://sidobrepoete.e-monsite.com/

Acteur : https://sidobremichel1.e-monsite.com/

– Catalogne – Oui au Pays Catalan : pour une consultation immédiate sur le nom du département

Oui au Pays Catalan : pour une consultation immédiate sur le nom du département

En janvier 2024, la présidente du Département, Hermeline Malherbe (PS), annonçait en grande pompe une consultation citoyenne sur un possible changement de nom des Pyrénées-Orientales. Le 15 janvier 2024, lors de ses vœux à la presse à la Maison de la Catalanité, elle déclarait qu’« il nous faut un nom qui donne davantage écho à notre identité, notre catalanité ». Elle promettait la mise en place d’un groupe de travail et l’implication directe des habitants, pour « mieux identifier le département » et « mieux s’ouvrir aux autres ».

Un an plus tard, le 13 janvier 2025, Hermeline Malherbe réitérait cette promesse, affirmant que le dialogue citoyen serait lancé au second semestre 2025, avec un questionnaire adressé à la population avant une éventuelle saisine du gouvernement et du Conseil d’État.

Or, malgré ces annonces répétées, rien n’a été fait. Nous ne connaissons toujours pas les conclusions du groupe de travail annoncé, et la consultation citoyenne promise tarde à voir le jour.

Oui au Pays Catalan, exige que cette consultation qui correspond à une attente forte et légitime ait lieu sans délai. Une majorité des habitants du département souhaite que notre territoire retrouve un nom en accord avec son identité et sa catalanité. Nous ne voulons pas d’excuses de la majorité départementale pour reporter cette consultation en 2026 ou 2027 sous prétexte d’élections municipales, présidentielles ou éventuellement législatives anticipées.

Le Pays Catalan ne peut plus être l’otage de promesses politiques non tenues. Nous appelons la présidente et sa majorité d’Union de la gauche à respecter ses engagements et à donner enfin la parole aux habitants.

« Alors qu’un sondage IFOP de juillet 2025 confirme que la population catalane souhaite une reconnaissance accrue de sa singularité, qu’est-ce qui vous retient, Mme Malherbe ? »

Le saviez-vous ? La Provence possédait sa propre constitution jusqu’à la Révolution française.

Après plus de six siècles d’indépendance, le 15 janvier 1482, les États de Provence approuvèrent un document en 53 articles, souvent improprement appelé « constitution provençale », qui proclama l’union de la Provence à la France « comme un principal à un autre principal (…) sans que à la couronne [de France] comté et pays de Provence ne soient subalternez ».

L’image d’illustration est la page de couverture d’un recueil contenant l’édit de 1501 par Louis XII concernant la création du Parlement d’Aix et intitulé « Sensuivent les constitutions royalles et prouvensalles faictes et ordonnees par le roy en la rection de la court souveraine de Provence… ».

Nous mettons le lien dans les commentaires vers ce trésor conservé à la bibliothèque Méjanes à Aix qui est suivi par un traité en langue latine de la procédure devant la cour des maîtres rationaux rédigé par Barthélémi Rolin, jurisconsulte et assesseur d’Aix.

Autre trésor d’archive que nous vous proposons également en lien dans les commentaires, le « Droit constitutif du pays de Provence ».

Rédigé en 1788, ce document nous livre l’essentiel des textes constitutionnels du Comté de Provence, de l’empire romain à la fin du 18e siècle, et démontre qu’un droit spécifiquement provençal s’était affirmé au cours des siècles.

#Prouvènço#Provence#PACA#RegionSud#France#Politique#Histoire

Le saviez-vous ? La Provence possédait sa propre constitution jusqu’à la Révolution française.

Après plus de six siècles d’indépendance, le 15 janvier 1482, les États de Provence approuvèrent un document en 53 articles, souvent improprement appelé « constitution provençale », qui proclama l’union de la Provence à la France « comme un principal à un autre principal (…) sans que à la couronne [de France] comté et pays de Provence ne soient subalternez ».

L’image d’illustration est la page de couverture d’un recueil contenant l’édit de 1501 par Louis XII concernant la création du Parlement d’Aix et intitulé « Sensuivent les constitutions royalles et prouvensalles faictes et ordonnees par le roy en la rection de la court souveraine de Provence… ».

