Amb molta il·lusió i molt d’èxit ha estat celebrat l’acte de lliurament dels Primers Premis JOVE SAPIÉNCIA OCCITANA de l’AASOC, dedicats a promocionar la trajectòria de recerca i divulgació de la llengua i la cultura occitanes en general i l’aranesa en particular.
En l’incomparable marc de la Casa rural de Ca n’Oliveró al municipi de Castellbisbal, aquests premis foren lliurats amb una gala cultural, amb música, poesia, teatre, humor… amb la col·laboració d’EL MÓN MEDIEVAL.
El duet L’Incantari, composat per l’Arturo Palomares i la Lucía Samitier, acompanyats de l’Ana Cerezo, interpretaren diverses cançons medievals catalanes, occitanes…
El professor de la Universitat de Barcelona, en Daniel Navarro, interpretà una amena peça de teatre de temàtica medieval, dedicat a la “Santa Ceba”.
El professor de la Universitat de Barcelona i membre de l’Institut de Recerca en Cultures Medievals (IRCUM) Enric Casas impartí una conferència sobre el mite del Rei Artús i la seva relació amb la Mediterrània (Sardenya i Mallorca), basant-se en la seva recerca en documents i mostres artístiques.
Però parlem dels guanyadors. En segona posició (empatats) la Maika Casalí pels seus estudis sobre la dansa i la música araneses i l’Adrià Ballester per la seva recerca sobre l’urbanisme a la Vall d’Aran i enguany sobre els pobles abandonats aranesos.
I el guanyador d’aquesta primera edició fou en Jaume Masana, per la seva gran participació i col·laboració en múltiples activitats de difusió de la cultura tradicional impopular aranesa, especialment mitjançant la música amb videoclips i altres activitats.
I no podia mancar un record per a en Tònho Castet, un gran activista cultural i defensor de l’aranès, amb un discurs del nostre director en Christian Andreu, tot recordant el gran ajut donat per en Tònho a les nostres revistes.
Fou una gran festa cultural per la divulgació de la recerca i la investigació sobre Occitània i l’occità. I agraïm a totes aquelles persones que ens han ajudat a fer realitat el somni d’aquests premis.
L’AASOC TOTJORN AMB LA DIVULGACION E LA CULTURA!!!!
PRIX ET PRIX DE LA JEUNESSE SCIENCES OCCITANA
Avec beaucoup d’enthousiasme et beaucoup de succès la cérémonie des premiers prix JOVE SAPIÉNCIA OCCITANA de l’AASOC, dédiée à la promotion de la carrière de recherche et de diffusion de la langue et de la culture occitane en général et Aranesa en particulier.
Dans le cadre incomparable de la maison rurale Ca n’Oliveró de la commune de Castellbisbal, ces prix ont été remis avec un gala culturel, avec musique, poésie, théâtre, humour… avec la collaboration du MONDE MEDIÉVAL.
Le duo L’Incantari, composé par Arturo Palomares et Lucía Samitier, accompagné par Ana Cerezo, interprétera différentes chansons médiévales catalanes, occitanes…
Le professeur de l’université de Barcelone, Daniel Navarro, interprète une belle pièce de théâtre médiéval, dédiée au « Santa Onion ».
Professeur de l’Université de Barcelone et membre de l’Institut de recherche sur les cultures médiévales (IRCUM) Enric Casas a donné une conférence sur le mythe du roi Arthur et ses relations avec la Méditerranée (Sardaigne et Majorque), sur la base de ses recherches sur les documents artistiques et les expositions.
Mais parlez des gagnants. En deuxième place (à égalité) Maika Casali pour ses études sur la danse et la musique d’Aranes et Adrià Ballester pour ses recherches sur l’urbanisme dans la vallée d’Aran et cette année sur les villages abandonnés d’Aranes.
Et le vainqueur de cette première édition était Jaume Masana, pour sa grande participation et collaboration à de multiples activités de diffusion de la culture aranes traditionnelle impopulaire, notamment à travers la musique avec des vidéoclips et autres activités.
