Catégorie : Informations Politiques

Stéphane Bourgeon a accueilli les Maussanais

Le délégué départemental de Prouvènço Nacioun dans le Vaucluse, Stéphane Bourgeon, qui est également actif dans la Provence rhodanienne, a accueilli les Maussanais à l’Oustau de la Capello, son gîte magnifiquement restauré.

Sous les voûtes de l’ancienne chapelle qui est le plus vieux monument de la commune, Stéphane a prononcé un discours sur le patrimoine et l’histoire de Maussane.

Dans la matinée, la petite équipe de Prouvènço Nacioun qui avait fait le déplacement pour l’occasion en a profité pour coller quelques affiches à la gloire de l’autonomie de la Provence.

#Prouvènço#Provence#PACA#RegionSud#France#Politique

Faire passer la république française, en république fédérale !

Il y a quelques semaines cette information a été révélé par certains médias.

Des politiques de Gauche, Centre Gauche, de Droite, Centre Droit ont émis l’idée de faire passer la république française, en république fédérale !

De donner une véritable autonomie aux régions

Ces partis politiques se disent qu’en mettant en avant ce projet plus proche du peuple, plus démocratique, arguant que tous nos voisins sont sur un modèle fédérale et que cela se passe bien chez eux !

Ces partis politiques pensent que cela leurs assurera une éventuelle victoire dans les urnes.

Pour la France cela serait une grande avancée démocratique si en plus le référendum d’initiative populaire, « le RIC », est instaurée, cela n’en sera que bénéficiaire pour les français.

À une seule condition, que la Savoie et Nice retrouvent leurs libertés !

Pour la France, il faudrait qu’elle revienne à des régions historiques et non géographique ou démographique !

Finis les 15 ou 22 régions sans âme ni saveur !!!

Voici une carte de ce que devrait être la France fédérale !

Avec ces 25 régions autonomes métropolitainnes (dont la Corse).

Et sans oublier ces territoires doutre-mer.

L’autonomie politique : permettre aux peuples locaux de décider par eux-mêmes !

L’autonomie politique : permettre aux peuples locaux de décider par eux-mêmes !

L’éducation, la formation professionnelle, le développement économique, la culture, l’intégration, le fonctionnement des hôpitaux, de la sécurité publique, de la justice, la protection de l’environnement, les mobilités, la coopération européenne… :

Ce sont nos affaires avant tout, notre quotidien ! Il serait légitime et efficace de les gérer, en local… en ce qui nous concerne dans une région Savoie autonome.

Gérer ces compétences au local semble inimaginable en France, C’est pourtant le quotidien dans les pays fédéraux voisins.

#fédéralisme#autonomie

Régions et Peuples Solidaires

Décolonisons les régions

Les hautes Alpes c’est aussi la Provence

Les hautes Alpes c’est aussi la Provence. Groupe la taiole (05 hautes alpes) ALa région peut elle prendre le nom de PAYS DE PROVENCE ? Historiquement c’est possible. IL n’est pas une parcelle du territoire de la région qui n’ait été concernée par la provence historique. Le pays nicois a été provencal jusqu’au 14 ème siècle. Les hautes alpes par le comte de Forcalquier l’ont été jusqu’au 12eme siècles et de tout temps par les évêchés d »Embrun et de Gap qui couvraient principalement la provence.

Le sentiment d’identité provencale est presente. Dans le sud des hautes alpes le parc naturel régional s »intitule barronie Provencales. Plusieurs localités des hautes alpes (laragne serre ou Rosans )se placent volontiers en PROVENCE. Gap et Embrun veut se situer entre PROVENCE et Dauphiné .

Pour ce qui est de la côte d’azur à l’ouest du fleuve var elle affirme son appartenance Provencale. Reste le cas délicat de Nice, très attachée à son identité spécifique. De plus l’histoire rappelle que Nice a une part d’identité provencale. Les duc de Savoie denommaient ainsi le pays nicois « terra nova de prouvenca « .

Au demeurant que le nom de PROVENCE englobe également le pays nicois et les hautes alpes n’empêcherait aucunement la dynamique des spécificités locales comme l’a toujours permis cette région de tradition fédérative.

Aujourd’hui la généralisation de l’acronyme PACA ou du terme sud est un désavantage pour tous les pays de provence Alpes Côte d’Azur. Dans paca ou sud on ne retrouve ni les Alpes du sud ni la côte d’azur ni la provence. Avec paca ou sud, tout le monde y perd !

Pour tous ces pays provençaux se retrouver avec ses spécificités et son identité propre sous le vocable PROVENCE est au contraire un atout. Qu ‘il s’agisse de notoriété d »images ou de culture, la région a intérêt à retrouver son nom historiquement fondé de PROVENCE qui est un véritable atout économique et touristique à l’international.

Ne soyons plus la seule région à être connu par son horrible acronyme ou par sud qui est insituabble alors qu’elle est la région de France la plus célèbre au monde.

