Catégorie : Actualités

EH Bai est à Saint-Jean-de-Luz.

𝗙𝗔𝗖𝗘 𝗔̀ 𝗟’𝗘𝗫𝗧𝗥𝗘̂𝗠𝗘 𝗗𝗥𝗢𝗜𝗧𝗘, 𝗛𝗔𝗥𝗥𝗘𝗦𝗜𝗔 𝗚𝗔𝗥𝗔! 🌈

Azaroak 14 honetan 300 pertsona Donibane Lohitzunen bildu dira EHBaik deituta, gure lurraldean instalatzen entseatzen den eskuin muturraren aitzinean harresia garela erakusteko!

Aldarrikapen giroan, hainbat hitz hartze zein itxaropenerako musika entzun dira bata bestearen atzetik. Publikoak kolore ezberdinetako banderak astindu ditu, Negu Gorriaken “Kolore Biziak” kantuan oroitarazten den bezala arrazismoaren, faxismoaren eta eskuin muturraren aitzinean, herria da itxaropena.

Gora Euskal Herria antifaxista! Gora Euskal Herria askatuta!

Ce vendredi 14 novembre, 300 personnes se sont réunies à Donibane Lohizune à l’appel d’EHBai pour montrer que face à l’extrême droite qui essaie de s’installer dans notre territoire, nous sommes le rempart.

Dans une ambiance conviviale et revendicative, plusieurs prises de paroles et musiques porteuses d’espoir se sont enchainées. Le public brandissait des drapeaux de différentes couleurs, pour rappeler comme Negu Gorriak dans sa chanson « Kolore Bizia » que, face au racisme, au fascisme et à l’extrême droite, le peuple est l’espoir.

Gora Euskal Herria antifaxista! Gora Euskal Herria askatuta!

𝗙𝗔𝗖𝗘 𝗔̀ 𝗟’𝗘𝗫𝗧𝗥𝗘̂𝗠𝗘 𝗗𝗥𝗢𝗜𝗧𝗘, 𝗛𝗔𝗥𝗥𝗘𝗦𝗜𝗔 𝗚𝗔𝗥𝗔! 🌈

Ce 14 novembre, 300 personnes se sont rassemblées à San Juan de Luz convoquées par EHBai pour montrer que nous sommes un mur devant l’extrême droite qui se répète sur notre territoire !

Dans un climat de revendication, plusieurs mots et d’espoir ont écouté de la musique d’espoir maintes fois. Le public a secoué les drapeaux de couleurs différentes, comme le rappelle la chanson « Kolore Biziak » de Negu Gorriak face au racisme, au fascisme et à l’extrême droite, le peuple est l’espoir.

Vive le peuple antifasciste ! Vive Euskal Herria libre !

Ce vendredi 14 novembre, 300 personnes se sont réunies à Donibane Lohizune à l’appel d’EHBai pour montrer que face à l’extrême droite qui essaie de s’installer dans notre territoire, nous sommes le rempart.

Dans une ambiance conviviale et revendicative, plusieurs prises de paroles et musiques porteuses d’espoir se sont enchainées. Le public brandissait des drapeaux de différentes couleurs, pour rappeler comme Negu Gorriak dans sa chanson « Kolore Bizia » que, face au racisme, au fascisme et à l’extrême droite, le peuple est l’espoir.

Vive le peuple antifasciste ! Vive Euskal Herria libre !

– 34 – AVEC LE SYNDICAT DES  VIGNERONS LE 15 NOVEMBRE A BEZIERS !

PAIS NÒSTRE / BASTIR 0CCITANIE AVEC LE SYNDICAT DES  VIGNERONS LE 15 NOVEMBRE A BEZIERS !

Samedi 15 novembre à 15 h , Allées Paul Riquet à Béziers , le Syndicat des vignerons organise une manifestation régionale pour la défense des revendications viticoles , pour vivre , travailler et décider au pays .  Pais Nòstre sera présent et appelle ses sympathisants à venir au rassemblement avec des drapeaux occitans .

         Volèm Viure, trabalhar e decidir al Païs !

