Catégorie : Informations Politiques

Temps d’échange sur le thème : « L’art au service de la langue et de la culture occitanes »

 Sarrant les 25 et 26 février : temps d’échange autour de la langue et de la culture occitanes

De 15h à 16h

Temps d’échange sur le thème : « L’art au service de la langue et de la culture occitanes »

animé par la médiatrice culturelle de la Micro-Folie, musée numérique du village.

Originaire d’Alsace et locutrice de son dialecte, elle a à coeur les problématiques de sauvegarde et de transmission des langues régionales. La journée internationale de la langue maternelle ayant eu lieu le mardi 21 février, elle souhaitait profiter de cette occasion pour aborder la question de la langue et de la culture occitanes. Il s’agira de discuter le rôle de l’art dans la survie et la promotion des langues dites minoritaires et de leur culture associée. 

Renseignements à l’adresse : micro-folie.sarrant@orange.fr

La chanteuse Anne Etchegoyen veut plus de titres en langues régionales sur les radios et télés nationales

La chanteuse basque Anne Etchegoyen veut plus de place pour les musiques en langues régionales : plus de visibilité, de diffusion sur les ondes des radios et des télés nationales pour les œuvres en basque, occitan, corse ou breton. Elle milite pour des quotas.

Plus de musique en langue basque, occitane, corse ou bretonne sur les ondes radios et télés partout en France, voilà ce que défend Anne Etchegoyen. La chanteuse basque milite carrément pour des quotas. Elle multiplie les rendez-vous en ce sens. Elle était ainsi reçue la semaine dernière au ministère de la Culture à Paris.ⓘ

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Invitée du 6-9 de France Bleu Pays Basque ce lundi matin, Anne Etchegoyen assure y croire tout en reconnaissant que c’est loin d’être gagné. Pour elle, le problème n’est pas que les musiques en langues régionales sont mal traitées, c’est qu’elles “sont peu traitées. Elles sont noyées dans le quota de musiques en langue française. C’est ce que dit le texte de l’Arcom (ex-CSA). Mais dans le texte, il n’est pas spécifié, quantifié précisément quel pourcentage serait dédié à ces musiques en langues régionales. Ca laisse un vide béant dans la règle et la première conséquence, c’est qu’il n’y en a pas de diffusées.”

“Paris est un passage incontournable”

“Si un artiste veut étoffer sa carrière, explique-t-elle encore, Paris est un passage incontournable. Il faut rentrer dans une radio nationale. Les œuvres en langue régionale séduisent”, assure-t-elle, prenant en exemple les albums Corsu Mezzu, soutenus lors de leur sortie par France Télévisions. Le premier opus est triple disque de platine.

La semaine dernière, Anne Etchegoyen a été reçue au ministère de la Culture. Le rendez-vous a été intéressant mais elle a senti un certain pessimisme. Elle se prend aussi à rêver de la création d’un Grand Prix de la SACEM (lSociété des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) et pourquoi pas d’une nouvelle catégorie aux Victoires de la musique.

Montségur 2023

Printemps, temps de renaissance, Montségur, source de nouvelles espérances.

En ces temps pour le moins troublés, l’image ineffaçable des bonshommes et bonnes femmes, debout dans leur foi, nous est une racine solide de notre conscience qui a toujours à se libérer des despotismes qui l’assaillent.

Pour cela, nous serons, fidèles à Montségur sur le Prat dels Cremats, le dimanche 19 mars à 11 heures pour un moment de mémoire, d’hommage, et de parole vivante.

Occitania e Libertat

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Montsegur annada 2023

Prima, temps de renaissença, Montsegur, font d’esperanças novèlas.

En aqueles tempses bravament trebolats, l’imatge inescafable dels Bonsòmes e de las Bonas Femnas, de pè dins lor fe, nos son una raiç solida de la consciéncia nòstra qu’a totjorn a se liberar dels despotismes que l’assautan.

Per aquò, serem, fidèls a Montsegur sul Prat dels Cremats, lo dimenge 19 de març a 11 oras per un moment de memòria, d’omenatge, e de paraula viva.

Les élus Renaissance de Loire-Atlantique militent activement pour faire disparaitre les drapeaux bretons.

Des élus Renaissance de Loire-Atlantique militent activement pour faire disparaitre les drapeaux bretons.

Entre LFI et le RN, ultra-jacobins, et maintenant, Renaissance qui devient anti-Breton, il ne reste plus beaucoup de partis sincèrement bienveillants avec la #Bretagne.

