Les Françaises et Français veulent que ça bouge.
Un récent sondage de l’IFOP explique que :
68% des Françaises et Français estiment que les collectivités locales n’ont «pas assez de pouvoir par rapport à l’État»
73% sont favorables à ce que les régions puissent « adapter les lois nationales pour tenir compte des réalités locales».
Oui, ils veulent qu’on arrête de tout décider depuis Paris. Ils veulent que leurs collectivités aient les moyens d’agir, tout de suite, au plus près de leur vie.
Ce n’est plus un tabou de dire que l’unité de la France ne passe pas par l’uniformité. Elle passe par la confiance dans nos territoires.
En Bretagne, nous savons ce que cela veut dire : avancer sans renier ce que nous sommes. Être Breton et être Français, ce n’est pas l’un contre l’autre. C’est l’un avec l’autre.
Et demain, si nous voulons réussir la transition écologique, la justice sociale, la bataille de l’énergie, de l’emploi, de l’agriculture… ce sera avec les territoires, leurs habitants, pas sans eux.
Alors oui, il est temps. Le contexte politique que nous vivons montre qu’il est temps. Il est temps de tourner la page du centralisme. Il est temps de libérer les énergies pour un projet innovant offrant de la stabilité pour notre pays.
Et de construire, ensemble, une France qui s’assume enfin diverse.