Le Medef veut permettre aux collectivités territoriales de fixer une partie du taux d’impôt sur les sociétés. Interrogées, les présidentes de régions Carole Delga et Valérie Pécresse sont circonspectes.
Les Françaises et Français veulent que ça bouge.
Un récent sondage de l’IFOP explique que :
68% des Françaises et Français estiment que les collectivités locales n’ont «pas assez de pouvoir par rapport à l’État»
73% sont favorables à ce que les régions puissent « adapter les lois nationales pour tenir compte des réalités locales».
Oui, ils veulent qu’on arrête de tout décider depuis Paris. Ils veulent que leurs collectivités aient les moyens d’agir, tout de suite, au plus près de leur vie.
Ce n’est plus un tabou de dire que l’unité de la France ne passe pas par l’uniformité. Elle passe par la confiance dans nos territoires.
En Bretagne, nous savons ce que cela veut dire : avancer sans renier ce que nous sommes. Être Breton et être Français, ce n’est pas l’un contre l’autre. C’est l’un avec l’autre.
Et demain, si nous voulons réussir la transition écologique, la justice sociale, la bataille de l’énergie, de l’emploi, de l’agriculture… ce sera avec les territoires, leurs habitants, pas sans eux.
Alors oui, il est temps. Le contexte politique que nous vivons montre qu’il est temps. Il est temps de tourner la page du centralisme. Il est temps de libérer les énergies pour un projet innovant offrant de la stabilité pour notre pays.
Et de construire, ensemble, une France qui s’assume enfin diverse.
Airbus a lancé l’assemblage de son nouvel avion cargo A350F à Toulouse. Les sections principales du fuselage, préparées à Montoir-de-Bretagne, ont été transportées par avion Beluga XL. Les ailes ont été finalisées au Royaume-Uni.
L’entrée en service, initialement prévue en 2026, est repoussée à fin 2027 à cause de problèmes dans la chaîne d’approvisionnement et de la complexité technique de l’avion.
Cette étape marque un jalon important pour Airbus dans le marché du fret long-courrier.
À l’occasion de la législative partielle de Montauban, plusieurs composantes régionales et citoyennes, dont Bastir Occitanie et le représentant des écologistes indépendants, ont annoncé leur soutien à la candidature de Jean-Loup Vivier.
Un enfant de Montauban au parcours international
Né à Montauban il y a 68 ans, Jean-Loup Vivier a fait ses études à Toulouse, où il a obtenu un doctorat en droit. Avocat de profession, il a exercé dès 1978 à Montauban, avant de s’expatrier pendant plus de 25 ans en outre-mer (Nouvelle-Calédonie, Guyane, Réunion) et en Afrique (Burkina Faso, Togo, Bénin). Depuis son retour, il est installé comme avocat à Auch, dans le Gers. Père de deux enfants, il revendique un attachement profond à sa terre natale du Quercy et du Rouergue.
« Sortez les sortants »
Dans sa profession de foi, Jean-Loup Vivier lance un appel sans détour : « Sortez les sortants, ceux qui vous conduisent dans le mur ».
Il dénonce à la fois le système Macron, issu selon lui de la trahison du Parti socialiste vis-à-vis des travailleurs depuis 1983, et les oppositions institutionnelles traditionnelles (Rassemblement National,
Républicains), qu’il accuse de refuser la censure du gouvernement ou la destitution présidentielle, préférant « se complaire dans les jeux de rôle au moment des élections ». Un programme axé sur la justice sociale et la démocratie
PHOTO/ Alexis Boudaud (Ecologie Autrement) JLuc Davezac (Bastir Occitanie / Régions Unies d’Europe) / Jean-Loup Vivier Libres et Indépendants / Thida / Gregory Berthault (les Abeilles )
Le candidat met en avant un ensemble de mesures qu’il souhaite soumettre aux électeurs de Montauban :
UN SOUTIEN PLURIEL
La candidature de Jean-Loup Vivier est soutenue par Bastir Occitanie, mouvement régionaliste, ainsi que par les écologistes indépendants et les acteurs de la société civile locale, qui voient en lui un candidat capable de défendre à la fois la justice sociale, la démocratie locale et une écologie pragmatique.
« C’est une candidature qui allie expérience, indépendance et enracinement, au service des habitants du Tarn-et-Garonne », souligne un représentant des soutiens.
REJOIGNEZ Jean Loup VIVIER : volem2022@gmail.com
A partir du mardi 16 septembre à 18h dans une salle du Club Culture et Loisirs d’Aucamville, 9 rue des Écoles.
Inscription possible ce samedi de 09h à 13h sur le stand de Vam e Nhac-IEO 31 à l’occasion du forum des associations d’Aucamville, salle Brassens.
Vous pouvez nous contacter également à l’IEO 31 au 05-61-11-24-87 cors@ieo31.com
De Mario Beaulieu
Le fédéral continue à financer les groupes de pression anglophones et les contestations judiciaires qui affaiblissent la Charte de la langue française. L’indépendance est la seule solution pour assurer l’avenir du français au Québec!
« Elle m’a montré que défendre une langue, ce n’est pas un caprice identitaire : c’est protéger la maison où l’on garde ses souvenirs. […] On dit souvent que l’amour d’un pays ne s’explique pas, qu’il se vit. Mais je sais que mon amour pour le Québec a trouvé un tuteur dans mes discussions avec Isabel. Elle m’a appris que la liberté ne se résume pas à couper un lien ; c’est aussi construire quelque chose de viable à la place. » –
Thélyson Orélien, http://bit.ly/4lwL8pB
Mario Beaulieu