Par Manuel Magrez·Publié le 

Loire-Atlantique : cette lettre sur le drapeau breton qui rallume le débat sur la réunification

Au moment où Emmanuel Macron laisse entendre qu’il pourrait revenir sur le redécoupage des régions, la Loire-Atlantique vit une actualité intense au sujet de la réunification avec la Bretagne. Lettre envoyée aux maires du département, préparation d’une proposition de loi… En coulisses, les politiques et militants s’a

Temps de lecture 4 min

Car là est le véritable objet de la lettre estampillée de la curieuse « Association pour la Valorisation et le Soutien de la région des Pays de la Loire (ASVPL) » : faire disparaître le drapeau breton de toutes les mairies de Loire-Atlantique, car rattachées à la région des Pays-de-la-Loire. Pour l’ASVPL, « leur Gwen ha Du n’a vraiment rien à faire sur nos mairies. Ne pas le mettre, et surtout l’enlever, est un acte républicain que de très nombreux citoyens et électeurs attendent et salueront ».

D’abord adressé à la cinquantaine de mairies identifiées par le collectif comme arborant le drapeau breton sur leur façade, le courrier arrive petit à petit dans toutes les boîtes aux lettres des communes du département, et ne manque pas de faire réagir le « camp » d’en face, remonté par l’initiative.

Derrière le lobbying, des élus Renaissance

« Ces propos outranciers prêteraient à rire s’ils n’émanaient pas de cadres et de militants du parti présidentiel »

Le gouvernement recule

 A 23h25, L’Assemblée nationale vient de rejeter l’article 2 sur l’index seniors. Il a été rejette  du projet de loi sur la réforme des retraites qui instaurait un index senior aux modalités inconnues, un simple élément de langage pour faire oublier l’impréparation du gouvernement sur l’enjeu de l’emploi des seniors.

Les débats ont également démontré la nécessité de mettre en place un vrai plan senior en concertation avec les partenaires sociaux.

ESTIVADA : réunion urgente des associations du Collectif Occitan / Bras de fer occitan.

LANCER LES INITIATIVES DE SOUTIEN

Une réunion du Collectif Occitan présidée par JP LAVAL ce 9 février à Toulouse. Principal thème: l’initiative de soutien pour l’ESTIVADA festival mis à mort sans aucun respect de la culture Occitane, ni de ces organisateurs et de ces participants par le Maire de Rodez !!! Ceci fait penser à la manœuvre d’un jacobin autoritariste ..

  Quelques heures après son lancement, la pétition en ligne dépasse les 2 200 signatures ce samedi 4 février.

Une pétition en ligne pour conserver le festival de cultures occitanes à Rodez dépasse les 2 200 signatures ce samedi 4 février 2023. Lancée vendredi soir, la pétition intitulée “Gardarem l’Estivada” sur le site MesOpinions, s’adresse à la municipalité ruthénoise. Cette dernière réfléchit à un possible arrêt du festival.

“L’Estivada est profondément liée au territoire et à ceux qui y vivent. C’est la fierté des Aveyronnais qui y retrouvent leurs racines bien vivantes, qui y mettent à l’honneur leurs produits locaux, qui s’y massent nombreux dans un esprit de fête de village que l’on ne retrouve pas toujours dans d’autres festivals”.

Bras de fer occitan par Nicolas Drussian

CENTRE – PRESSE  Edition Aveyron .( 4 février 2023 )

Depuis l’annonce d’une potentielle disparition de l’Estivada du paysage ruthénois, les réactions ne sont pas tendres. Rodez Citoyen déplore dans un communiqué “quand la majorité tue pour mieux créer”, quand Jean-Pierre Laval de l’association “Païs nostre“ demande une ”réunion urgente des associations du Collectif Occitan pour lancer des initiatives de soutien”.

L’élue d’opposition Sarah Vidal, qui était auparavant aux commandes de l’Estivada lorsqu’elle était première adjointe à la mairie de Rodez, s’attaque au maire Christian Teyssèdre en disant qu’il “porte un coup très dur à la culture et à la langue occitanes”. Du côté de la Région, la vice-présidente en charge de la culture, Claire Fita, dénonçait une décision “qui prive le public d’un festival majeur qui porte haut notre identité régionale”

Fidèle aux éditions du festival, le groupe Goulamask s’est exprimé dans une tribune : “La mort annoncée de l’Estivada est peut-être un bien pour un mal qui permettra qu’un des plus grands festivals de culture occitane renaisse ici ou ailleurs avec les valeurs qui sont les nôtres”.

Une avalanche de critiques tombe sur la mairie de Rodez depuis plusieurs jours. Le maire Christian Teyssèdre avait expliqué qu’il y aura “toujours une place pour la culture occitane” dans la commune mais estimait que le festival devait “évoluer car il n’attirait plus”. Pour cet été, la municipalité promet au moins trois grandes soirées musicales en juillet avec “une tête d’affiche de grande renommée” qui devraient booster la fréquentation des animations estivales

LA RÉFORME DES RETRAITES DANS LE CHAOS COGNITIF

Dr Maxime MAURY, Officier des Palmes académiques, Professeur affilié à Toulouse Business School, Ancien directeur régional de la Banque de France. 