Rendons son nom historiquement fondé à notre pays PROVENCE

OSCO PROUVÈNÇO.

L’Institut Basque Etxepare fête ses 15 ans

Le Président du Gouvernement Basque, Imanol Pradales,

présidera la cérémonie institutionnelle du 19 novembre à la

Bibliothèque nationale de France, qui rassemblera une

représentation politique, institutionnelle et culturelle notable, ainsi que des membres de la diaspora basque de Paris.

— Un colloque académique international se tiendra les 19 et 20

novembre à Sorbonne Université et à la Sorbonne Nouvelle,

consacré aux défis des langues minorisées dans l’espace

francophone.

L’Institut Basque Etxepare est une entité placée sous l’autorité du Gouvernement Basque et rattaché à son ministère de Culture

et Politique linguistique, dont la mission est de promouvoir la langue basque, la culture et la création artistique contemporaine à l’échelle internationale.

Cet événement exceptionnel constituera un lieu de rencontre pour des représentants institutionnels, des figures du monde culturel, diplomatique et politique, ainsi que pour la diaspora basque à Paris.

#basque#LanguesMinoritaires#LanguesRegionales

L’Institut Basque Etxepare fête ses 15 ans à… la Bibliothèque nationale de Langues de France

Le Président du Gouvernement Basque, Imanol Pradales,

présidera la cérémonie institutionnelle du 19 novembre à la

Bibliothèque nationale de France, qui rassemblera une

représentation politique, institutionnelle et culturelle notable, ainsi que des membres de la diaspora basque de Paris.

— Un colloque académique international se tiendra les 19 et 20

novembre à Sorbonne Université et à la Sorbonne Nouvelle,

consacré aux défis des langues minorisées dans l’espace

francophone.

L’Institut Basque Etxepare est une entité placée sous l’autorité du Gouvernement Basque et rattaché à son ministère de Culture

et Politique linguistique, dont la mission est de promouvoir la langue basque, la culture et la création artistique contemporaine à l’échelle internationale.

Cet événement exceptionnel constituera un lieu de rencontre pour des représentants institutionnels, des figures du monde culturel, diplomatique et politique, ainsi que pour la diaspora basque à Paris.

#basque#LanguesMinoritaires#LanguesRegionales

    7000 VIGNERONS DANS LES RUES DE BEZIERS LE 15 NOVEMBRE

    7000 VIGNERONS DANS LES RUES DE BEZIERS LE 15 NOVEMBRE

Sécheresse, difficile accès à l’eau, petite récolte , prix en berne, importations , arrachage , c’est dans ce contexte de crise de la filière, que les vignerons venus de toute l’Occitanie ont manifesté sur les allées Pierre – Paul-Riquet à Béziers samedi 15 novembre .

7000 manifestants ont parcouru les rues à l’appel de plusieurs organisations syndicales , FDSEA , Jeunes Agriculteurs , Syndicat des vignerons , Coordination rurale . En solidarité , Pais Nòstre et Bastir Occitanie étaient présents avec des drapeaux occitans .                         Volèm viure, trabalhar e decidir al país !   

Début de la belle et grande aventure de UnisPourBlagnac !

Début de la belle et grande aventure de #UnisPourBlagnac !

Premier temps de rencontre qui s’est déroulé hier et qui en appelle beaucoup d’autres.

Fouad BahrarLine MalricCécile GourdonPour Les BlagnacaisJoseph CarlesValérie Bugeja FernandezClaire FarouxJean-François Lardy-GaillotAdrien Moreau#AnneGomez#EricMichel#MarcPozza#CatherineElissaldeGérard Rastoul#YoannGarnot#EvelyneBoujatBarlam Marie-LaureSophie Trilles

“mettre de la proportionnelle” dans nos élections législatives.

Depuis des années, on entend parler de “mettre de la proportionnelle” dans nos élections législatives.

Mais on oublie toujours l’essentiel : toutes les proportionnelles ne se valent pas.

Certaines améliorent la démocratie, d’autres la paralysent.

Si nous voulons réformer, il faut choisir ce qui fonctionne réellement — pas ce qui flatte un camp ou un autre.

Aujourd’hui, je veux expliquer ce qui serait, selon moi, la réforme électorale la plus juste et la plus adaptée à la France : le système mixte, utilisé par plusieurs des démocraties les plus stables au monde.

1. Le système actuel ne représente plus correctement le pays

La France a choisi un scrutin majoritaire à deux tours.

Ce système crée une apparence de stabilité, mais il produit aussi plusieurs effets négatifs :

• de très nombreux électeurs ne sont pas représentés à l’Assemblée ;

• certains partis sont surreprésentés, d’autres entièrement effacés ;

• la légitimité des majorités devient de plus en plus fragile ;

• une part croissante de la population a le sentiment que son vote ne compte pas.

