Par Françoise Berthou·
Souhaitons la bienvenue aux nouveaux membres :
Monique Vincent,
JC Mengui,
Nicole Guillot,
Michel Marlin,
Lionel Le Nancéien,
Brahim Charafi,
Lordro Jimar,
Sébastien Berniot,
Alain Le Parc,
Jeanne Salfati
** Les administrateurs Floriane Guedon Anne Marie Charvet Guy Verdier et moi-même vous exprimons nos chaleureux mots de bienvenue**
La crise entre la Russie et l’Ukraine a pris un tournant important le jeudi 24 février 2022 avec la déclaration du président russe Vladimir Poutine, de premiers bombardements et l’entrée sur le sol ukrainien de forces armées russes à l’est, au sud par la Crimée et au nord via la Biélorussie, allié de Moscou.
Cette entrée en guerre résulte de longs mois de tensions entre les deux pays, la Russie n’acceptant pas le rapprochement de l’Ukraine avec les démocraties occidentales et encore moins son désir d’adhérer à l’OTAN, un point inacceptable pour Vladimir Poutine qui y voit une menace pour ses frontières.
L’armée russe se heurte à une résistance que Moscou n’avait probablement pas escomptée.
Les sanctions et les mesures se multiplient ! Plus que jamais l’Europe et ses alliés doivent être unis et faire bloc!
.Voilà plus de 7 mois, que nous sommes en présence , à nos frontières, de pratiques d’atrocités et sans doute de cruauté, c’est-à-dire de violences qui dépassent l’objectif militaire de neutralisation de l’ennemi. La population civile est toujours touchée par des attaques extrêmement meurtrières, soit accidentellement soit intentionnellement. Plus cette guerre dure, plus le sort qui leur est réservé est extrême.
Un hiver particulièrement froid et prolongé ferait à coup sûr les affaires de Poutine. La raréfaction du gaz russe, qui représente une part non négligeable de l’approvisionnement énergétique de certains pays européens, pourrait causer d’importantes difficultés avec pour possible conséquence d’émousser la détermination de l’UE à soutenir l’Ukraine. Les populistes, même chez nous, ne sont pas prêts à baisser le chauffage et à économiser l’énergie, alors que l’Ukraine paie de son sang chaque jour!
**Défaites successives des Russes, mais la guerre n’est pas finie. Pis, le risque d’escalade est croissant, l’angoisse nucléaire en prime. Les bombardements de civils sont autant de crimes de guerre dont on espère que Poutine devra répondre un jour devant une juridiction. **
Aujourd’hui, les deux adversaires n’ont donc d’autre perspective, hélas, que la poursuite d’une confrontation sanglante. Quant à un compromis négocié, comme en toute guerre, plus les dévastations s’étendent, plus les pertes humaines s’alourdissent, plus il devient difficile.
SLAVA UKRAINI!
FORCE À L’UKRAINE