LA LENGA D’ÒC

À toutes et tous celles et ceux qui disent avec affection que lorsque je parle occitan cela leur rappelle les mots de patois de leurs grands-parents :

la langue que parlait votre mamet, ou votre papet, était la noble langue d’òc qui couvre 34 départements du Sud de la France.

Celle qui chanta l’amour courtois des troubadours entre le IX ème et le XIII ème siècle dans la civilisation d’òc, qui rayonna dans toutes les cours d’Europe puis fut écrasée par la croisade contre les albigeois.

Permettez moi de vous expliquer que ces mots viennent de la langue des comtes de Toulouse, d’Aquitaine, de Navarre et de Provençe, celle du roi d’Aragon, de l’Académie des jeux Floraux (dont les statuts inspirèrent ceux de l’Académie Française quelques siècles plus tard).

Langue officielle jusqu’à ce que François Premier l’interdise dans les actes officiels, comme toutes les autres langues des terres rattachées à sa couronne, par peur de révoltes contre son pouvoir central.

Les États de langue d’oc ne purent plus l’employer et les élites apprirent donc la langue Françoise pour plaire au monarque.

Malgré ce, la langue d’òc resta majoritairement employée par les populations, au Sud de la Loire, du Limousin à la Côte d’Azur, sans faillir. Les papes d’Avignon s’en trouvaient fort aise, car sa proximité avec leur italien ou bas latin leur rendait la communication facile avec les provençaux de langue d’òc. Du grand schisme jusque sous la Révolution, en passant par là retirada des voisins espagnols, la langue d’òc témoigne de l’histoire de nos régions. Joan Petit l’utilisa pour mener la révolte des Croquants en Rouergue, Frédéric Mistral obtint un prix Nobel pour son entreprise de collectage lexicographique Lo Trésor du Félibrige qui classe le riche vocabulaire des variantes régionales de langue d’òc.

Enfin puisque nous sommes le 11 novembre, permettez- moi encore, d’attirer votre attention sur le fait que durant la 1 ère guerre mondiale, la langue d’òc fut encore et toujours parlée et écrite par les soldats du midi.

Utilisée dans les lettres des poilus pour témoigner des horreurs de la guerre auprès de leurs familles en passant sous les radars de la censure militaire. (Sources : les archives du Cirdoc et la très instructive pièce d’André Neyton, Le soldat O. à ce sujet).

Langue donc.

À la fois populaire et littéraire malgré son interdiction dans l’école de Jules Ferry, qui mit le mot patois en avant pour faire oublier les noms de leurs langues aux enfants de France en les punissant pour mieux les unir autour d’une langue commune unique, n’en tolérant aucune autre.

Ainsi naquit la diglossie et les parents s’autocensurèrent afin que leurs enfants ne souffrent pas.

« Interdit de cracher par terre et de parler patois » fut écrit dans toutes les salles de classes !

Si vous recherchez la définition de ce mot dans les dictionnaires des années 60/80, vous en trouverez une définition toute autre que le souvenir affectueux que vous inspire votre grand-mère…

Je ne doute point que vous apprécierez : « Patois : langue d’un peuple sans culture, ou dont le niveau de culture est inferieur à celui qui l’entoure. »

Un brin colonialiste et méprisant, vous en conviendrez.

Car je ne connais pas de « peuple sans culture », même ceux qui n’ont pas eu le niveau d’étude que certains associent à l’émancipation. Et je me hasarderai encore moins à lister de hiérarchie parmi les peuples…l’histoire nous a bien démontré où cela peut mener en terme de barbarie.

Malgré ces tentatives de domination et d’éradication,

La langue d’òc poursuit néanmoins sa voie de langue minorisée mais résistante et son enseignement fut à nouveau autorisé par la loi Deixone, dans les années 1950, grâce au militantisme de quelques érudits, de passionnés, des écrivains qui la prisaient et à l’ouverture d’esprit de quelques ministres éclairés.

Ainsi naquit la diglossie qui de nos jours fait que la langue d’òc est en danger de disparition, selon l’Unesco, car manquant de moyens publics pour son enseignement et sa socialisation. La réduction depuis les années 1995 de 20 à 3 ou 4 postes de professeurs par an depuis vingt ans n’aide pas à sa transmission. Les associations seules ne peuvent palier à cet état d’abandon.