Un exemple simple : un parti peut faire 20 ou 30 % au niveau national et n’obtenir que quelques sièges.

À l’inverse, un autre peut gouverner seul avec le soutien réel d’une minorité de citoyens.

Ce décalage fragilise la confiance démocratique.

2. Pourquoi une proportionnelle intégrale ne serait pas adaptée à la France

Certains veulent passer à une proportionnelle totale.

Sur le papier, cela semble plus juste.

En réalité, c’est le système le plus risqué pour un pays comme le nôtre.

La proportionnelle intégrale entraîne généralement :

• une multiplication des partis ;

• l’impossibilité de dégager une majorité claire ;

• des négociations interminables ;

• l’instabilité gouvernementale ;

• un pouvoir excessif des formations les plus extrêmes.

Il suffit d’observer les exemples d’Israël ou des Pays-Bas.

La France, déjà très fragmentée politiquement, vivrait une instabilité supplémentaire.

3. Le bon modèle : un système mixte, équilibré et stable

Le modèle qui fonctionne réellement, c’est celui utilisé par l’Allemagne ou la Nouvelle-Zélande :

50 % de proportionnelle et 50 % de scrutin majoritaire,

avec un seuil de 5 % pour accéder aux sièges proportionnels.

Ce n’est pas un compromis artificiel : c’est un système pensé pour concilier représentativité et stabilité, deux exigences essentielles dans une grande démocratie moderne.

4. Comment fonctionnerait ce système en France ?

50 % de députés élus comme aujourd’hui

Dans les circonscriptions traditionnelles.

Cela permet de préserver l’ancrage local : chaque territoire garde “son” député.

50 % de députés élus à la proportionnelle

Sur des listes régionales, afin d’assurer une représentation équilibrée sur tout le territoire.

Chaque voix compte réellement : un parti qui obtient 12 % des voix obtient environ 12 % des sièges proportionnels.

Un seuil de 5 %

Ce seuil est indispensable pour éviter la fragmentation excessive.

Il empêche l’entrée de micro-partis incapables de contribuer à la stabilité parlementaire.

Les pays qui appliquent ce seuil ont des Parlements stables et efficaces.

5. Les bénéfices concrets pour la France

Une Assemblée plus représentative

Chaque vote a une traduction réelle en sièges.

Une majorité plus légitime

Le gouvernement repose sur un soutien démocratique plus solide.

Une culture du compromis et de la responsabilité

Les partis doivent travailler ensemble sur des bases programmatiques, et non sur des alliances improvisées entre les deux tours.

Moins de radicalisation du débat

Les extrêmes ne dominent plus le jeu politique.

Une fin de certaines manœuvres électorales

Les triangulaires artificielles ou les “fronts républicains” par défaut perdent leur caractère tactique.

6. Une Assemblée plus stable, pas moins

Contrairement à ce que certains prétendent, cette proportionnelle ne paralyse pas le pays.

Au contraire.

Grâce aux sièges majoritaires, la structure territoriale reste robuste.

Grâce au seuil de 5 %, seules les forces capables de participer réellement au débat démocratique entrent à l’Assemblée.

Grâce aux listes régionales, l’équilibre entre territoires est respecté.

Ce système donne, partout où il existe, des gouvernements durables et responsables.

7. Pourquoi cette réforme n’a jamais été mise en place ?

Parce qu’elle bouscule les avantages du système en place.

Le scrutin majoritaire profite surtout aux partis qui gouvernent, qui ont peu d’intérêt à réformer les règles qui les ont amenés au pouvoir.

Pourtant, cette réforme serait l’une des clés d’une démocratie plus sereine, plus moderne et plus respectueuse de sa diversité politique.

8. Une piste pour réconcilier les Français avec leur démocratie

Le système mixte 50 % proportionnelle – 50 % majoritaire, avec un seuil de 5 %, est probablement la réforme électorale la plus équilibrée pour la France.

Il offrirait :

• une meilleure représentation,

• une stabilité retrouvée,

• une légitimité renforcée,

• une vie politique plus apaisée.

C’est une réforme de justice démocratique, mais aussi de responsabilité collective : elle redonne de la voix à chacun, sans fragiliser l’État.

J’étais présent aujourd’hui au Forum d’Oc à Nice.

J’étais présent aujourd’hui au Forum d’Oc à Nice.

Les divergences sur l’unité de la langue et sur la graphie n’ont pas été éludées. Mais la défense des langues dites « régionales » est un sujet éminemment politique sur lequel on peut se rassembler ou, pour le moins, débattre.

Durant cette journée dont le thème était « Les régions peuvent-elles sauver les langues de France », j’ai eu le plaisir de rencontrer le journaliste de l’Express Michel Feltin-Palas qui publie chaque semaine une lettre d’information consacrée à ces langues en danger d’extinction et qui a signé à Nice un flamboyant plaidoyer en leur faveur.

N’en sian tóuti vengu à la counclusioun que la clau es poulitico…