Nous mettons le lien dans les commentaires vers ce trésor conservé à la bibliothèque Méjanes à Aix qui est suivi par un traité en langue latine de la procédure devant la cour des maîtres rationaux rédigé par Barthélémi Rolin, jurisconsulte et assesseur d’Aix.

Autre trésor d’archive que nous vous proposons également en lien dans les commentaires, le « Droit constitutif du pays de Provence ».

Rédigé en 1788, ce document nous livre l’essentiel des textes constitutionnels du Comté de Provence, de l’empire romain à la fin du 18e siècle, et démontre qu’un droit spécifiquement provençal s’était affirmé au cours des siècles.

#Prouvènço#Provence#PACA#RegionSud#France#Politique#Histoire

LA PROUVÈNÇO ES UNO NACIOUN

LA PROUVÈNÇO LA CATALOGNE ET L’EUSKADI SONT TROIS NATIONS SANS ÉTAT DE L’ESPACE FRANÇAIS.

LA PROUVÈNÇO ES UNO NACIOUN SÈNS ESTAT D’EUROPO À CHIVAU ENTRO DOUS ESTAT LA FRANCO E L’ITALI

Un bellu cummentu trovu nantu u prufilu di i nostr’amichi Esteve Prouvènço chì ghj hè daveru interessante :

Prouvènço Nacioun est très fier que la Provence soit cosmopolite depuis son origine. La capitale PROVENCALE a été créé entre l’union d’un grec avec une fille du pays. La PROUVENCO fait partie des nations sans état d »Europe à cheval entre 2 États la France et l’Italie. Elle a une histoire aussi importante que la Catalogne la Corse l’Ecosse le Pays Basque.la Bretagne, l’Alsace, la Savoie, Etc…

L’histoire de la PROVENCE son état de de dépendance économique, son art de vivre et sa langue menacée en sont la preuve. La Provence est une colonie de la France et ne doit pas le rester.

Il faut savoir que la PROVENCE a été plus longtemps indépendante que française. SOn annexion par la France dans les années 1486 a été le fruit d’une manipulation du parlement de PROVENCE et s’il est écrit dans les textes que la PROVENCE s’est unie à la France comme principal à un autre principal. Cette clause n’à jamais été respectée. LA PROVENCE a été en réalité assujetti à la France comme une véritable colonie que 200 ans de la perte du statut d’autonomie n’ont toujours pas réussi à assimiler.

Ces annexions ou plutôt ces occupations militaires n’ont apporté aux populations que guerres, pillages économiques et pertes d’identité culturelle. L’école française certes nous a appris à lire et à compter mais elle ne nous a jamais enseigne notre histoire et notre langue. Depuis ces annexions, les provençaux se sont souvent révolté comme par exemple en 1851 pour protester contre le coup d’étatde Napoléon 3.

L’étude de l’histoire de la PROVENCE nous incite à lever l’étendard de la liberté face à une France qui nous a occupé militairement qui nous a exploité économiquement , qui nous a ôté la liberté de croire et de penser.

MISTRAL l’a exprimé avec force : »Toun istori te l »an countado d’a rebous « (ton histoire, ils te l’ont raconte à l’envers ).Nous devons exiger dans nos écoles et nos universités qu’on enseigne l’histoire de tous ceux qui ont donné leur temps et souvent leur vie pour que vivent les libertés Provencales.

Le fédéralisme doit s’imposer.

Une instabilité politique devenue chronique à la tête de l’Etat

EAJ-PNB suit cette situation politique qui impacte les ménages et les entreprises du Pays Basque nord. EAJ-PNB s’inquiète du creusement des déficits et de l’endettement de l’Etat central. La France a besoin de stabilité afin de rassurer les marchés et modérer les taux d’intérêts de la dette étatique. La situation actuelle cumule tension sur les emprunts et instabilité politique. Cette situation est causée par l’irresponsabilité des dirigeants politiques et leur formation politique respectives, depuis des décennies.

EAJ-PNB rappelle que la dette de l’Etat français représente 114% de la richesse nationale annuelle. Celle du Gouvernement basque n’y atteint pas 15%, alors qu’il a la responsabilité de grands services étatiques, exceptés l’Armée.

