A lire – Femnas en Lengadoc – Femmes en Languedoc… de Gwendoline Hancke

La vie quotidienne des femmes de la noblesse occitane au XIIIe siècle entre catholicisme et catharisme !

« Comme tous les humbles de leurs temps, et de tous les temps, ils auraient dû sombrer dans l’oubli. Le malheur les en a préservés, en faisant d’eux des témoins » par la grâce de l’Inquisition… Se se pòt dire coma aquò !

Les registres de l’Inquisition « permettent aujourd’hui d’observer la texture intime de la société occitane, sans barrière de classe, jusque dans le secret de ses foyers, le coeur de ses familles ».

Enfin au XIIIe siècle sur 719 membres du clergé cathare que comptabilise le registre de Bernard de Caux, 45% sont des femmes.

Era l’egalitat entre los òmes e las Femnas per les bons òmes per lo salut de l’eime e lo consolament !

C’était l’égalité entre les hommes et les femmes pour les bonshommes pour le salut de l’âme et le consolament…

A lire –

A lire – Femnas en Lengadoc – Femmes en Languedoc… de Gwendoline Hancke

La vie quotidienne des femmes de la noblesse occitane au XIIIe siècle entre catholicisme et catharisme !

« Comme tous les humbles de leurs temps, et de tous les temps, ils auraient dû sombrer dans l’oubli. Le malheur les en a préservés, en faisant d’eux des témoins » par la grâce de l’Inquisition… Se se pòt dire coma aquò !

Les registres de l’Inquisition « permettent aujourd’hui d’observer la texture intime de la société occitane, sans barrière de classe, jusque dans le secret de ses foyers, le coeur de ses familles ».

Enfin au XIIIe siècle sur 719 membres du clergé cathare que comptabilise le registre de Bernard de Caux, 45% sont des femmes.

Era l’egalitat entre los òmes e las Femnas per les bons òmes per lo salut de l’eime e lo consolament !

C’était l’égalité entre les hommes et les femmes pour les bonshommes pour le salut de l’âme et le consolament…

La vie quotidienne des femmes de la noblesse occitane au XIIIe siècle entre catholicisme et catharisme !

« Comme tous les humbles de leurs temps, et de tous les temps, ils auraient dû sombrer dans l’oubli. Le malheur les en a préservés, en faisant d’eux des témoins » par la grâce de l’Inquisition… Se se pòt dire coma aquò !

Les registres de l’Inquisition « permettent aujourd’hui d’observer la texture intime de la société occitane, sans barrière de classe, jusque dans le secret de ses foyers, le coeur de ses familles ».

Enfin au XIIIe siècle sur 719 membres du clergé cathare que comptabilise le registre de Bernard de Caux, 45% sont des femmes.

Era l’egalitat entre los òmes e las Femnas per les bons òmes per lo salut de l’eime e lo consolament !

C’était l’égalité entre les hommes et les femmes pour les bonshommes pour le salut de l’âme et le consolament…