D’autres états européens ont fait d’autres choix vis à vis de la diversité linguistique sur leurs territoires. Leur démocratie n’en est pas plus mal menée que la nôtre…

La république doit traiter tous ces citoyens comme égaux, tous payent des impôts.

Mais aujourd’hui encore, tous n’ont pas le même pouvoir de parole ni d’accès à la programmation culturelle.

Aujourd’hui encore 70% du budget national de la culture est dépensé à Paris et dans la région parisienne. Est-ce là que résident les 70% de la population du pays ?

Alors, oui, fai pas caud pour les amoureux de la diversité.

Veuillez excuser cette longue envolée matinale, mais …

Coma uèi fa un freg que pela, demòri a l’ostal de matin e ai lo temps d’escriure. Bona jornada.

Amistats

LA LENGA D’ÒC 🇰🇬

À toutes et tous celles et ceux qui disent avec affection que lorsque je parle occitan cela leur rappelle les mots de patois de leurs grands-parents :

la langue que parlait votre mamet, ou votre papet, était la noble langue d’òc qui couvre 34 départements du Sud de la France.

Celle qui chanta l’amour courtois des troubadours entre le IX ème et le XIII ème siècle dans la civilisation d’òc, qui rayonna dans toutes les cours d’Europe puis fut écrasée par la croisade contre les albigeois.

Permettez moi de vous expliquer que ces mots viennent de la langue des comtes de Toulouse, d’Aquitaine, de Navarre et de Provençe, celle du roi d’Aragon, de l’Académie des jeux Floraux (dont les statuts inspirèrent ceux de l’Académie Française quelques siècles plus tard).

Langue officielle jusqu’à ce que François Premier l’interdise dans les actes officiels, comme toutes les autres langues des terres rattachées à sa couronne, par peur de révoltes contre son pouvoir central.

Les États de langue d’oc ne purent plus l’employer et les élites apprirent donc la langue Françoise pour plaire au monarque.

Malgré ce, la langue d’òc resta majoritairement employée par les populations, au Sud de la Loire, du Limousin à la Côte d’Azur, sans faillir. Les papes d’Avignon s’en trouvaient fort aise, car sa proximité avec leur italien ou bas latin leur rendait la communication facile avec les provençaux de langue d’òc. Du grand schisme jusque sous la Révolution, en passant par là retirada des voisins espagnols, la langue d’òc témoigne de l’histoire de nos régions. Joan Petit l’utilisa pour mener la révolte des Croquants en Rouergue, Frédéric Mistral obtint un prix Nobel pour son entreprise de collectage lexicographique Lo Trésor du Félibrige qui classe le riche vocabulaire des variantes régionales de langue d’òc.

Enfin puisque nous sommes le 11 novembre, permettez- moi encore, d’attirer votre attention sur le fait que durant la 1 ère guerre mondiale, la langue d’òc fut encore et toujours parlée et écrite par les soldats du midi.

Utilisée dans les lettres des poilus pour témoigner des horreurs de la guerre auprès de leurs familles en passant sous les radars de la censure militaire. (Sources : les archives du Cirdoc et la très instructive pièce d’André Neyton, Le soldat O. à ce sujet).

Langue donc.

À la fois populaire et littéraire malgré son interdiction dans l’école de Jules Ferry, qui mit le mot patois en avant pour faire oublier les noms de leurs langues aux enfants de France en les punissant pour mieux les unir autour d’une langue commune unique, n’en tolérant aucune autre.

Ainsi naquit la diglossie et les parents s’autocensurèrent afin que leurs enfants ne souffrent pas.

« Interdit de cracher par terre et de parler patois » fut écrit dans toutes les salles de classes !

Si vous recherchez la définition de ce mot dans les dictionnaires des années 60/80, vous en trouverez une définition toute autre que le souvenir affectueux que vous inspire votre grand-mère…

Je ne doute point que vous apprécierez : « Patois : langue d’un peuple sans culture, ou dont le niveau de culture est inferieur à celui qui l’entoure. »

Un brin colonialiste et méprisant, vous en conviendrez.