« Les Français n’ont pas été informés. »

(François BAYROU)

« Tous les débats sur les retraites ont une caractéristique commune : l’extrême confusion. Plus personne n’y comprend rien. » 

(Éric LE BOUCHER)

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La réforme des retraites est un sujet fascinant, pas en tant que tel mais par ce qu’il révèle du chaos cognitif et des dysfonctionnements de l’information.

Ce sont ces dysfonctionnements et les erreurs de management que nous analysons dans cette chronique.

Dans le contexte d’une réforme qui serait finalement très diluée dans le temps (2027-2030) et nettement en deçà des autres pays européens (63-64 ans en France au lieu de 65-67 ailleurs).

I) Au départ rien de plus banal : il faut financer nos retraites dans un contexte où la population vieillit. Nous n’avons plus aujourd’hui que 1,5 cotisant par retraité contre 3 pour 1 il y a quarante ans et 6 pour 1 à l’origine. L’ espérance de vie augmente. Depuis 1981 (et la sacro-sainte retraite à 60 ans), l’espérance de vie a augmenté de 8 ans.

C’est la raison pour laquelle la discrète Loi Touraine (2014) avait prévu une augmentation régulière et automatique de la durée de cotisation.

L’État emprunte chaque année 30 milliards pour payer les retraites des fonctionnaires (selon la Cour des comptes) ce qu’aucun média ne signale.

Actuellement équilibré, le régime général présentera à court-moyen terme un déficit de 15 milliards par an en moyenne (selon le COR). Mais à condition que la croissance atteigne 1,5 % l’an ce qui n’est nullement acquis.

Soit au total une dette supplémentaire-retraites de 200 milliards environ sur le quinquennat qui s’ajouterait, en l’absence de réforme, à une dette publique abyssale de 3000 milliards qui s’accroît sans cesse. La France va emprunter cette année 270 milliards d’euros pour combler son déficit, payer les intérêts de sa dette et amortir le principal. Soit 8 562 euros par seconde ! Avec en perspective une dégradation de sa note chez Standard and Poor….et un renchérissement continu des taux d’intérêt.

La réforme des retraites est le seul élément de redressement de notre trajectoire financière (2027).

Il faut donc cotiser plus longtemps et l’ engagement du président de la République en campagne était de 4 mois de plus par an. Pas vraiment la mer à boire ni de quoi fouetter un chat ! Finalement, ce ne serait que 3 mois.

II) Le problème à résoudre n’est pas si difficile, mais le chaos cognitif dans lequel nous sommes vient tout compliquer. Le dysfonctionnement des différents acteurs, le « délire informationnel » ( selon l’expression de mon collègue Francis Massé) aveuglent les Français qui à près de 70 % rejettent cette réforme sociale dont le seul but est pourtant de financer leurs retraites.

Au départ (2019), un président de la République très jeune préfère opter pour une réforme mirobolante, la « retraite à points », plutôt que de s’inscrire en l’adaptant dans la ligne de la sage Loi Touraine qui prévoyait une augmentation régulière de la durée de cotisation.

Erreur de casting.

La belle réforme « à points » , séduisante sur le papier, s’avère vite infaisable car illisible et donc invendable. Il l’abandonne en 2020 mais les esprits en sont restés troublés.

On en revient alors à une réforme dite « paramétrique » dont la bannière, très mal présentée en 2022, va s’incarner exclusivement dans les « 65 ans ».

Mais quid de ceux qui ont commencé à travailler à 16-18-20 ans ?

Le gouvernement a répondu tardivement en introduisant l’âge de début qui leur permettrait de partir plus tôt : 40 % des Français partiraient finalement avant 64 ans en raison des carrières longues ou de la pénibilité, mais là encore la communication a été désastreuse car les médias ne l’ont pas précisé.

Mal informée, l’opinion s’est donc cristallisée dans le refus.

C’est une réforme technique qui se présente comme une équation à 4 variables : l’âge de début, l’âge légal, l’âge maximum et surtout la durée de cotisation.

Trop difficile pour un média de l’expliquer car les auditeurs ne peuvent soutenir leur attention plus de 45 secondes (contre 30 secondes nous dit-on pour le poisson rouge !). Mieux vaut faire le buzz en invitant des « experts » opportunistes qui diront que « l’on ne comprend pas » les raisons de cette réforme faite « pour faire plaisir à l’Europe » et qui est « avant tout politique ».

Chaos cognitif assuré !

Il est vrai que pour embrouiller encore plus les Français on a fait dire au Conseil d’Orientation des Retraites (COR) ce qu’il n’a jamais dit : sous prétexte que les comptes du régime général étaient équilibrés en 2021, la réforme ne serait pas nécessaire. En oubliant en route le déficit des fonctionnaires (30 milliards par an) totalement occulté, et les prévisions du COR sur le déficit du régime général jusqu’en 2030.