Le fédéralisme doit s’imposer

EAJ-PNB défend la nécessité d’une réforme profonde de l’Etat central qui donne un cap clair, prometteur et crédible. Celui d’un Etat fédéral pour gagner durablement en efficacité budgétaire et de fonctionnement. L’usine à gaz actuelle, du « tout le monde fait tout », aggravée par une inflation normative, doit cesser.  A l’Etat central, les ministères sécuritaires : Justice, Armée, Affaires Etrangères, … Aux Régions, la capacité de mener un projet de territoire global : développement économique durable, aménagement, logement, Education et formation professionnelle, santé, culture, …

71% des Français seraient favorables à cet Etat fédéral, selon un sondage de l’IFOP. L’OCDE évalue à près de 90 milliards d’euros, les économies réalisables dans ce scénario. L’Etat français doit apprendre à faire confiance aux régions, aux entrepreneurs et aux citoyens.

Il n’a pu convaincre une majorité de députés sur la pertinence du budget 2026.

Une instabilité politique devenue chronique à la tête de l’Etat

EAJ-PNB suit cette situation politique qui impacte les ménages et les entreprises du Pays Basque nord. EAJ-PNB s’inquiète du creusement des déficits et de l’endettement de l’Etat central. La France a besoin de stabilité afin de rassurer les marchés et modérer les taux d’intérêts de la dette étatique. La situation actuelle cumule tension sur les emprunts et instabilité politique. Cette situation est causée par l’irresponsabilité des dirigeants politiques et leur formation politique respectives, depuis des décennies.

EAJ-PNB rappelle que la dette de l’Etat français représente 114% de la richesse nationale annuelle. Celle du Gouvernement basque n’y atteint pas 15%, alors qu’il a la responsabilité de grands services étatiques, exceptés l’Armée.

Le fédéralisme doit s’imposer

EAJ-PNB défend la nécessité d’une réforme profonde de l’Etat central qui donne un cap clair, prometteur et crédible. Celui d’un Etat fédéral pour gagner durablement en efficacité budgétaire et de fonctionnement. L’usine à gaz actuelle, du « tout le monde fait tout », aggravée par une inflation normative, doit cesser.  A l’Etat central, les ministères sécuritaires : Justice, Armée, Affaires Etrangères, … Aux Régions, la capacité de mener un projet de territoire global : développement économique durable, aménagement, logement, Education et formation professionnelle, santé, culture, …

71% des Français seraient favorables à cet Etat fédéral, selon un sondage de l’IFOP. L’OCDE évalue à près de 90 milliards d’euros, les économies réalisables dans ce scénario. L’Etat français doit apprendre à faire confiance aux régions, aux entrepreneurs et aux citoyens.

– 11 – Non aux forteresses royales !!!

Non aux forteresses royales le 19 septembre à l’Ostal Occitan Narbonés

Publié le 6 septembre 2025 par Joan Pèire LAVAL — Laissez une réponse

La conférence sur « Aliénor et son Moyen-Age », aura lieu à l’Ostal Occitan narbonnais à 18 h 30, ce mercredi.

.Vendredi 19 septembre à 18 H 30 reunion publique » Oui à l’Unesco , Non aux forteresses royales » à l’Ostal Occitan Narbonés , 31 , rue Jean Jaurés , à l’initiative de Paîs Nòstre .

#paisnostre

𝑙𝑒 𝑅𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑎̀ 𝑙’𝑒́𝑝𝑟𝑒𝑢𝑣𝑒 𝑑𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 »

Vous avez sans doute entendu parler il y a quelques jours d’un sondage IFOP intitulé « 𝑙𝑒 𝑅𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑎̀ 𝑙’𝑒́𝑝𝑟𝑒𝑢𝑣𝑒 𝑑𝑢 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 »

=> https://www.ifop.com/…/decentralisation-identite…/

J’ai pris connaissance avec beaucoup d’intérêt de l’analyse de ce sondage, qui conforte aujourd’hui une conviction que je porte depuis très longtemps.

Les Français estiment donc que le système centralisé à la Française n’est plus la solution pour répondre aux défis actuels et à venir. 𝑳’𝒂𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒑𝒖𝒃𝒍𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒐𝒊𝒕 𝒔’𝒂𝒅𝒂𝒑𝒕𝒆𝒓 𝒂𝒖𝒙 𝒕𝒆𝒓𝒓𝒊𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒏𝒐𝒏 𝒍’𝒊𝒏𝒗𝒆𝒓𝒔𝒆

Je vous propose de retrouver mon communiqué