Car je ne connais pas de « peuple sans culture », même ceux qui n’ont pas eu le niveau d’étude que certains associent à l’émancipation. Et je me hasarderai encore moins à lister de hiérarchie parmi les peuples…l’histoire nous a bien démontré où cela peut mener en terme de barbarie.

Malgré ces tentatives de domination et d’éradication,

La langue d’òc poursuit néanmoins sa voie de langue minorisée mais résistante et son enseignement fut à nouveau autorisé par la loi Deixone, dans les années 1950, grâce au militantisme de quelques érudits, de passionnés, des écrivains qui la prisaient et à l’ouverture d’esprit de quelques ministres éclairés.

Ainsi naquit la diglossie qui de nos jours fait que la langue d’òc est en danger de disparition, selon l’Unesco, car manquant de moyens publics pour son enseignement et sa socialisation. La réduction depuis les années 1995 de 20 à 3 ou 4 postes de professeurs par an depuis vingt ans n’aide pas à sa transmission. Les associations seules ne peuvent palier à cet état d’abandon.

D’autres états européens ont fait d’autres choix vis à vis de la diversité linguistique sur leurs territoires. Leur démocratie n’en est pas plus mal menée que la nôtre…

La république doit traiter tous ces citoyens comme égaux, tous payent des impôts.

Mais aujourd’hui encore, tous n’ont pas le même pouvoir de parole ni d’accès à la programmation culturelle.

Aujourd’hui encore 70% du budget national de la culture est dépensé à Paris et dans la région parisienne. Est-ce là que résident les 70% de la population du pays ?

Alors, oui, fai pas caud pour les amoureux de la diversité.

Veuillez excuser cette longue envolée matinale, mais …

Coma uèi fa un freg que pela, demòri a l’ostal de matin e ai lo temps d’escriure. Bona jornada.

Amistats

Las cimes (Cimex lectularius) ?

Las cimes (Cimex lectularius)❓

Lou paure Rusquet, que parlabo toujours en lengo d’Oc se deguet tener à l’erbo quand parlabo à Madamo; …sa filho sièguet embarrado en Albi, dins un couvent per aprendre lou bel Iengage..

Un vespre qu’abio escarrat al dourmitôri.. Madamo Rusquet ne davalet afalenado (tout essoufflée) e demandet à véire la Supériouro..

– C’est vergognable : ma fille est pleine de simois!

– Madame, diguet la Supériouro.. roujo coumo’n gratto quioul, nous n’avons ici que le jardinier et il à 70 ans..

Calguet un brave moument per que… coumprenguesso que Mmo Rusquet abio trapat de CIMES dins lou lèit

✍ Revista Trencavel (1937) – Tèxt risolièr ont una dòna vòl francimandejar sens saber, daissa anar una frasa que genèra un comic maladrech

📷 Illustracion : Jardin de l’ancian convent Lo Barry, 46200 Mairona

– 11- Festival « Trèbes en Chansons »

Festival « Trèbes en Chansons » de L’Indépendant Carcassonne

Trois jours de concerts gratuits à la mairie pour célébrer la chanson française.

Le festival « Trèbes en Chansons » fait son grand retour pour sa 8e édition, offrant aux amateurs de musique une pause mélodique au cœur de l’automne, du 14 au 16 novembre. Cet événement, qui se déroulera salle des congrès à la mairie de Trèbes, est une occasion unique de découvrir des talents émergents tout en redécouvrant l’essence de la chanson française.

Un programme éclectique

Cette édition d’une grande richesse musicale et d’une programmation variée, saura séduire tous les goûts.

Les concerts à ne pas manquer :

– Laura Ferrisi et Philippe Munck en « Format A4 ». Ce duo propose un spectacle intimiste, où deux guitares, une flûte et deux voix s’unissent pour célébrer la tradition de la chanson française. Ce vendredi 14 novembre à 20 h 30.

– Fé et les Frisés. Ce groupe audacieux mélange swing, valse, reggae, funk et pop pour façonner un univers sonore singulier et entraînant. Fé, à la guitare et au looper, s’exprime avec une créativité débordante en chantant et en slammant. Leur spectacle est prévu pour ce samedi à 20 heures.