Et voici que le président de la République est venu à nouveau créer l’ambiguïté en affirmant, durant sa campagne, que la réforme des retraites contribuerait à financer la transition énergétique et les investissements d’avenir.

Certes, il a raison d’affirmer que la France ne travaille pas assez comme le démontrent tous les rapports. Le taux d’emploi des plus de 60 ans est deux fois plus bas qu’en Allemagne. Beaucoup plus bas que dans le reste du monde.

Mais les Français comprennent alors l’inacceptable : seuls les salariés paieraient pour tout !

Rejet assuré.

III) La Première ministre a raison d’affirmer que la réforme des retraites doit servir à financer les retraites. Point !

Et que dans la réforme l’ensemble des paramètres jouera et pas seulement l’âge légal qui serait reporté finalement à 64 ans en 2030. Alors que dans toute la zone euro, on sera à 65-67 ans dès 2024.

Aux bavardages incessants et aux approximations des médias s’ajoute enfin l’irresponsabilité accablante des organisations syndicales qui refusent de négocier le financement des retraites depuis 2019 et prennent donc le risque d’un effondrement des pensions.

Avec nos syndicats, nous sommes face à cette tragique singularité française : le moins de syndiqués et le plus de journées de grève en Europe !

Cette débandade du syndicalisme français qui contraste avec la force des syndicats dans les social-démocraties du Nord de l’Europe entraîne la course de leurs dirigeants aux extrêmes dans la politique du « Zéro Négociation » qui conduit à l’incivisme et au blocage.

La réforme des retraites ne serait pas une réforme difficile. Si elle était correctement expliquée, négociée et accompagnée par des mesures sur la pénibilité et sur le soutien à la fin de la vie professionnelle.

Le gouvernement s’est engagé dans cette voie mais il n’a pas de partenaires.

La France a réformé ses retraites en 1993, 2003, 2010 et 2014. Il suffit de poursuivre en lien avec la démographie. En essayant de réconcilier les Français avec le travail (bien être , intéressement, participation, créativité…).

Ce sont nos comportements qui créent le chaos cognitif et bloquent toute négociation, ainsi que des erreurs de management qui ressemblent en l’espèce à un cas d’École :

  • avoir voulu faire compliqué au lieu de faire simple dans la continuité de la sage Loi Touraine ;
  • avoir polarisé longtemps la communication sur l’âge légal ( les « 65 ans ») au mépris de ceux qui ont commencé tôt leur vie professionnelle ;
  • avoir prétendu négocier sans poser le cadre préalable de la négociation : l’augmentation de la durée de cotisation n’était pas négociable ;
  • enfin s’adresser aux Français par médias interposés sans jamais le faire directement comme le faisaient autrefois nos grands présidents pour expliquer clairement le pourquoi et le comment.

Pour la France :

Avoir enfin le « courage de la nuance », selon la belle formule de Jean Birnbaum, au lieu de sombrer dans les slogans et l’émotionnel. La régression de l’information, le chaos cognitif.

Si nous voulons conserver nos retraites il faut les financer !

A défaut, de multiples scénarios d’effondrement existent : désindexation permanente, baisse des pensions , crise financière sur la dette française. Ce serait le pire des dénouements.

PAIS NÒSTRE ETAIT LE 11 FEVRIER A MONTPELLIER POUR LA DEFENSE DE LA BOUVINE !

Une grande manifestation pour la défense de la bouvine était organisée samedi 11 février à Montpellier  à  l’initiative de l’Union des Jeunes de Provence- Languedoc , en réaction aux attaques contre cette culture ,son biais de viure, ses fêtes et les courses libres.

Cette action était destinée à défendre la ruralité , une  manifestation culturelle : son titre le dit bien ” Ensemble pour l’avenir de notre culture “.

Le mouvement PAIS NÒSTRE présent à ce rassemblement avec des drapeaux occitans .

            Volèm viure, trabalhar e decidir al país !               PAIS NÒSTRE   Tel 06 72 55 04 36

  

Les jeunes occitanes
JP LAVAL Président DE PAIS NOSTRE u rendez-vous !!!

PROCHAINEMENT: Ecologie / Régionalisme

Suite au succès des états généraux de Marseille du 10 décembre, la TV Occitanie Pais Nostre monte des “clips” de moments importants de ce riche moment Le premier sera consacré à l’exposé d’Alain GUARINO Président de Prouvènço Nacioun, groupe membre de la Fédération des Pays Unis. Alain a su au plus juste expliquer les raisons et la force qu’ amène ce partenariat extrêmement logique. La région mènera plus efficacement une politique écologique au plus proche des intérêts du territoire par sa connaissance des éléments et sa proximité avec les acteurs.

JLD