Toujours en vigueur la "Taxe Trump" sur les vins impacte le vignoble Occitan
- Jean-Luc Davezac
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L'impact de la " taxe Trump" sur la vente des vins de l'hexagone aux USA est trés important . Cest un coup dur aussi pour le vignoble occitan , comme l'explique au journal La Depêche du Midi , Jean-Louis Cazaubon Vice-président de la Région Occitanie chargé de l'agro-alimentaire . Les vignerons occitans espèrent maintenant une évolution plus positive avec Joe Biden , le nouveau président des Etats-Unis . Le Conseil régional a d'ailleurs envoyé au président Biden un panier garni avec quelques bonnes bouteilles de vins de nos terroirs .
Jean-Louis Cazaubon ( Vice-pdt pour l'agro- alimentaire en région Occitanie) " Pour certaines entreprises, le marché américain est le plus gros débouché. L'impact est catastrophique en Occitanie. Cette taxe de 25 % est en vigueur depuis près de 18 mois pour les vins de moins de 14 degrés et elle a été élargie à tous les vins tranquilles. Jusqu'ici, une grande partie des vins d'Occitanie, les vins de pays, de cépages, y échappaient mais aujourd'hui, cette taxe concerne tous les vins, et même l'Armagnac ! Il faut compter 4 euros par bouteille vendue, donc une bouteille que vous vendez 8 euros passe à 12 euros. Ça vous met complètement hors marché, au profit des pays qui ne sont pas taxés comme l'Italie ou le Chili. Par exemple, pour l'une des plus grosses entreprises de la région, l'impact est de 10 millions de dollars, c'est énorme ! " .
Joan Pèire LAVAL OCCITANIE PAIS NÒSTRE 06 72 55 04 36
Parution / Un nouvel ouvrage sur les langues régionales
- Jean-Luc Davezac
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Ven de paréisser :
somari : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03081879v1
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PLAQUES D'IMMATRICULATION : REPRESSION JACOBINE !
- Jean-Luc Davezac
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Les autocollants qui permettaient aux automobilistes d’arborer fièrement sur leur plaque d’immatriculation une identité culturelle ou le logo de leur département d’origine sont désormais interdits. Il en coûtera 135 euros aux contrevenants.
Jusqu’ici, il était assez facile de revendiquer son terroir d’origine sur les plaques d’immatriculation. Malgré les nouvelles normes éditées en 2009, il suffisait de rajouter sur sa plaque d’immatriculation le blason basque ou occitan, le logo de l’ancienne Aquitaine, de l’île de Ré ou de son club préféré : à moindre coût, un petit autocollant apposé sur le côté droit, et ça roulait !
Seulement voilà, au mois de décembre 2020, la Cour de cassation a finalement donné raison à un fabricant de plaques d’immatriculation, qui estimait que ces autocollants constituaient une concurrence déloyale. Résultat, la vignette rend la plaque d’immatriculation non conforme, passible d’une amende à 135 euros, qui peut être majorée jusqu’à 750 euros en cas de non-régularisation de la situation.
Décoller ou changer
Deux solutions s’imposent donc aux automobilistes attachés à leur patrimoine local : gratter délicatement du bout de l’ongle et décoller cet autocollant qu’ils aimaient tant, ou bien commander de nouvelles plaques. Car rien n’interdit les références départementales ou locales, à partir du moment où la plaque n’est pas modifiée. Dans ce cas-là il leur faudra débourser de 40 à 60 euros, pose incluse. Un peu plus cher que le simple sticker, mais bien moins que l’amende à laquelle ils s’exposeraient .
Info / Sud-Ouest .
Joan Pèire LAVAL OCCITANIE PAIS NÒSTRE 06 72 55 04 36
CRONICA DE J.L BLENET DINS MIDI LIBRE
- Jean-Luc Davezac
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De totes los mistèris, los mai misterioses son plan los de l’esperit uman. L’ UNÈSCO, Organisacion das Nacions Unidas per l’Educacion, la Siencia e la Cultura, a dins sas missions d’aparar lo patrimòni mondiau de la cultura e ne ten lo registre bel.
Per i faire marcar un monument o un siti es un trabalh gigantàs. Son d’annadas de mobilizacion de totas las institucions e collectivitats dau terraire. Atau Camarga capitèt, primièira victòria, de dintrar dins la “tièra indicativa” e vesèm lo deputat Vignal s’i afanar a bel èime per bolegar monde, comunas e institucions per ganhar enfin lo classament.
Saique es pas sonque un Graal cultural LO Classament, mas tanben una timbala economica!
E aquí gaitatz lo mistèri misteriós de l’esperit uman.
I a bèla pausa l' UNÈSCO classèt l’occitan en “Grand Dangièr”. D’intrada, sens dorsièr,sens esfòrç, sens res faire, un classament bèl nos es ofèrt, nos es regalat. E pas en bas. Grand Dangièr, es pas Pichòt Lagui o Dificultat en Vista, es lo naut de l’escala.
Se devian dire, los de l’ UNÈSCO en donnar lo classament: “Aquí segur se van bolegar. L’ÒNU lor ditz qu’una part dau patrimòni mondiau, la qu’es de lor responsabilitat, es en perilh, òi, se van afanar!”
Pecaire vesèm aqui lo mistèri uman. Aquesta alerta es viscuda amb la vivacitat d’un batracian decerebrat. Ges d’institucion n’a fach una “Granda Causa”, una Urgéncia Culturala, organisada la mobilizacion.
De segur d’unas se bolegan un pauc, i van coma de limaçons e se veson gloriosas a costat d’una armada d’endormits.
Aquí brave monde mesuram la relativitat tota umana de la glòria.
De segur lo progrès progrèssa e l’avenir se sarra.
Joan-Lois Blenet
Joan Pèire LAVAL OCCITANIE PAIS NÒSTRE 06 72 55 04 36
150 élus demandent un référendum pour le rattachement de la Loire Atlantique à la Bretagne
- Jean-Luc Davezac
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Cent cinquante élus de tous bords politiques demandent dimanche un référendum, comme le prévoit la loi, sur l'éventuel rattachement à la Région Bretagne de la Loire-Atlantique, qui appartient actuellement à la Région Pays de la Loire. Dans une lettre ouverte adressée au président Emmanuel Macron et publiée par le Journal du Dimanche (JDD), ces élus rappellent les «liens géographiques, historiques, économiques et humains» qui unissent la Loire-Atlantique à la Bretagne, ainsi que les «très nombreux sondages (qui), depuis quarante ans, ont montré que les deux tiers environ des citoyens de Loire-Atlantique sont favorables au retour de leur territoire dans la Région Bretagne».
Ils rappellent également qu'«à l'automne 2018, une pétition demandant une consultation par référendum des électeurs de Loire-Atlantique sur cette question, a recueilli 105.000 signatures écrites et nominatives, soit plus de 10 % des électeurs inscrits». «Une loi organisant une telle consultation est autorisée par la Constitution dans son article 72-1, qui dispose dans son alinéa 3: La modification des limites des collectivités territoriales peut également donner lieu à la consultation des électeurs dans les conditions prévues par la loi», selon cette lettre. ( AFP / 17- 1 - 2021 )