– Un air de Deux Airs, Clotilde et Éric. Ce duo dynamique promet un répertoire de chansons vitaminées. Clotilde, à l’accordéon et au chant, s’associe à Éric et ses multiples instruments pour offrir un spectacle plein d’énergie. Ce samedi, à 21 h 45.

– Tiou. ce chanteur charismatique et généreux, influencé par la pop culture et la chanson à texte, invite à un moment de tendresse mêlé d’humour noir. Ce dimanche à 17 heures.

Malheureusement, le spectacle de la chorale du collège Gaston-Bonheur a été annulé, mais promet de revenir dès l’année prochaine.

Philippe Munck, l’initiateur du projet, continue de diriger la programmation artistique aux côtés d’Odile Mitais, conseillère municipale en charge de la culture, et de Gisèle Jourda, sénatrice de l’Aude.

Selon Odile Mitais, « avec cette 8e édition, le festival est désormais solidement ancré dans les traditions de notre ville. Trèbes en chansons s’affirme comme le rendez-vous incontournable d’octobre. La salle des congrès, dont l’atmosphère semble de moins en moins intimiste, témoigne du succès grandissant de cet événement musical ».

Cette satisfaction est partagée par le maire Éric Menassi : « La culture est, plus que jamais, ce qui nous unit, et la musique en particulier ! L’entrée gratuite permet d’assurer l’accessibilité à tous. Un autre objectif clé est de promouvoir les artistes locaux en créant plus d’opportunités pour les chanteurs émergents ».

Photo : Philippe Munck et le maire, Eric Ménassi, une complicité de plus de 40 ans.

– 63 – Diversitat lingüistica e diversitat biologica vès Clarmont

Quò parlèt diversitat lingüistica e diversitat biologica vès Clarmont, dimars passat, per los Rencontres Tikographie ! Embei Bernat Giacomo, Cristian Omelhièr, Josiana, Toène, eca. Per los tornar escotar, qu’es per aicí : https://open.spotify.com/episode/4wLksdWOvlHkkVCiJz41eq…

[Fr] Ça a parlé diversité linguistique et diversité biologique à Clermont-Ferrand, mardi dernier, pour les Rencontres Tikographie ! Avec Bernard Giacomo, Christian Omelhier, Josiane, Antoine, etc. Pour les réécouter, c’est par ici : https://open.spotify.com/episode/4wLksdWOvlHkkVCiJz41eq…

#occitan#auvèrnha

Début d’un nouveau cycle de coopération transfrontalière

Aqueth 12 de noveme a Tolosa, lo Congrès que realizè un còp mei la traduccion simultanèa a l’escadença deu 43au Conselh Plenèr de la Comunautat de tribalh deus Pirenèus (CTP). Aquera reünion qu’amassa tot an los representants institucionaus deus sèt territòris de la CTP d’Espanha, de França e d’Andòrra.

Pendent la jornada, la region Occitània que passè la presidéncia de la CTP au governament de Navarra, mercant atau la debuta d’un cicle navèth de cooperacion transfrontalèra orientat sus tres èishs prioritaris : la joenessa, la santat e lo cambiament climatic.

[FR] Ce 12 novembre à Toulouse, le Congrès a de nouveau assuré la traduction simultanée lors du 43e Conseil Plénier de la Communauté de travail des Pyrénées (CTP). Cette réunion annuelle rassemble les représentants institutionnels des sept territoires de la CTP d’Espagne, de France et d’Andorre.

Au cours de cette journée, la région Occitanie a passé la présidence de la CTP au gouvernement de Navarre, marquant ainsi le début d’un nouveau cycle de coopération transfrontalière axé sur trois axes prioritaires : la jeunesse, la santé et le changement climatique.

La Région Occitanie / Pyrénées-MéditerranéeGobierno de Navarra / Nafarroako GobernuaGobierno de AragónGovern de CatalunyaEusko Jaurlaritza – Gobierno VascoRégion Nouvelle-AquitaineGovern d’Andorra