Et il ne pouvait pas y avoir de souvenir pour T ònho Castet, un grand militant culturel et défenseur des Aranes, avec un discours de notre directeur Christian Andreu, rappelant la grande aide que T ònho a apportée à nos magazines.
C’était un grand festival culturel pour la diffusion de la recherche et de la recherche sur l’Occitanie et l’Occitanie. Et nous remercions toutes ces personnes qui nous ont aidés à réaliser le rêve de ces prix.
L’AASOC TOTJORN AVEC LA DIVULTURE ET LA CULTURE !!!!
Qui chaperonne ceux et celles qui le flattent et le perpétuent moment où MACRON diminue le montant des retraites est-il normal ce qui suit ?
Elle a aujourd’hui 82 ans … et l’État a d’infinies douceurs pour elle… et les autres !
L’ÉTAT dépense encore 43 000.00 EUR par an pour le personnel et les déplacements d’Édith CRESSON, 25 ans après son départ de MATIGNON.
Vous vous rappelez d’Édith CRESSON ? Elle a été premier ministre sous François MITTERAND de 1991 à 1992 ! UN AN seulement.
C’était il y a 25 ans. Aujourd’hui elle est bien évidemment à la retraite. Et pourtant, en tant qu’ancien premier ministre, l’’État prend en charge le coût de sa « voiture de fonction » et le salaire d’une assistante. C’est ce qu’a révélé MEDIAPART en février dernier, dans l’indifférence générale.
L’ÉTAT finance encore les anciens premiers ministres.
C’est le secrétariat général du gouvernement, un service dépendant de MATIGNON, qui gère les petits privilèges des anciens présidents de la République et anciens premiers ministres.
Au nom de la transparence et du droit d’accès aux documents administratifs, garanti à tous citoyens par une loi de 1978, MEDIAPART a obtenu le détail de ces frais. Non sans mal.
La demande a été faite au secrétariat général du gouvernement en janvier 2015, et sans réponse positive de sa part, MEDIAPART a dû saisir la CADA (Commission d’accès aux documents administratifs), laquelle a rendu un avis favorable à la transmission de ces documents.
Une voiture, (pas vraiment ‘une Twingo) et une assistante pour Édith CRESSON.
S’agissant d’Édith CRESSON, pour l’année 2014, l’’État a dépensé 33 817.00 € pour rémunérer une assistante.
Elle dispose également d’une voiture de fonction, achetée en 2007, pour un montant de 44 467.00 EUR. Pas vraiment le coût d’une Twingo. Quant aux frais d’entretien de sa voiture de fonction, l’’État a déboursé 4 233.00 EUR en 2014, ainsi que 5 189.00 EUR de carburant et 541.00 EUR pour l’assurance.
Au total, hors coût d’achat du véhicule, l’’État a dépensé 43 780.00 EUR.
Sachant qu’elle touche les RETRAITES liées à tous ses mandats (maire, député, commissaire européen), est-ce bien raisonnable de continuer à financer une voiture
et une assistante à une femme de 83 ans sous prétexte qu’elle a été Premier Ministre il y a 25 ans ?
Et c’est pareil pour tous les anciens premiers ministres.
C’était le 1/4 d’’heure de vérité pour vous aider à mieux comprendre comment est utilisé votre argent et pourquoi il en faut tant …
» El cristianisme perd un home de bondat i de pau, intel·ligent i coratjós, que va saber entendre els desafiaments de l’Església en el món que s’endevina. Descansa en pau, Papa Francesc. » Carles Puigdemont ( President de » Junts per Catalunya » ).
