Ses fils Michel et Jean-Guilhem, les amoureux de la langue d’oc, nous étions nombreux rassemblés hier autour de Michaël Delafosse pour dévoiler sur la façade du domicile de Max Rouquette une plaque commémorative 20 ans après sa disparition, mais dont l’œuvre continue de résonner dans les pierres de #montpellier.
A l’issue, nous nous sommes retrouvés à l’hôtel d’Aurès pour inaugurer la très belle exposition photographique de Georges Souche Photographies avec le soutien du CIRDOC-Institut occitan de cultura et les Amis de Max Rouquette.
La riche programmation de l’année Max Rouquette est une invitation à le redécouvrir, non pas comme une figure figée dans le passé, mais comme une voix encore vivante, indispensable à notre présent