Photo Joan Pèire LAVAL à Montségur qui informe les 300 participants. Clip à voir you tube / HilhdePuta ou SITE : Occitanie Païs Nostre .fr (clips)
Lo Conselh Departamental d’Aude a decidit al mes de febrièr de 2025 de remplaçar lo nom » Castèls Catars » per » Forteresses royales du Languedoc » , e tot aquò per obténer la reconeissença oficiala de l’Unesco . En reaccion , Pais Nòstre a publicat un comunicat per denonciar aquéla causida , amb una presa de paraula critica del jornalista Joan-Pèire Laval lo 16 de març a Montsegur . Desempuèi , las criticas se son pas arrestadas . E fa gaire dins la cronica occitana del jornal Midi Libre , Joan-Lois Blénet escriu : » I a una autra dimension de Montsegur que deuriá tindar fòrt dins la tempora d’ara. Lo senhor de Perelha e los defenseires daus «catars» èran pas d’aquesta religion, èran catolics mas amb una diferéncia qu’es de civilizacion. An tot riscat e perdut tot per defendre la libertat de conciéncia daus catars. Atau mai que tot Montsegur es libertat.
D’istorians saberuts dison qu’aquestes castèus devon èsser nomenats reiaus dau nom dau raubaire que n’es lo darnièr venceire. Es los nomenar castèus de l’assassin. »
5 millions au total, dont 3 millions en métropole et 2 millions outre-mer. Tel serait le nombre de locuteurs des langues dites régionales, selon les estimations du ministère de la Culture figurant dans le Rapport au Parlement sur la langue française 2025.
L’Express s’est procuré le détail de ces chiffres sachant que, selon le ministère lui-même, certaines données sont anciennes. L’enquête Familles de l’Insee, en cours, permettra d’actualiser ces chiffres. A chaque fois sont indiquées le nom de la langue (avec la dénomination choisie par le ministère de la Culture), le nombre de locuteurs et la source.
Occitan (auvergnat, gascon, languedocien, limousin, provençal, vivaro-alpin) 1 670 000 Wikipedia, enquête sociolinguistique de l’OPLO
Alsacien 800 000 Wikipedia
Picard 700 000 Wikipedia, Le ch’ti de poche
Créole réunionnais 455 000 Wikipedia
Créole martiniquais 418 000 Wikipedia
Créole guadeloupéen 400 000 Wikipedia
Créole guyanais 250 000 « Les langues de Guyane »
Poitevin-saintongeais 250 000 Wikipedia
Francique lorrain 180 000 Wikipedia
Shimaoré 152 000 Wikipedia
Catalan 142 000 Langues et cité
Gallo 132 000 TMO
Corse 130 000 Wikipedia
Breton 107 000 TMO
Normand 100 000 Wikipedia
Tahitien 68 000 Wikipedia
Flamand occidental 60 000 Wikipedia
Basque 51 500 OPLB
Bourguignon-morvandiau 50 000 Wikipedia
Kibushi 47 900 Wikipedia
Francoprovençal 25 000 Wikipedia
Créole saint-martinois 25 000
Nenge (aluku, ndyuka, pamaka) 22 700 « Les langues de Guyane »
Rassemblés pour demander une Force européenne de paix en #Ukraine ! Pour la liberté et la démocratie en #Europe, soutenons plus encore le peuple ukrainien ! #StandWithUkraine#Paris#SlavaUkraïni#stopputin @mouvement_des_progressistes @uwcongress @union_ukr_fr @volodymyr_kogutyak
Sur quel pied l’état français s’appuie-t-il pour reprocher à la Chine de faire la même chose que lui (enseigner la langue d’état, le chinois mandarin, dès la maternelle, par exemple dans les écoles tibétaines ou faire la connaissance du chinois obligatoire pour l’université, le travail, l’administration, les hôpitaux etc), mais avec plusieurs décennies voir siècles, en retard par rapport à la France ? Certes, la façon dont la Chine s’y prend est beaucoup plus stricte que la France, mais le principe est le même : la seule façon dont la France pourrait légitimement critiquer la politique linguistique de la Chine, c’est en disant « non non, faites comme nous, imposez le chinois mais faites-le plus gentiment, sans peines de prison ».